J’avoue qu’il y a quelques années, je ne prenais pas au sérieux les attaques contre les labos pharmaceutiques.
Je pensais naïvement que les autorités sanitaires françaises étaient suffisamment responsables et éthiques pour résister à la pression de BigPharma.
J’ai ouvert les yeux pendant la crise du covid où j’ai pu mesurer la puissance de ces labos, et la corruption des responsables de la santé, à commencer par cette cohorte de médecins de plateaux de télévision, boursouflés de conflits d’intérêts, qui vantaient les bienfaits des vaccins ARN, sans avoir aucune preuve de leur efficacité ni de leur innocuité !
Mais aux Etats-Unis, ce n’est pas Zorro et son fidèle Bernardo qui sont arrivés mais Donald Trump et son ministre de la Santé Robert Kennedy Kr !
Ce couple s’est donné comme mission de faire toute la vérité sur les vaccins !
Bien évidemment les vaccins ARN dont des centaines de spécialistes demandent l’interdiction définitive, mais aussi tous les autres vaccins administrés aux enfants.
Depuis de longues années, des voix s’interrogent sur les liens entre autisme et vaccination.
Elles étaient immédiatement stigmatisées et traitées d’antivax irresponsables.
Voici un article de la Gazette du Tocsin qui interviewe le docteur Corinne Skorupka à propos des dernières déclarations de Donald Trump sur la corrélation entre l’autisme, la vaccination et l’usage du paracétamol :
Révélations chocs du gouvernement américain
sur les causes de l’autisme
« Il y avait un enfant autiste sur 10 000 il y a 30 ans. Aujourd’hui, on en est à 1 sur 31 »
Le docteur Corinne Skorupka et la journaliste, grand reporter, Corinne Lalo réagissent aux dernières révélations choc du gouvernement américain sur les causes de l’autisme.
Les déclarations conjointes de Robert F. Kennedy Jr. et de Donald Trump ont provoqué une véritable déflagration dans le monde de la santé.
Cela faisait 20 ans que j’attendais cette déclaration,
a insisté Robert Kennedy Jr. Pour la première fois, le gouvernement américain évoque publiquement une corrélation possible entre la hausse fulgurante de l’autisme et deux facteurs : l’usage massif du paracétamol – appelé Tylenol aux États-Unis et Doliprane en France – et les protocoles vaccinaux imposés aux nourrissons.
C’est devenu l’un des chevaux de bataille du président américain :
L’autisme, c’est devenu une épidémie. Quand j’étais jeune, je ne connaissais pas une seule personne autiste. Aujourd’hui, tout le monde en connaît.
Il dénonce des pratiques médicales excessives :
On injecte à des bébés de 2 mois, de 3 mois, de 6 mois … C’est de la folie.
Sur les vaccins combinés, il appelle à les fractionner :
Break it ! – arrêtez ça !
Donald Trump et Robert Kennedy Jr. citent deux exemples pour étayer leurs propos : les Amish, chez qui l’autisme est quasiment inexistant :
ils se vaccinent très peu et n’utilisent pas le Tylenol.
Et Cuba :
où la population est fortement vaccinée mais où le paracétamol est absent : là encore, aucune explosion d’autisme.
Pour eux, ces constats tendent à montrer que l’association vaccins–paracétamol pourrait tenir un rôle clé dans l’explosion de ce trouble aux États-Unis.
Pour Corinne Lalo, la dynamique épidémiologique est indiscutable :
Dans les années 90, c’était 1 enfant autiste sur 10 000. Aujourd’hui, c’est 1 sur 31. En Californie, c’est 1 garçon sur 12 !
Un bond impossible à attribuer à la seule génétique selon elle, tout en tenant à rappeler que :
l’autisme est multifactoriel.
Le Dr Skorupka, spécialiste de l’autisme, et Présidente de la Fondation Luc Montagnier renchérit :
Il faut quand même dire que le paracétamol, c’est un des plus grands toxiques hépatiques qu’on ait. Il bloque le glutathion, notre principal antioxydant. Et il empêche d’éliminer les toxines. Donc il augmente la toxicité.
Comme cette dernière l’explique : ce blocage s’ajoute à une exposition vaccinale précoce ou répétée, l’organisme de l’enfant devient beaucoup plus vulnérable.
Les interrogations autour du triptyque médicaments–vaccins–autisme ne sont pas nouvelles. Trump reprend un argument déjà avancé par le Dr Andrew Wakefield, ostracisé dans les années 2000 pour avoir dénoncé les vaccins combinés. La faute à Big Pharma ?
Aux États-Unis, les plus hautes autorités osent aborder le sujet et lancer des études. En France, c’est silence-tabou. Le Dr Skorupka déplore :
L’autisme est chasse gardée. Dès qu’on soulève les causes environnementales ou vaccinales, on est ostracisé.
Voici la vidéo de l’interview du Dr Skorupka :
Suivre @ChrisBalboa78
Emploi en politique
