Après Macron, qui le Système prépare t-il pour 2027 ?

Publié par le 3 Oct, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Après Macron, qui le Système prépare t-il pour 2027 ?

Par Système, on entend toutes les forces progressistes et globalistes qui se liguent pour imposer sur toute la planète leur projet de gouvernance mondiale.

A l’extérieur, on trouve l’Union européenne, le forum de Davos, le club Bilderberg, des ONG comme l’Open Society de George Soros, et d’autres officines plus secrètes.

A l’intérieur, on trouve les partis de centre, les plus européistes et la gauche par haine de la France et de son identité, les progressistes, et bien sûr, la plupart des médias.

En 2016, une fois le favori de la future présidentielle, François Fillon, éliminé par une coalition médiatico-judiciaire, le Système avait poussé en avant un candidat venu de nulle part que personne n’avait vu venir, à commencer par François Hollande !

Les médias avaient complaisamment suivi le Système !

L’ascension inexorable du Rassemblement national inquiète au plus haut point le Système !

D’ailleurs dernier a déjà réussi à éliminer sa présidente, Marine Le Pen de la course à l’Elysée, une fois de plus grâce à la main de la Justice.

Mais les derniers sondages montrent que le RN cartonne quel que soit son candidat Le Pen ou Bardella (33 % au premier tour dans les deux cas).

Le Système devra t-il aussi éliminer Jordan Bardella ?

Mediapart et France Inter y travaillent déjà !

Mais, ça risque de se voir !

Il y a un autre moyen : refabriquer, de toute pièce, un autre « Macron ».

C’est l’hypothèse que formule cet article de Boulevard Voltaire :

Le système a trouvé son champion
pour 2027 : Raphaël Glucksmann !

Il aura suffi d’un sondage. Publiée le 30 septembre 2025, une étude de l’institut IFOP a révélé les intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle de 2027. Le RN en prend bien sûr la tête, à plus de 30 %, mais la surprise du chef est ailleurs : Raphaël Glucksmann pointe à la troisième position, devant Jean-Luc Mélenchon, et à 1 % à peine en dessous d’Édouard Philippe. Une performance qui placerait ainsi le co-président du mouvement Place publique en position d’accéder éventuellement au second tour de l’élection.

Etrangement, aucun candidat écologiste n’a été testé dans ce sondage. Autant de voix qui auraient fait défaut à Raphaël Glucksmann et lui auraient sans doute coûté sa troisième place …

Le candidat tout désigné

Il n’en fallait pas davantage pour redonner le sourire au système en place. Et si tout n’était pas perdu ? Et si le centre gauche pouvait, finalement, l’emporter encore en 2027 ? Il suffirait qu’un de ses représentants accède au duel final. Tout ce que notre pays compte d’artistes, d’associations ou de sportifs se mettrait alors en action pour marteler, durant quinze jours, la rengaine antifasciste, le refrain angoissant du retour des « heures les plus sombres », et le tour serait joué !

Il faut dire que Raphaël Glucksmann a le profil de l’emploi. L’homme n’est certes pas un phare de la pensée, il est cruellement dénué de charisme, mais son positionnement est le bon : suffisamment de gauche pour ne pas être directement associé au macronisme finissant et assez centriste pour échapper au front anti-Mélenchon. Son discours convenu et politiquement correct lui a par ailleurs permis d’éviter toute polémique ou toute procédure judiciaire.

Last but not least, les médias mainstream ne lui sont pas défavorables. C’est un euphémisme.

Le compagnon de la présentatrice du 20 Heures de France 2 est activement promu sur les antennes du service public et même au-delà. Sur LCI, le quadra est désormais présenté comme le « nouvel homme fort » de la gauche, tandis que Le Huffington Post salue le « retour de la gauche sociale-démocrate » grâce à un Raphaël Glucksmann « en bonne position pour une qualification au second tour ». La « percée » de M. Salamé a également été soulignée sur France Info : « Ce discours de la gauche, de Raphaël Glucksmann, commence à plaire à l’opinion, veut croire une fine éditorialiste de la chaîne publique.

L’opinion se tourne vers les socialistes et se dit : « Tiens, les socialistes ont peut-être la solution à tous nos problèmes de budget ! » »

Bref, tout se passe comme prévu. Le plan échafaudé par Thomas Legrand se déroule sans le moindre accroc. Lors de sa réunion filmée avec des cadres du PS, celui qui était alors employé par l’audiovisuel public n’avait pas fait mystère de sa stratégie : mettre les antennes de France Inter au service du candidat Glucksmann et lui offrir la couverture médiatique adéquate pour lui permettre de l’emporter face à un représentant du RN. « Le marais centre droit centre gauche, on ne les entend pas beaucoup, mais ils écoutent France Inter. Et ils écoutent en masse ! », s’était-il félicité, pas peu fier de son stratagème.

Le peuple français a encore 18 mois pour contrecarrer ces plans et reprendre son destin en main.

Jean Kast pour Boulevard Voltaire.

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