Cet article gagnerait à être lu juste après cette précédente publication intitulée :
La grande farce européenne du CO2 !
Dans ce dernier texte, un paléoclimatologue, Yann Clark, présentait le résultat de ses études réalisées sur des calottes glaciaires qui montrent que le taux de CO2 relevé dans l’atmosphère est la conséquence et non pas la cause du réchauffement climatique.
Au cours des centaines de millénaires étudiées, on voit que l’évolution du taux de CO2 suit, et non pas précède, avec un retard de 8 siècles, celle de la température de la terre.
Et pourtant, avec son Pacte vert, la Commission européenne est en train de ruiner les classes moyennes européennes et de détruire l’industrie automobile européenne.
Comme le montre la carte suivante, dans le monde, seules l’Europe et la Californie ont décidé de bannir la commercialisation des voitures thermiques et hybrides après 2035.
La carte fait, au choix, rire ou pleurer :
Mais ce n’est pas tout ! L’Europe prépare un autre mauvais coup !
Voici une synthèse d’un article paru dans The Epoch Times qui présente le sinistre projet ETS2 qui va faire payer à chaque européen le CO2 qu’il produit ! Et cela coûtera très cher !
CO₂ : pourquoi 2027 pourrait faire flamber
vos factures d’énergie et de carburant
En 2027, une nouvelle règle européenne risque de se faire sentir dans le porte-monnaie de millions d’Européens. L’Union européenne prévoit d’étendre son système d’échange de quotas d’émission (ETS 2) aux transports et aux logements.
Concrètement, chaque litre d’essence ou mètre cube de gaz brûlé aura un coût lié au CO₂ qu’il émet.
Objectif : réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mais pour les ménages, cette transition écologique pourrait aussi se traduire par des centaines, voire des milliers d’euros supplémentaires par an.
Un marché du carbone encadré par Bruxelles
Le principe est simple : chaque tonne de CO₂ émise devra être compensée par l’achat d’un certificat. Les entreprises qui vendent de l’énergie (essence, gaz, fioul, etc.) devront acheter ces certificats et répercuteront naturellement ce coût sur leurs clients. L’idée est d’encourager chacun à consommer moins d’énergies fossiles.
Officiellement, il s’agit d’un marché de quotas, mais il sera fortement régulé par l’Union européenne. Bruxelles décidera du nombre de certificats disponibles et pourra intervenir à tout moment pour ajuster les prix. Ce système politique et économique hybride ne ressemblera donc pas à un marché libre traditionnel.
Des factures en hausse pour les ménages
Pour les particuliers, cette réforme pourrait se traduire par une augmentation notable des coûts. Selon les estimations, les propriétaires de logements chauffés au gaz ou au fioul pourraient voir leurs dépenses augmenter de 400 à 800 euros par an dès 2026. Si le prix du CO₂ atteint 250 à 400 euros la tonne, la facture pourrait grimper jusqu’à 3 000 euros par an pour un foyer moyen.
La performance énergétique du logement sera déterminante : un foyer de quatre personnes dans une maison bien isolée (classe C) pourrait payer environ 570 euros supplémentaires, tandis qu’une habitation mal isolée (classe G) pourrait dépasser 1 400 euros. Environ 95 % de ces coûts seraient directement à la charge des propriétaires.
Des garde-fous pour limiter les hausses
Pour éviter une explosion des prix, Bruxelles a prévu un mécanisme de stabilisation : si le prix du CO₂ dépasse 45 euros la tonne pendant plus de deux mois, l’UE mettra sur le marché 20 millions de certificats supplémentaires. En cas de forte hausse, elle pourra en libérer jusqu’à 150 millions pour calmer les tensions.
Un Fonds social pour le climat, financé par les recettes de la vente des certificats, sera également créé pour aider les ménages modestes. Il financera la rénovation énergétique, l’installation de chauffages plus écologiques et des aides aux transports publics, avec des paiements directs pour les foyers les plus vulnérables.
Un calendrier déjà fixé mais contesté
Certains pays, comme la Pologne ou la République tchèque, réclament un report du dispositif jusqu’à 2030, craignant un choc économique. L’Allemagne souhaite maintenir la date de 2027 pour assurer une transition fluide depuis son système national. Les premières enchères de quotas sont prévues dès mi-2026 pour habituer le marché et les consommateurs au nouveau cadre.
Conclusion : anticiper pour limiter l’impact
L’ETS 2 marque une étape majeure dans la transition énergétique européenne, mais elle risque aussi de faire augmenter le coût de l’énergie pour les ménages. Pour limiter l’impact sur votre budget, il devient crucial d’améliorer l’efficacité énergétique de votre logement et de réfléchir à des solutions alternatives pour le chauffage et les déplacements. En investissant dès maintenant dans des équipements plus économes et écologiques, il est possible de réduire à la fois sa facture et son empreinte carbone.
Article original écrit par Reinhard Werner pour The Epoch Times.
Conclusion
On se demande si l’Union européenne ne fait pas tout ce qu’elle peut, en matière d’écologie et d’immigration, pour que nous la haïssions et que nous songions … à la quitter !
Note : la synthèse de l’article de The Epoch Times et l’illustration ont été réalisées à l’aide de ChatGPT.




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