Après réflexion, la Commission de Bruxelles, largement approuvée par Macron, trouve que le Digital Services Act (DSA), rédigé par Thierry Breton, n’est pas suffisant et qu’il convient de le renforcer très sensiblement.
Avec la création d’un « Bouclier démocratique européen » !
Si le DSA avait pour but de faire le ménage dans les réseaux sociaux, ce bouclier démocratique se cache derrière la lutte contre les ingérences étrangères – comprenez russes – pour faire taire les opposants à la pensée dominante.
L’Europe crée une nouvelle structure : le Centre européen de résilience démocratique !
On ne peut que craindre le pire de ces décisions quand on connait l’obsession partagée par Macron et Von der Leyen de vouloir limiter au maximum la liberté d’expression … de leurs opposants.
Je laisse la parole à Fabrice Leggeri, l’ancien directeur de Frontex devenu député européen sous la bannière du Rassemblement national.
Il nous éclaire brillamment sur les dangers de cette nouvelle arme de Bruxelles.
Voici le verbatim de sa présentation suivi de la vidéo :
Ce qui se met en place à Bruxelles
n’a plus rien à voir avec la démocratie.
C’est une machine à contrôler, à surveiller, à punir les opinions qui dérangent. Ils parlent de bouclier démocratique, mais derrière les mots, il y a une obsession : empêcher les peuples de choisir autre chose que la ligne officielle. On veut surveiller les médias, encadrer les campagnes électorales, filtrer les réseaux sociaux.
Tout cela au nom de la lutte contre la désinformation.
Mais qui décidera ce qui est vrai ou faux ? Bruxelles. Les mêmes qui ont menti sur l’euro, sur Schengen, sur l’immigration, sur l’énergie.
Ce qu’ils craignent, ce n’est pas la manipulation étrangère. Ce qu’ils craignent, c’est la contestation intérieure. Ce qu’ils craignent, ce sont les peuples d’Europe qui relèvent la tête.
Parce qu’ils savent qu’à force d’avoir trahi nos souverainetés, détruit nos industries, méprisé nos frontières, ils ont brisé la confiance des citoyens. Alors ils veulent museler plutôt que convaincre, censurer plutôt qu’écouter. Mais la démocratie, ce n’est pas le confort des puissants, c’est le droit du peuple à dire non.
Et ce droit-là, aucune commission, aucun traité, aucun bouclier ne pourra l’effacer.
Fabrice Leggeri.
Et voici la vidéo de l’intervention de Fabrice Leggeri :
@fabriceleggeri Derrière le « bouclier démocratique », une obsession : surveiller, filtrer et punir les opinions dissidentes. Ils veulent contrôler les médias, encadrer les campagnes, trier les réseaux sociaux au nom de la « lutte contre la désinformation ». Mais qui dira le vrai ? Bruxelles ? #pfe #politique #politiquefrancaise #parlementeuropeen ♬ son original – Fabrice Leggeri
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