Covid : Trump et Kennedy font éclater la vérité !

Publié par le 6 Déc, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Covid : Trump et Kennedy font éclater la vérité !

Oui, il est possible d’en finir avec l’Etat profond !

C’est juste une question de volonté politique !

Donald Trump est en train, jour après jour, de détruire l’Etat profond mis en place par les administrations démocrates de Barack Obama et de Joe Biden.

Au lieu de s’entourer de médiocres comme le fait Macron pour régner sans partage, avec les résultats que l’on connait, Donald Trump a réuni autour de lui une équipe constituée de personnalités parmi les plus brillantes des Etats-Unis.

Dans cette équipe, on peut citer, entre autres, le vice-président J.D. Vance*, Elon Musk à la tête du DOGE, Robert Kennedy Jr à la Santé, Marco Rubio aux affaires étrangères, Tulsa Gabbard qui dirige les services de renseignement (CIA, NSA), et Kash Patel, directeur du FBI.

Kash Patel et Tulsa Gabbard ont dû mener une purge sévère pour chasser de la CIA et du FBI tous ceux que les Démocrates avaient nommés pour utiliser les moyens de l’Etat dans la lutte contre Trump, quand il était candidat, mais pire, durant son premier mandat.

Si la droite revient au pouvoir, elle devra tirer les leçons de « l’expérience Trump » si elle veut que l’Etat profond ne sabote les mesures qu’elle devra prendre pour relever le pays !

De son côté, Robert Kennedy Jr fait le ménage dans tous les organismes associés à la Santé et travaille à faire émerger la véritsur la gestion calamiteuse du covid.

Dans ce domaine, on vient d’assister à l’explosion d’une bombe allumée par la FDA (Food and Drug Administration) comme le rapporte cet article de France-Soir :

L’email de la FDA sur les Vaccins COVID :
Une révélation explosive qui remet en question
les politiques vaccinales mondiales  ?

Extraits :

Dans un mémo interne explosif daté du 29 novembre 2025, adressé au personnel du Center for Biologics Evaluation and Research (CBER) de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, le directeur Vinay Prasad annonce une reconnaissance officielle sans précédent :

les vaccins COVID-19 ont causé la mort d’au moins 10 enfants américains.

Ce document, obtenu par des médias comme Reuters et The Washington Post, marque un tournant majeur sous l’impulsion du secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr. Il s’inscrit dans la lignée des réformes initiées par le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC, qui a mis fin à la recommandation universelle des vaccins COVID en septembre 2025.

Les éléments clés de l’email : une admission historique et des réformes radicales (1)

L’email de Prasad, qualifié de « profonde révélation » par son auteur, s’appuie sur une analyse interne des rapports VAERS (système de déclaration des effets indésirables). Voici les points saillants extraits du document :

1 – Reconnaissance des décès pédiatriques 

Pour la première fois, la FDA admet que les vaccins COVID-19 ont tué au moins 10 enfants américains, avec une attribution « probable/possible» liée à des effets comme la myocardite. Prasad note que ce chiffre est sous-estimé en raison de la sous-déclaration et des biais dans le système VAERS. Il écrit :

Ceci est une profonde révélation. Pour la première fois, l’US FDA admettra que les vaccins COVID-19 ont tué des enfants américains.

Ces cas concernent des enfants en bonne santé, âgés de 7 à 16 ans, qui faisaient face à un risque minimal de décès du COVID, mais ont été « contraints » par des mandats scolaires ou professionnels sous l’administration Biden. L’email souligne que l’agence n’avait jamais publiquement reconnu ces décès, malgré des rapports datant de 2021-2024.

2 – Critiques des actions des agences précédentes et du processus d’approbation

Prasad critique vertement les actions passées de la FDA et du CDC, accusant une « abdication de devoir» face au signal de myocardite détecté d’abord par Israël en 2021. Il évoque des retards dans la reconnaissance des signaux des effets secondaires pour étendre les autorisations aux 12-15 ans, et un manque de stratégies de mitigation (espacement des doses, réduction pour les jeunes). 

3 – Nouvelle orientation pour les vaccins : la FDA impose des standards plus stricts : pour les groupes non à risque (enfants, adultes sains), les fabricants devront fournir des essais randomisés contrôlés par placebo démontrant efficacité et sécurité sur des points de mesures cliniques (pas seulement des anticorps). Les vaccins COVID pour 2025-2026 seront limités aux plus de 65 ans ou aux comorbidités. 

Ces éléments reflètent une érosion de la confiance dans les politiques vaccinales, amplifiée par les réformes de Kennedy Jr., qui a remplacé les membres de l’ACIP en juin 2025 pour des profils plus critiques.

Réactions sur X : un débat enflammé entre justification, revanche et colère

L’email a provoqué une vague de réactions sur X, où des utilisateurs et des organisations ont salué cette « justification » qu’il n’attendait plus, tout en appelant à la responsabilité. Le Brownstone Institute, une organisation critique des politiques pandémiques, a partagé un post qualifiant le mémo de « secousse mondiale » qui pourrait « démonter tout le programme vaccinal américain », en se focalisant sur les mandats COVID.

D’autres posts soulignent l’admission historique :

  • Sayer Ji : « En une inversion stupéfiante, la FDA confirme que les vaccins COVID ont tué des enfants américains. Au moins dix décès confirmés, avec bien plus probables. L’histoire tourne. »
  • @henrybenedict_X : « ALERTE : Le directeur de la FDA admet pour la première fois que les vaccins COVID ont tué des enfants. Une révélation profonde. »
  • @Quo_vadis_BRD (Stefanie) : Cite l’email, notant la sous-déclaration appelant à une catastrophe qui aurait pu être évitée.
  • @TW_Truth : « La FDA admet que des enfants sont morts. Ils l’ont appelé ‘sûr et efficace’ en enterrant les corps. Appel à Nuremberg 2.0. »

Des critiques émergent aussi, comme @creekthing21 faisant écho un article de NBC :

des experts en vaccins ont déclaré que la note était irresponsable et omettait des détails clés sur la façon dont les responsables sont arrivés à cette conclusion.  

En sus, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie à ARNm, et aujourd’hui membre de l’ACIP (comité consultatif sur les produits immunisants) a expliqué que l’on vivait une « une révolution pour les réglementations et approbations des vaccins», et ne pouvait pas en dire plus car il était sous “embargo” par l’ACIP. La prochaine réunion de l’ACIP est le 8 décembre 2025. 

Conséquences en France : vers une réévaluation européenne inspirée des États-Unis ?

Cette révélation américaine pourrait avoir des répercussions profondes en France, où les autorités maintiennent une stratégie vaccinale proactive malgré une défiance croissante (52 % des Français ont perdu confiance en la vaccination due à des « mensonges » perçus du gouvernement).

Motivée par des biais méthodologiques (comme la « règle des 14 jours » masquant les effets immédiats), des sous-estimations d’effets graves (myocardite, thromboses) et des réanalyses indépendantes montrant un bénéfice-risque défavorable pour les bas-risques, cette mesure reflète les critiques de Prasad. En Europe, elle pourrait presser l’Agence européenne des médicaments (EMA) à réévaluer ses positions, basées sur des données similaires.

L’interview exclusive de Gerald Hauser, député européen (groupe Patriotes pour l’Europe), pour France-Soir renforce ce lien. Hauser accuse la Commission européenne d’avoir « joué à la roulette russe avec la santé de 450 millions d’Européens» via des contrats secrets avec Pfizer (exonérés de responsabilité), une autorisation politique sans données complètes sur la sécurité, et une sous-déclaration massive des effets secondaires (potentiellement 30 millions en Europe, dont 250 000 décès extrapolés).

Il appelle à une enquête spéciale, la démission d’Ursula von der Leyen, et un alignement sur l’ACIP : fin des recommandations générales pour les vaccins COVID, retour à des essais rigoureux, et « jamais plus » une telle catastrophe. En France, cela pourrait amplifier les demandes d’associations comme BonSens.org pour une réévaluation indépendante des effets secondaires (comme les cas soulevés par le pharmacien Amine Umlil), et accentuer les divergences avec les autorités (ANSM), potentiellement menant à une polarisation « un vaccin, deux mondes » entre un États-Unis réformé et une Europe inertielle.

En conclusion

Cet email de la FDA n’est pas qu’une admission américaine : il pourrait catalyser une remise en cause globale, forçant la France et l’Europe à confronter leurs propres biais et à prioriser la transparence pour restaurer la confiance publique qui est au plus bas.

J’ajouterai que cette volonté de faire jaillir la vérité sur le covid par l’équipe Trump n’en fait que plus ressortir l’immobilisme des autorités françaises et européennes dans le domaine, et pire encore, l’omerta des grands médias sur la dangerosité des vaccins ARN !

Une honte pour toute la presse française !

* J.D. Vance : je recommande vivement la lecture du livre autobiographique de J.D. Vance : Une famille américaine (de la grande pauvreté aux ors de la Maison Blanche). Du Zola dans l’époque de la descente aux enfers de l’industrie automobile américaine.

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