On peut se demander si le gauchisme
n’est pas une pathologie mentale …
J’en veux pour preuve que chez certains gauchistes la notion de logique est totalement annihilée par l’idéologie.
Prenez les néoféministes !
Ne devraient-elles défendre toutes les femmes contre tous les hommes qui les menacent ?
Il existe d’authentiques féministes qui jouent ce rôle comme l’association Némésis.
Mais les néoféministes, quant à elles, pratiquent un double tri avant de défendre les femmes :
Le tri des femmes à défendre et celui de leurs agresseurs !
Elles se mobilisent pleinement si un Blanc agresse une femme racisée, ce qui est très rare.
Par contre si des hommes racisés s’en prennent à des femmes blanches, elles regardent ailleurs, comme lors du viol de centaines de femmes par des migrants à Cologne !
A Paris même, alors que des migrants ne cessaient d’importuner des passantes dans le quartier de la Chapelle-Pajol, Caroline de Haas, fondatrice de l’association Osez le féminisme avait proposé … d’élargir les trottoirs pour lutter contre le harcèlement !
Mais il y a infiniment plus grave !
Plus grave quand, au nom du respect d’autres civilisations, certains tolèrent des pratiques fondamentalement opposées aux valeurs fondatrices de notre propre civilisation !
Je pense à cette pratique barbare et gravissime de l’excision !
Je rappelle que l’une des raisons qui expliquent l’existence de cette coutume est liée à la polygamie. L’excision du clitoris, organe exclusivement dédié au plaisir féminin, était censée réduire les désirs sexuels des multi-épouses, que devait satisfaire un seul homme.
Une preuve des dégâts de ce patriarcat que les néoféministes ne cessent de reprocher aux hommes … blancs !
Voici un article de Breizh-Info qui rapporte le fait que des chercheurs britanniques ont osé défendre cette pratique inhumaine :
Une polémique d’ampleur secoue le Royaume-Uni et, au-delà, l’Europe. Un groupe de vingt-cinq universitaires issus de prestigieuses institutions – dont Cambridge, Bristol ou encore Brighton & Sussex Medical School – a publié un article estimant que l’interdiction des mutilations sexuelles féminines porterait atteinte aux communautés migrantes. Selon leurs auteurs, qualifier cette pratique de « mutilation » relèverait d’une approche « sensationnaliste » et « stigmatisante ». Une analyse qui, depuis sa parution dans le Journal of Medical Ethics, déclenche indignation et incompréhension.
Une tentative de normalisation dénoncée
Les signataires demandent de substituer à l’expression « mutilations sexuelles féminines » une terminologie plus neutre, parlant de « pratiques génitales féminines » (MGF). Certains vont même jusqu’à évoquer le « droit » des parents à décider pour leurs enfants. Des positions qui heurtent de front les organisations internationales, de l’ONU à l’OMS, qui qualifient la MGF de violation grave des droits fondamentaux et rappellent l’absence totale de bénéfice médical. L’argument selon lequel le refus de cette pratique alimenterait des « stéréotypes raciaux » a été balayé par de nombreux défenseurs des droits des femmes : ce n’est pas la dénonciation qui stigmatiserait, mais bien l’acte lui-même.
Un fléau massif et toujours sous-estimé en Europe
Les chiffres sont implacables. À l’échelle mondiale, environ 230 millions de femmes et de jeunes filles en portent les séquelles. Loin d’être limitée aux pays où elle est traditionnellement pratiquée, la MGF touche encore massivement l’Europe : plus de 600 000 femmes seraient concernées, et près de 190 000 mineures exposées au risque. France, Allemagne, Belgique, Royaume-Uni, Italie, Suède … Aucun pays n’est épargné. Et malgré l’arsenal juridique, les poursuites restent extrêmement rares. Au Royaume-Uni, seulement deux procès en cinq ans : la preuve que cette pratique, souvent dissimulée ou réalisée à l’étranger, demeure extrêmement difficile à sanctionner.
Ce débat révèle un malaise plus profond : celui d’une société européenne paralysée par la peur d’être taxée de racisme dès qu’il s’agit de critiquer certaines pratiques importées.
Les mêmes arguments avaient permis d’étouffer pendant des années les discussions sur les mariages forcés ou sur l’ampleur des violences commises au nom de l’« honneur ». La peur de froisser des sensibilités identitaires ne saurait servir d’excuse pour relativiser une atteinte gravissime à l’intégrité des enfants.
Un enjeu de civilisation
La question posée dépasse le cadre juridique : peut-on encore, en Europe, condamner clairement une pratique objectivement violente sans voir surgir des accusations d’ethnocentrisme ? Les défenseurs de la MGF invoquent la diversité culturelle ; ses opposants rappellent que toutes les traditions ne sont pas sacrées et que certaines doivent être combattues. L’enjeu est simple et moralement non négociable : protéger des mineures qui, dans la quasi-totalité des cas, subissent l’opération contre leur volonté, souvent dans des conditions insalubres et sans anesthésie.
Refuser ce relativisme n’est pas du racisme, mais une évidence éthique.
La loi n’a pas pour vocation de ménager les coutumes violentes, mais de protéger les plus vulnérables. Si cela revient à bousculer des susceptibilités, tant pis. La dignité des fillettes vaut infiniment plus que le confort idéologique des universitaires.
Breizh-Info.
En conclusion, je ne poserai qu’une seule question :
Y avait-il une femme parmi les 25 signataires de cette étude scélérate ?




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