Très fier de ne pas partager mon admiration
pour B.B. avec une gauche aussi sectaire !

Publié par le 30 Déc, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Très fier de ne pas partager mon admiration  pour B.B. avec une gauche aussi sectaire !

« Pourtant, que la montagne est belle
Comment peut-on s’imaginer
En voyant un vol d’hirondelles
Que l’automne vient d’arriver ? »

Nous, sympathisants de droite, avons fredonné cette très belle chanson de Jean Ferrat, La Montagne.

Dans les salles obscures, nous avons ri et pleuré devant les films d’Yves Montand et Simone Signoret.

Nous avons aussi admiré les tableaux de Picasso ou de Matisse …

Pourtant, nous savions que ces artistes soutenaient le Parti communiste que nous détestions ! Mais, à droite, le sectarisme n’est pas de mise alors qu’il est l’ADN de la gauche.

La dépouille de Brigitte Bardot n’était pas froide que les médias de  gauche comme Libé la trainaient déjà dans la boue, en ne retenant d’elle que ses sympathies pour les Le Pen.

Oubliés ses 50 films dont des chefs d’oeuvre ! Oubliées les chansons que Serge Gainsbourg avait composées pour elle ! Oubliés, même, ses 40 ans consacrés à la défense des animaux !

Mais la gauche a raison de détester Brigitte Bardot parce qu’elle représente cette France traditionnelle qu’elle exècre. Parce qu’elle était une féministe authentique à l’inverse des néoféministes qui pratiquent un féminisme à géométrie variable en fonction de la couleur de peau des victimes ou des agresseurs de femmes !

Authentique et libre, Brigitte Bardot incarne cette France éternelle que la gauche déteste !

Voici un article de The Epoch Times, un des meilleurs que j’ai pu trouver après la mort de Brigitte Bardot :

Brigitte Bardot : derrière la femme libre,
une femme « conservatrice » et « patriote »

« On m’a fermement collé une image de frontiste » pour avoir répondu au début des années 1990 à un questionnaire du quotidien catholique Présent,

affirmait-elle en 2018 dans son livre testament « Larmes de combat ».  

Je n’ai jamais demandé à personne d’être raciste et je ne pense pas nourrir de haine raciale,

affirmait Brigitte Bardot.

Brigitte Bardot, icône de la libération des mœurs dans les années 60, prêta ses traits à la Marianne républicaine. Elle se revendiquait « conservatrice » en politique et « patriote ». La droite est le « seul remède urgentissime à l’agonie de la France », écrivait-elle dans son « BBcédaire » paru en 2025.

Un hommage et un soutien aux Le Pen

En 1996, dans sa biographie « Initiales B.B. », elle rendait hommage à Jean-Marie Le Pen, « un homme charmant, intelligent, révolté comme moi par certaines choses » et ne cachait pas partager les idées du fondateur du FN contre « la poussée terrifiante de l’immigration ». C’est chez lui qu’elle avait rencontré son quatrième mari, Bernard d’Ormale.

En 2012, B.B. appelait les maires de France à apporter leurs parrainages à Marine Le Pen, candidate à la présidentielle, et annonçait voter pour cette « femme admirable ». Avant la présidentielle de 2017, elle affirmait encore: « Marine Le Pen, je l’aime beaucoup et depuis longtemps ».

Brigitte Bardot, qui se disait « contre le vivre ensemble », voyait en elle une responsable politique capable de « reprendre la France en main, de remettre des frontières et de redonner la priorité aux Français ».

Une icône française

« Le départ de Brigitte est un chagrin immense », a écrit dimanche Marine Le Pen sur X. Jordan Bardella, président du RN, a rendu hommage à « une ardente patriote ».

Marine Le Pen et son père ont régulièrement rendu hommage à l’ancienne actrice. « Les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim », affirmait Marine Le Pen en pleine polémique sur le burkini à l’été 2016, en allusion au film « Et Dieu… créa la femme ».

Souvent reçue à l’Élysée, Brigitte Bardot a pu avoir la dent dure avec les chefs de l’État, pas assez engagés, selon elle, dans la protection des animaux.

Invitée par Charles de Gaulle, elle était arrivée vêtue d’une veste à brandebourgs et avait été accueillie par un « Chic! Un militaire ». Valéry Giscard d’Estaing, « son ami », l’avait « draguée », racontait-elle.

François Mitterrand, « maudit soit le jour de son investiture. (…) Toute la détresse que nous subissons est la suite de son oeuvre maléfique », lâchait-elle dans son « BBcédaire ».

Quant à Jacques Chirac, « c’est le roi des menteurs » qui « fait la course » avec Nicolas Sarkozy, avait-elle assuré dans une interview à la chaîne de télévision France 2.

Une dent contre Emmanuel Macron

Dans une lettre ouverte, elle avait fustigé l’ »inutilité », la « lâcheté » et le « mépris des Français » d’Emmanuel Macron.

Je juge les politiques à l’aune de ce qu’ils proposent pour la cause animale. C’est aussi simple que ça,

disait-elle au Monde en 2017.

J’ai eu un espoir insensé quand le Front national a fait des propositions concrètes pour réduire la souffrance animale. Mais j’ai aussi sollicité (le chef de file de La France insoumise) Mélenchon (…) Si demain un communiste reprend les propositions de ma fondation, j’applaudis et je vote,

assurait-elle.

 

The Epoch Times.

[php function=

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *