
Rassurez-vous je ne vais pas disserter sur le socialisme !
En voici quand même tenu la définition du Petit Robert :
« Doctrine d’organisation sociale qui entend faire prévaloir l’intérêt général sur les intérêts particuliers, au moyen d’une organisation concertée (opposé au libéralisme). »
Le marxisme en donne une définition plus définitive :
« Phase transitoire entre la disparition du capitalisme et l’instauration du communisme. »
On trouve sur la toile une histoire dont l’origine est controversée mais qui illustre très bien le danger majeur de la doctrine socialiste.
Je dis controversée parce que son origine fait l’objet de débat. Sur un site probablement de gauche, on voit que pour éclipser le contenu de la fameuse histoire, on lance une polémique sur ses origines en concluant :
Alors bon, comme leçon sur le socialisme, on repassera. Il serait bien de ne pas aveuglément copier-coller des citations sans examiner leur véritable origine et le message sous-jacent !
Cette histoire, que voici, me semble au contraire parfaitement illustrer les dégâts du socialisme qu’on observe bien en France :
Cela s’est passé en Suède.
Un professeur d’économie à l’université a déclaré qu’il n’avait jamais recalé un seul étudiant, mais une fois, il a dû recaler une classe entière.
Cette classe soutenait que le socialisme fonctionnait et que personne ne devrait être pauvre ou riche, que tout le monde devait être ÉGAL !
Le professeur leur dit alors :
Très bien, nous allons faire une expérience sur le socialisme dans cette classe. Toutes les notes seront moyennées, et tout le monde recevra la même note, ainsi personne ne pourra échouer et personne n’aura 10.
Après le premier test, les notes ont été additionnées et divisées par le nombre d’étudiants : tout le monde a reçu un 8.
Ceux qui avaient étudié intensivement étaient mécontents, tandis que ceux qui avaient peu étudié étaient ravis.
À l’approche du deuxième test, ceux qui avaient peu étudié apprirent encore moins, et ceux qui avaient travaillé dur se dirent qu’ils voulaient aussi « profiter du système », donc ils étudièrent moins. La moyenne du deuxième test fut de 6 !
Lors du troisième test, la moyenne fut de 4.
À la grande surprise de tous, toute la classe échoua.
Cela ne pouvait être une démonstration plus simple. Le professeur leur expliqua alors :
Le socialisme finit toujours par échouer, car lorsque la moitié de la population comprend qu’elle n’a pas besoin de travailler parce que l’autre moitié s’en occupe, et que l’autre moitié réalise qu’il n’y a aucun intérêt à travailler parce que les fruits de son travail sont distribués aux autres, alors c’en est fini de toute nation …
Incontestable ! Non ?
On trouve d’autres définitions ou des maximes autour du socialisme :
Et d’abord celle-ci, très célèbre, que nous devons à Winston Churchill :
Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère.
Voici comment les différentes orientations politiques des régimes politiques traitent un propriétaire de deux vaches où l’on voit positivement le socialisme :
Socialisme : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous
partagez le lait.
Communisme : Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.
Fascisme : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.
Nazisme : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat
la brune.
Dictature : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.
Féodalité : Vous avez deux vaches. Le seigneur s’arroge la moitie du lait.
Démocratie représentative : Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.
Démocratie de Singapour : Vous avez deux vaches. Vous écopez d’une amende pour détention de bétail en appartement.
Anarchie : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.
Capitalisme : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.
Capitalisme de Hong-Kong : Vous avez deux vaches. Vous en vendez 3 en utilisant des lettres de créances ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un échange de lettres contre participation assorti d’une offre publique, et vous récupérez 4 vaches dans
l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour l’entretien de 5 vaches.
Les droits sur le lait de 6 vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles Caïman, détenu clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de vache.
Au rapport de la dite société figurent 8 ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les 2 vaches parce que leur horoscope est défavorable.
Capitalisme sauvage : Vous avez deux vaches. Vous vendez l’une. Vous forcez l’autre à produire comme quatre. et vous licenciez l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’être
inutile.
Bureaucratie : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre. Il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.
Ecologie : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète les bouses.
Féminisme : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.
Surréalisme : Vous avez deux vaches. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d’harmonica.
Capitalisme européen : Vous avez deux vaches. On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe les quotas la deuxième année et vous payez une amende
pour surproduction. On vous donne une prime la troisième année pour abattre la 3ème vache
Monarchie constitutionnelle britannique : Vous avez deux vaches. Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos moutons.
Capitalisme à la française : Vous avez deux vaches. Pour financer la retraite de vos vaches
le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : le CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes)
Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production de lait : le RAB (Remboursement de l’ardoise bovine).
Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les Français sont dans la rue : « du lait, on veut du lait ! »
La France construit un lactoduc sous la Manche pour s’approvisionner auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. On lève un nouvel impôt pour l’entretien du lactoduc devenu inutile.
Régime corse : Vous avez deux vaches. Vous avez deux cochons qui courent dans la forêt. Vous déclarez 200 vaches et vous toucher les subventions européennes.




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