
Gérard Collomb, lors de sa passation de pouvoir au ministère de l’intérieur, avait livré cette sombre prophétie :
« On vit côte à côte et je le dis, moi je crains
que demain, on ne vive face à face. »
L’explosion des violences dans les rues françaises ne fait que valider sa prédiction. Sauf que ce n’est pas demain, mais aujourd’hui, que le face à face est là !
Mais il n’y a pas que les confrontations liées à l’immigration qui doivent inquiéter.
Un autre combat est lancé !
Celui des conservateurs contre les progressistes, qui recoupe aussi celui des souverainistes contre les mondialistes. Depuis l’élection de Donald Trump, il fait rage aux Etats-Unis, avec l’équipe de choc qu’a mise en place Trump et qui s’attaque frontalement à l’Etat profond, acquis aux Démocrates.
En Europe, et particulièrement en France, on aussi sent monter cette opposition. Il est évident que les progressistes, sentant qu’ils sont en train de perdre la bataille des idées, tentent d’entraver la liberté d’expression pour empêcher les populistes d’atteindre le pouvoir et de détruire ce projet de gouvernance mondiale qu’ils construisaient depuis des décennies.
C’est un combat – presqu’à mort – entre les élites et les peuples qui semblent avoir enfin compris qu’elles nous envoyaient dans le mur.
L’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk, venant après les trois tentatives contre Donald Trump, doit nous alerter ! Chaque révolution doit avoir ses martyres et Charlie Kirk est le premier !
Son statut de martyre a été renforcé par les réactions des gauchistes qui, aux Etats-Unis comme en France, ont refusé de respecter les minutes de silence en osant dire, pour certains, que Charlie Kirk, par ses propos, avait bien cherché ce qui lui est arrivé !
Avec la probabilité de plus en plus grande que le Rassemblement national atteigne le pouvoir en France, la gauche va durcir sa position et le pire est à craindre.
Il nous faut suivre avec attention ce qui va se passer aux Etats-Unis car cela préfigure ce que nous vivrons en Europe.
Voici un article de la Lettre patriote qui publie un billet d’un homme politique américain et influenceur sur les réseaux sociaux, Nichols J. Freitas dans lequel il exprime son angoisse de constater le gouffre qui sépare aujourd’hui les « peuples » démocrate et républicain :
Nous sommes deux peuples très différents. Nous occupons peut-être le même territoire, mais c’est bien là que les similitudes semblent brutalement s’arrêter
On me dit qu’en tant que représentant de l’État, c’est le moment où je suis censé exprimer mes sincères condoléances puis afficher ma solidarité avec ceux de l’autre camp, alors que nous condamnons la violence politique et affirmons notre unité comme un seul peuple.
Mais nous ne sommes pas « un seul peuple ».
La vérité est que nous ne le sommes plus depuis longtemps, et qu’il n’y a vraiment plus aucun sens à faire semblant, s’il y en a jamais eu.
Nous sommes deux peuples très différents. Nous occupons peut-être le même territoire, mais c’est bien là que les similitudes semblent brutalement s’arrêter.
Je me suis longtemps convaincu que lorsque la gauche me traitait de raciste, de bigot, de sexiste, de fasciste, ou de « menace pour la démocratie » pour le moindre désaccord innocent, ce n’était qu’une rhétorique hyperbolique, destinée à faire de l’effet.
Et maintenant, « l’effet », c’est une veuve et deux enfants orphelins, parce que la gauche ne supportait pas l’idée qu’un homme pacifique puisse les affronter dans le débat et l’emporter.
Je ne crois pas qu’ils en aient encore conscience, mais l’assassinat de Charlie sera retenu comme le jour où nous avons enfin ouvert les yeux sur la véritable nature de ce combat.
Ce n’est pas une simple querelle civile entre compatriotes. C’est une guerre entre deux visions du monde diamétralement opposées qui ne peuvent pas coexister pacifiquement. Un camp gagnera, l’autre perdra.
Charlie a essayé de livrer ce combat par l’argumentation, par la discussion, par la résolution pacifique des désaccords.
Et l’autre camp l’a assassiné.
Non pas parce qu’il était « extrême » ou qu’il « incitait à la violence » ou pour n’importe quelle autre injure hyperbolique qu’ils lui lançaient. Ils l’ont assassiné parce qu’il était efficace. Parce qu’il n’avait pas peur. Parce qu’il inspirait les autres et leur faisait sentir qu’ils avaient une voix, qu’ils n’étaient pas seuls. Et il le faisait dans les institutions mêmes qui ont attisé tant de haine contre les conservateurs.
Je ne veux pas « afficher ma solidarité » avec l’autre camp. Je veux vous vaincre. Je veux vaincre l’idéologie impie qui tue les bébés dans le ventre de leur mère, stérilise des enfants perdus, transforme nos villes en cloaques de décadence et d’anarchie… et qui a assassiné Charlie Kirk.
Les réseaux sociaux flambent en ce moment de célébrations gauchistes à l’annonce de la mort de Charlie.
Je me demande si certains d’entre eux comprennent ce qui vient de se produire. S’il y a parmi eux un Yamamoto pour prévenir qu’ils n’ont fait qu’éveiller un géant endormi.
J’en doute. Je pense qu’ils ont renoncé depuis longtemps à toute introspection et à toute lucidité.
Je ne sais pas exactement ce qui va se passer maintenant. Je sais seulement que ce ne sera plus comme avant.
Il y aura des pensées et des prières… Charlie aurait voulu des prières. Non pas pour lui-même, mais pour ceux qu’il laisse derrière et pour le pays qu’il aimait.
Mais il y aura ensuite un règlement de comptes.
Ma foi chrétienne m’ordonne d’aimer mes ennemis et de prier pour ceux qui me maudissent. Elle ne m’ordonne pas de rester les bras croisés au milieu de la sauvagerie et de la barbarie… bien au contraire.
Alors chaque fois que je me sentirai fatigué, découragé ou dépassé, je regarderai la vidéo d’un homme bon assassiné dans l’Utah… je me forcerai à la regarder… et je retournerai à la tâche de détruire l’idéologie maléfique responsable de cela et de tant d’autres horreurs.
Repose en Dieu, Charlie, ton combat est terminé.
Le nôtre ne fait que commencer.
Nicolas J. Freitas pour la Lettre patriote.




Suivre @ChrisBalboa78