Najat et Boris, couple infernal de la République

Publié par le 28 Oct, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Najat  et Boris, couple infernal de la République

On note souvent que la gauche est de plus en plus déconnectée de la vie réelle des Français.

On mesure leur décalage quand on voit les écologistes appauvrir les classes moyennes et mener nos industries à la faillite et les féministes ne défendre les femmes que lorsqu’elles sont agressées par des non-racisés.

Bien sûr, la raison principale de ces errements vient du fait que les gauchistes perçoivent le monde au travers de leur prisme idéologique qui les prive de tout réalisme, et de toute pensée rationnelle.

Mais il y a une autre raison, c’est que les socialistes vivent entre eux dans de petits cercles dans lesquels les idées de droite ne pénètrent jamais, et dans lesquels ils se confortent mutuellement dans la certitude qu’ils incarnent le Camp du Bien.

Ils achètent des voitures Renault, en souvenir de l’ancienne Régie, vitrine sociale du socialisme. Ils sont abonnés internet chez Orange en pleine nostalgie de France Telecoms et du ministère des PTT. Et il confie leur compte bancaire et leurs économies à l’Ecureuil.

Les socialistes vivent entre eux, se distrayant entre eux et forcément … se marient entre eux !

On se rappelle du couple Ségolène Royal – François Hollande, jamais marié malgré 4 enfants, rejetant sans doute le mariage bourgeois mais plus récemment du couple Najat-Vallaud Belkacem et Boris Vallaud qui incarne parfaitement ce socialisme vieillissant mais dont la toxicité est encore bien présente.

Voici un article de la Lettre patriote qui brosse le portrait de ce couple infernal :

Les Vallaud, ce poison de la République

Il y a parfois des familles qui semblent avoir fait carrière dans l’entrave. Les Vallaud en sont l’incarnation parfaite. Depuis vingt ans, ce couple politique formé par Najat Vallaud-Belkacem et Boris Vallaud occupe une place disproportionnée dans la vie publique, avec une constante : défendre un logiciel politique usé, coûteux, idéologique, et dont les conséquences se paient dans la vie quotidienne des Français.

On les entend partout, ils conseillent tout le monde, ils se pensent encore incontournables. Pourtant, leur héritage politique est limpide : abîmer l’école, alourdir la dépense publique, entraver l’entreprise, sanctuariser les corporatismes, et répéter que si la France ne va pas bien, c’est qu’elle n’est pas « assez à gauche ».

Najat Vallaud-Belkacem : l’école transformée en terrain d’expérimentation idéologique

Quand elle arrive Rue de Grenelle, l’école républicaine est déjà fragilisée. Mais sous son ministère, elle devient le laboratoire où l’on applique des concepts universitaires déconnectés du réel.

  • Réforme du collège : nivellement par le bas, disparition partielle du latin, des sections bilangues, des parcours exigeants.
  • Réécriture des programmes : l’idée, jamais assumée clairement, qu’il vaut mieux apprendre à « débattre » qu’à savoir.
  • Introduction de logiques pédagogiques où l’on remplace l’effort par l’affect.

Pendant que la Chine forme des ingénieurs, la France débat pour savoir si l’excellence n’est pas en elle-même une forme de « discrimination ». Résultat ? Une école affaiblie, des professeurs démoralisés, et des élèves qui sortent avec moins d’outils intellectuels qu’avant.

Et aujourd’hui encore, Najat Vallaud-Belkacem continue d’expliquer doctement dans les médias que tout allait très bien — (on le sait, pour la gauche, le problème, c’est le réel.)

Boris Vallaud : le gardien du temple de l’immobilisme économique

Boris Vallaud, c’est l’autre jambe du dispositif. L’homme qui dit toujours non.

  • Non aux réformes.
  • Non à la réduction de la dépense.
  • Non à la responsabilisation.
  • Non à la liberté économique.

Toujours cette certitude tranquille : l’État doit tout gérer, tout payer, tout prévoir.

Même si l’État n’en a plus les moyens. Même si la dette s’emballe. Même si l’investissement privé fuit. Même si les Français croulent sous les impôts.

Ces derniers mois, alors que le gouvernement cherche tant bien que mal à rétablir l’équilibre budgétaire, le voilà à la manœuvre, dans l’ombre, multipliant pressions, tribunes, influence parlementaire, pour s’assurer que les choix rationnels soient évités à tout prix. L’important n’est pas que la France respire — mais que l’idéologie reste intacte.

C’est l’éternelle doctrine Vallaud : plutôt l’échec que l’adaptation.

Le couple symbole d’une gauche qui ne renonce jamais à gouverner, même quand elle a perdu

Les Vallaud ne représentent pas simplement deux personnalités politiques. Ils symbolisent une matrice. Celle d’une gauche persuadée qu’elle a un droit naturel à orienter le pays. Même lorsque les urnes ont tourné la page. Même lorsque la société n’adhère plus.

On les retrouve dans les partis, les think tanks, les médias, les maisons d’édition. Ils continuent de parler au nom de « la République », alors qu’ils n’en représentent plus qu’une minuscule – et ridicule – fraction surannée. Ils tiennent les discours, valident les mots d’ordre, veillent à ce que rien ne change vraiment.

Ce n’est pas un projet politique : c’est une prise en otage du réel.

Et pourtant, le pays avance malgré eux

Néanmoins, quelque chose a changé : les Français ont compris. Le logiciel qu’ils défendent n’a plus de prise sur le monde d’aujourd’hui. La France souffre de lenteurs, de charges, de blocages, de moralisme administratif — exactement ce que les Vallaud défendent depuis vingt ans.

La société veut respirer. Eux veulent l’encadrer.

La société veut créer. Eux veulent réglementer.

La société veut réussir. Eux veulent « corriger ».

Nous n’avons plus affaire à des responsables politiques : mais à des administrateurs du déclin.

Didier Dewitte pour la Lettre patriote.

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