
Je ne pardonnerai jamais à Gérald Darmanin :
– d’avoir trahi la droite en allant à la soupe macronienne,
– d’avoir dissous le mouvement Génération identitaire.
Le mouvement Génération identitaire était une association pacifique qui se contentait d’afficher des banderoles pour dénoncer les méfaits de l’immigration incontrôlée.
La France insoumise est un parti politique qui me parait beaucoup plus dangereux, pour la République, et pour la France, que le mouvement identitaire dissous scandaleusement par la Macronie.
Il y a trois jours, j’ai été scandalisé par ces députés d’extrême gauche, de gauche et du centre qui ont osé boycotter les cérémonies de commémoration de la victoire du 8 mai 1945 contre le nazisme pour assister, en Algérie, notre ennemi actuel, à une cérémonie anti-française.
Cet article de Boulevard Voltaire relate cette trahison de l’islamogauchisme :
Commémoration des massacres du 8 mai 1945 :
l’algéro-gauchisme bat son plein
Dans un contexte de forte tension entre les deux pays, une poignée d’élus a choisi l’Algérie plutôt que la France.
Ce jeudi, la France entière se souvenait. Elle rendait hommage aux soldats morts au front durant la Seconde Guerre mondiale. Elle fêtait les quatre-vingts ans de la capitulation allemande. Toute la France était au diapason. Toute, excepté une trentaine d’élus d’extrême gauche, de gauche et du centre.
Une grosse poignée de députés, de sénateurs et autres qui ne s’est visiblement pas sentie concernée par ce moment d’unité nationale et qui a préféré, en tout cas, se rendre en Algérie. Parmi eux :
- Laurent Lhardit, Fatiha Keloua Hachi (députés socialistes),
- Danielle Simonnet (députée LFI),
- Sabrina Sebaihi et Karim Ben Cheikh (députés écologistes),
- le député communiste Stéphane Peu, Belkhir Belhaddad, les sénateurs Raphaël Daubet, Briante Guillemont, Ahmed Laouedj, Adel Ziane Akli Mellouli
- et bien d’autres huiles.
Que du beau monde !
Algéro-gauchisme
Ils ont choisi de se rendre en Algérie plutôt que d’honorer, devant les monuments aux morts, ceux qui sont tombés pour libérer la France du joug nazi. De quoi s’agit-il ? De la commémoration des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, instaurée par Abdelmadjid Tebboune en 2020. Des massacres perpétrés par la France au cours de manifestations nationalistes dans l’est de l’Algérie ayant fait, selon Alger, 45.000 victimes et, selon Paris, entre 1.500 et 20.000 morts, dont des Européens.
Une violence que les élus de gauche et le régime algérien ont tendance à présenter comme gratuite et unilatérale. Paul Amar, journaliste français né à Constantine lorsque l’Algérie était française, modère cette thèse. Selon lui, la répression sanglante de Sétif est une réaction de l’armée française « à des massacres antérieurs d’Européens égorgés, décapités, émasculés et éventrés ». Il dénonce un « travail mémoriel, nécessaire certes, mais toujours à sens unique ».
Auto French bashing
En parallèle de ce déplacement en Algérie pour une énième séquence de repentance, la municipalité de Marseille a aussi organisé une cérémonie commémorative de cet événement tragique : une cérémonie de « commémoration de l’autre 8 mai 1945 ». Une manifestation au cours de laquelle Anthony Krehmeier, maire des IIe et IIIearrondissements et proche de Benoît Payan, a déclaré :
Nous sommes ici pour nous souvenir des dizaines de milliers d’Algériens morts pour avoir cru à la promesse de liberté.
Comme à l’accoutumée, la France est présentée comme le méchant colonisateur et l’Algérie comme une victime, sans la moindre nuance. Chose jugée anormale pour Valérie Boyer, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône, interrogée par BV :
Quand on rentre dans les mémoires, il faut penser à toutes les mémoires.
Dans le contexte actuel de tension entre les deux pays, ces élus qui enfoncent la France ne l’aident pas à faire jeu égal avec l’Algérie, à se faire respecter. Le groupe d’opposition Une volonté pour Marseille s’en agace. Pour preuve, cette demande à Benoît Payan :
Cessez ces courbettes devant le régime d’Alger, arrêtez de vouloir réécrire l’Histoire.
Enfin, à ceux, comme Laurent Lhardit, président du groupe d’amitié France-Algérie à l’Assemblée nationale, qui prétendent favoriser le dialogue entre les deux nations, Valérie Boyer répond :
Il y a une différence entre conserver des relations et répondre à l’invitation d’un président autocrate qui est très hostile à notre pays.
Tout est dit.
Sarah-Louise Guille pour Boulevard Voltaire.




Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “C’est la France insoumise qu’il faut dissoudre !”
On coupe déjà toutes relations avec certains pays, alors si on coupait celles avec l’Algérie et renvoi de tous ceux qui se revendiquent de cette nationalité.
Plus besoin de construire d’autres prisons, plus d’hôpitaux encombrés, plus de déficit de la sécu et de la CAF, niveau scolaire au top niveau, et on peut partir de chez soi en laissant la porte ouverte et les clés sur la voiture.