Charlie Hebdo – Eric Zemmour : même combat !

Publié par le 8 Jan, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Charlie Hebdo – Eric Zemmour : même combat !

La liberté d’expression est en danger !
Un constat général très inquiétant !

En France aujourd’hui, deux fléaux sont responsables d’un recul historique des libertés d’opinion et d’expression :

 l’islam radical et le progressisme !

Certes, à l’inverse de l’islam radical, le progressisme n’a pas (encore) de sang sur les mains, mais il se comporte déjà pratiquement comme une religion. Les progressistes sont persuadés de détenir la vérité et pour eux toute critique du progressisme est insupportable. Si un opposant ose dire : « c’était mieux avant  », pour eux, on est tout proche du délit de blasphème.

C’est bien ce double danger – islam radical et progressisme – qui rapproche des pôles aussi opposés que Charlie Hebdo et Eric Zemmour. Le premier défend sa liberté de publier et de caricaturer tandis que le second est régulièrement attaqué et trainer devant la justice pour simplement exprimer une opinion contraire à la doxa progressiste.

Mais si le premier a renoncé, depuis le terrible attentat qui l’a frappé, il y a tout juste un an, à toute caricature du prophète – une victoire de fait du terrorisme islamique -, le second se bat courageusement contre l’union des progressistes, de la gauche, des médias, des associations antiracistes et bien souvent de la justice !

Voici un article de la Lettre Patriote qui résume la position de Charlie Hebdo :

5 ans après le massacre en ses locaux, Charlie Hebdo fustige le politiquement correct

Le dessin de la Une est signé Coco: un smartphone géant affichant les logos de grands réseaux sociaux écrase la langue et les bras d’un dessinateur, avec ce titre “Nouvelles censures… Nouvelles dictatures”.

“Hier, on disait merde à Dieu, à l’armée, à l’Église, à l’État. Aujourd’hui, il faut apprendre à dire merde aux associations tyranniques, aux minorités nombrilistes, aux blogueurs et blogueuses qui nous tapent sur les doigts comme des petits maîtres d’école”, écrit Riss, le directeur de la rédaction, dans son éditorial.

“Aujourd’hui, le politiquement correct nous impose des orthographes genrées, nous déconseille d’employer des mots supposés dérangeants (…)”, ajoute-t-il, s’en prenant aux “nouveaux censeurs” qui “se croient les rois du monde derrière le clavier de leur smartphone”.

“Les flammes de l’enfer d’autrefois ont laissé la place aux tweets délateurs de maintenant”, complète-t-il.

L’avocat du journal, Me Richard Malka, critique aussi dans une tribune “les mille et une manifestations du tyranniquement correct ambiant”.

Enfin !

Marc Sergent pour la Lettre Patriote.

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