
Ça panique « grave » dans le Camp du Bien !
Depuis les années Mitterrand et la main-mise de la gauche sur les médias et le monde de la culture, son magistère moral coulait des jours et des décennies heureuses dans un paysage médiatique tout acquis à sa cause.
C’est la gauche qui décidait où étaient les bons et où étaient les méchants. C’est elle qui décidait des sujets d’actualité autorisés comme l’approbation des réformes progressistes, et des sujets interdits comme l’immigration et l’insécurité.
Les socialistes, les médias, la justice et le monde de la culture voguaient sur une mer calme et dégagée de tout écueil. Le vaisseau amiral de cette flotte sous pavillon progressiste était le Service public de l’audiovisuel fort de sa multitude de chaines de radio et de télévision.
Mais ça, c’était avant !
Avant qu’une flottille de sous-marins ne vienne semer la panique dans la flotte du Camp du Bien peu habituée à la contestation de sa souveraineté absolue dans l’océan médiatique.
L’armateur de ces submersibles avait nom Vincent Bolloré dont le titre de gloire était d’avoir pris à l’abordage le navire emblématique du progressisme bobo … J’ai nommé Canal+ !
La bataille fut rude entre lui et le Camp du Bien. Après une première défaite, qui vit un gendarme de l’audiovisuel plus que partisan interdire de navigation C8, la première chaine de la TNT, Vincent Bolloré contre attaqua avec les succès insolents de CNews, désormais première chaine d’infos, le JDD et le JDNews.
Les projets de développement de Vincent Bolloré d’acquérir un grand titre de la presse écrite, comme le Parisien, furent bloqués sur ordre de l’Elysée !
L’odieux visuel de Sévices publics* est dans la tourmente !
Le vaisseau amiral de la gauche médiatique prend l’eau après que de ses capitaines Legrand et Cohen aient été pris la main dans le sac de leur connivence et de leur complicité active avec ce qui reste du groupuscule socialiste.
Dans l’histoire des médias, cet épisode restera marquant et la stratégie de défense des lieutenants de ce bateau restera comme un exemple de ce qu’il ne faut pas faire.
Même l’amiral(e) de la flotte progressiste, Delphine Ernotte, perd les pédales. Pour éviter de répondre aux questions de la collusion de ses équipes avec la gauche, elle croit s’en tirer en attaquant CNews !
C’est ce que relate cet article de la Lettre patriote :
Delphine Ernotte dynamite le service public
et affiche son camp politique
Elle voulait sans doute « défendre » ses troupes, mais elle a ouvert une brèche qui risque d’engloutir tout l’audiovisuel public. Delphine Ernotte, reconduite à la tête de France Télévisions, a franchi hier un pas inédit : qualifier CNews de « chaîne d’extrême droite ».
Une déclaration de guerre. Une faute politique.
Et, surtout, une faute professionnelle pour une dirigeante censée représenter un service public financé par tous les Français.
L’aveu d’un positionnement idéologique
Depuis l’affaire Legrand-Cohen, où deux journalistes du service public ont été surpris en connivence avec des cadres socialistes, la présidente de France Télévisions était sous pression. Au lieu de répondre sur le fond, elle a préféré l’attaque : désigner CNews comme l’ennemi à abattre. Problème :
en choisissant d’aligner France Télévisions contre la première chaîne d’info du pays, elle abandonne toute prétention à l’impartialité.
Elle a ôté le masque : France Télévisions est bien à gauche, et assume désormais de se poser en contrepoids à ceux qui donnent la parole aux oubliés de la République.
Le service public en danger
Cette sortie ne tombe pas dans le vide. Dans les rangs mêmes de Radio France, certains s’étranglent :
Elle positionne elle-même le service public sur l’échiquier politique,
confie un journaliste. Et pour cause : en caricaturant les téléspectateurs de CNews, Delphine Ernotte prend le risque de renforcer ce qu’ils pensent déjà – que l’audiovisuel public n’est qu’une machine à donner des leçons.
Pendant ce temps, l’Arcom se voit contrainte de se pencher sur « l’impartialité » du service public. En voulant détourner le débat, la présidente de France Télévisions l’a en réalité légitimé. Ernotte a cru tendre un rideau de fumée, mais elle a rallumé l’incendie.
Un duel perdu d’avance
Dans ce combat, France Télévisions n’a aucune chance.
Car CNews prospère précisément sur cette liberté de ton qu’Ernotte voudrait censurer.
Chaque attaque renforce l’audience de la chaîne. Chaque diatribe contre « l’extrême droite » conforte les téléspectateurs dans l’idée que CNews dit ce que d’autres taisent.
En voulant jouer à la guerrière, Delphine Ernotte électrise le paysage médiatique. Mais elle fait surtout basculer le service public du côté où il ne devrait jamais être : celui du militantisme. Elle ne met pas seulement une cible sur le dos des journalistes de CNews, comme l’a rappelé Pascal Praud. Elle met en péril la crédibilité de l’ensemble de l’audiovisuel public.
La Lettre patriote.
* L’odieux visuel de Sévices publics* tout droit réservé à Gilles-William Goldnadel




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