
Décidément, rien ne changera dans le « Sévice public de l’odieux visuel » comme dirait Gilles-William Goldnadel.
On a tous en tête le dernier scandale dans l’émission macroniste et progressiste Quelle époque quand un « médecin humanitaire » a comparé la situation à Gaza aux camps de concentration et que Thierry Ardisson a renchéri en la comparant à Auschwitz !
Léa Salamé et Appoline de Malherbe, deux pointures journalistiques présentes sur le plateau n’ont pas réagi ! L’auraient-elles fait si le dérapage était venu de l’extrême droite ? Je vous laisse répondre à cette question difficile …
Thierry Ardisson s’est excusé mais Léa Salamé, et les directions de France 2 et de France Télévisions n’en ont rien fait ! A la complète satisfaction de la France Insoumise !
Dans le même temps, on apprenait que, sans surprise, Delphine Ernotte avait été confirmé à la tête de France Télévisions pour un troisième mandat.
Vous savez, Delphine Ernotte, celle qui s’était distinguée par deux déclarations confondantes :
Nous avons une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, il faut que ça change.
Nous représentons la France, non pas comme elle est, mais comme nous voudrions qu’elle soit !
Une télévision financée avec l’argent des contribuables de droite comme de gauche !
Les réactions à cette nomination ont été nombreuses comme par exemple ce communiqué de Médias Citoyens qui, par ce tweet, cloue au pilori la gouvernance de Delphine Ernotte :
Des pratiques discriminatoires et illégales
Dès son arrivée à la tête de France Télévisions, Delphine Ernotte a théorisé sa révulsion pour :
les hommes blancs de plus de 50 ans.
La présidente du groupe audiovisuel public semble avoir mis à exécution cette orientation idéologique, déployant tout au long de ses deux mandats une politique visant à les écarter.
Quitte à s’exposer à des discriminations pénalement répréhensibles et à mobiliser des dizaines de millions d’euros d’argent public pour soutenir cette stratégie d’éviction.
La Cancel Culture comme outil de gouvernance
Le terme Cancel culture, venu de l’anglais cancel (annuler), désigne la volonté d’exclure publiquement des personnes ou institutions jugées indésirables. Dans l’entreprise, cela peut se traduire par la marginalisation ou le licenciement de salariés appartenant à des catégories perçues comme problématiques.
Ces pratiques, contraires au droit du travail, sont maquillées par la direction de France Télévisions sous des justifications budgétaires ou disciplinaires. Pourtant, de nombreux éléments laissent penser que des motivations idéologiques sous-tendent ces décisions. L’éviction progressive des salariés de plus de 50 ans semble répondre à cette logique : mis à l’écart des antennes, sortis des effectifs, ces professionnels paieraient le prix symbolique d’une génération associée à un ordre patriarcal.
Une orientation résumée par Delphine Ernotte :
Nous avons une télévision de plus de 50 ans, il faut que ça change.
Des méthodes cyniques et illégales
Depuis deux ans, nous avons recueilli de nombreux témoignages évoquant la mise à l’écart, voire le licenciement, d’hommes blancs hétérosexuels de plus de 50 ans, sur la base de dossiers fragiles, voire fictifs. Anonymes ou identifiés, ces récits décrivent un climat de peur généralisée, nourri par une stratégie de disqualification orchestrée au sommet.
Un ancien cadre dirigeant explique :
Pour se séparer plus facilement de ses cadres expérimentés, la direction fait appel à des cabinets privés comme Secafi, qui facturent entre 50 000 et 80 000 euros des rapports à charge reposant sur des témoignages biaisés ou inexistants.
Un climat de terreur
Conséquence :
France Télévisions perd à chaque fois ses procès aux Prud’hommes et doit verser de lourdes indemnisations.
Un autre cas évoque le licenciement brutal de trois directeurs du service des sports, accusés sans preuve de harcèlement et finalement blanchis par la justice.
Ce type d’affaire permet à la direction d’accélérer les départs et d’asseoir un pouvoir disciplinaire sans contre-pouvoir. Un rédacteur en chef de France 2 confie :
Je vis avec la peur permanente d’être accusé à tort. Il suffit d’un prétexte pour être écarté sans enquête.
Un journaliste expérimenté témoigne :
Dans tous les services, des hommes approchant la cinquantaine vivent dans la crainte du placard.
Plusieurs signalements mentionnent également une hostilité envers les hommes catholiques pratiquants. L’un d’eux affirme :
Je cache autant que possible ma foi, elle est très mal perçue par la direction. Cela me porterait gravement préjudice.
Conséquences humaines et financières
Les répercussions de cette politique sont graves. Un médecin du travail s’inquiète de l’augmentation inédite de cas de burn-out, de détresses psychologiques, de salariés sous antidépresseurs.
Tous les licenciements contestés devant les Prud’hommes ont débouché sur des condamnations pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse » et, souvent, pour « préjudice moral ». Dans certains cas, les montants versés dépassent le million d’euros.
Un salarié s’interroge :
Faut-il attendre un suicide pour qu’une enquête soit enfin ouverte sur ce climat toxique ? Ce service public, qui était notre fierté, est devenu une machine à broyer.
Selon nos sources, France Télévisions provisionne chaque année entre 20 et 25 millions d’euros pour couvrir les contentieux liés à sa politique de licenciements.
Conclusion
Au terme de ses dix années à la présidence de France Télévisions, Delphine Ernotte promet de « réconcilier » un groupe qu’elle aura fracturé comme jamais dans l’histoire du service public audiovisuel.
Sous prétexte de modernisation et de diversité, sa gouvernance aura instauré un régime d’exclusion systémique, où idéologie et brutalité managériale se confondent.
Car derrière les discours de progrès, c’est une mécanique de contrôle, d’arbitraire et de peur qui s’est installée au cœur du service public audiovisuel.
Médias Citoyens.
On pourra aussi lire cet article de Boulevard Voltaire qui tire les conclusions des deux premiers mandats de Delphine Ernotte :
Delphine Ernotte réélue à la tête de France Télévisions : l’heure du bilan




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