En Grande-Bretagne, les hommes enceints, c’est fini !

Publié par le 19 Avr, 2025 dans Blog | 0 commentaire

En Grande-Bretagne, les hommes enceints, c’est fini !

Nous sommes tous habitués au fait que les organismes officiels en général et la Justice en particulier soient gangrenés par le progressisme, voire le wokisme.

C’est pourquoi j’ai cru à une fake news quand j’ai appris que la Cour suprême britannique venait de siffler la fin de la récréation du genre-roi en imposant que les notions d’homme et de femme soient strictement associées au sexe biologique, à l’exclusion de tout ressenti !

J’espère que cette décision va faire réfléchir tous les autres pays qui devraient profiter de l’occasion pour revenir au bon vieux bon sens en abandonnant les délires des progressistes.

On espère qu’ainsi les expressions : « un homme enceint », « Je m’identifie comme une femme » seront abandonnés ou feront seulement rire !

Je ne résiste pas au plaisir de replacer ici ce grand moment de télévision :

Que je complète par cet extrait d’un sketch de Fabrice Eboué :

Si un homme s’identifiant comme une femme enceinte me demande de lui céder ma place dans le métro, je lui dirais non car je m’identifie comme une vieille dame !

Voici un article de l’IREF qui commente la décision de la Cour suprême britannique :

Quand la Justice doit rappeler que
les femmes sont … des femmes

Le 16 avril, la Cour suprême britannique a rendu un jugement décisif dans un litige opposant le gouvernement écossais à l’association For Women Scotland : les mots « homme » et « femme » dans la législation britannique font référence au sexe biologique, et non au genre déclaré ou reconnu légalement. L’affaire remonte à 2018, lorsque le Parlement écossais a adopté une loi imposant des quotas de parité dans les conseils d’administration du secteur public. Ils devaient inclure les femmes transgenres, en possession ou non d’un certificat de reconnaissance de genre (GRC).

Comment en sommes-nous arrivés à nous poser des questions aussi consternantes ? Qu’un tel débat ait dû être tranché par la Cour suprême en dit long sur le climat idéologique ambiant. Des associations militantes ont réussi à insuffler, dans les plus hautes sphères de l’État, l’idée selon laquelle les catégories sexuelles seraient des constructions sociales et le genre pourrait complètement supplanter le sexe biologique. En 2022, le parlement écossais a adopté une loi pour autoriser la transition juridique des mineurs à partir de 16 ans sans diagnostic médical — un texte bloqué in extremis par le gouvernement britannique.

Ce jugement aura des effets très concrets : les politiques de parité, de protection et d’accès réservé (hôpitaux, prisons, refuges, compétitions sportives, lieux publics) continueront de s’appuyer sur une distinction fondée sur le sexe biologique, par sécurité, cohérence juridique et équité. Il ne doit pas être interprété comme une attaque contre les personnes transgenres, mais comme un rappel salutaire que le droit s’appuie sur des réalités objectives, et non sur le ressenti des uns et des autres.

Elodie Messéant pour l’IREF.

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