France TV Slash, porte-voix du gauchisme

Publié par le 19 Mai, 2021 dans Blog | 4 commentaires

France TV Slash, porte-voix du gauchisme

Voici un autre exemple édifiant de détournement du service public de l’audiovisuel à ajouter à mon article posté hier :

Avec votre argent, la gauche détruit la France

Il s’agit de la plateforme numérique France TV Slash que Valeurs actuelles qualifie d’antichambre du “wokisme“.

France TV Slash accueille l’engeance de l’islamo-gauchisme, du lobby LGBTQ+ et de la haine anti-flics, sous couvert d’inclusion et de multiculturalisme. Le tout financé par la redevance du contribuable français.

Voici quelques éléments  de cet article très documenté :

Islamo-gauchisme décomplexé, haine anti-flics, lobby LGBT : France TV Slash, l’anti-chambre du wokisme financée par vos impôts

“Harcèlement textuel”, “charge mentale”, “andrologie” … Au premier coup d’œil adressé à France TV Slash, déclinaison de France TV, on constate qu’aucun néologisme venu de la novlangue woke ne manque à l’appel. Les totems de l’extrême gauche trouvent leur rond de serviette au sein de la « plateforme qui veut parler aux millenials ». Si ces thématiques étaient abordées par des médias privés, comme Konbini ou Loopsider, aucune objection ne saurait trouver grâce à nos yeux. Mais voir ces sujets traités sur France TV, un média du service public, financé par la redevance télé, donc par les impôts des Français, peut poser question. Une chaîne de service public a-t-elle vocation à distiller sa propagande politique, sous couvert d’information et de neutralité ?

Le programme “Insomnie”

Camélia Jordana, y apparait dans dans l’épisode 2 de la saison 11, et se félicite que ses propos sur les « noirs et les arabes [qui] se font quotidiennement massacrer par la police dans les banlieues » – tenus sur le plateau d’On n’est pas couché en 2019 – aient ouvert une boîte de Pandore dans la sphère politique.

Curieusement, on a trouvé la chanteuse beaucoup plus taciturne à l’heure de rendre hommage au policier lâchement tué à Avignon par un délinquant il y a deux semaines. A croire que la chanteuse et comédienne « choisit [ses] deuils, » à l’instar de ce qu’avait fait Yassine Belattar pour les attentats de Charlie Hebdo en 2015.

La série “Skam”

Cette série met à l’honneur de jeunes étudiants, pour la plupart issus de « communautés discriminées », et cumule près de 28 millions de vues pour sa seule saison 3. Des scores stratosphériques. Elle met en scène Lucas, jeune homosexuel sur le point de faire son coming-out dans son lycée, ou encore Imane, jeune fille désorientée qui va retrouver une boussole grâce à la foi.

L’émission “Dans mon tel”

On y apprend que Flavien, 19 ans, est abonné au compte Twitter de… David Dufresne, docteur ès violences policières. Un spécialiste jamais avare en hyperboles anti-flics, et accusé d’avoir relayé des fake news incriminant les gardiens de la paix lors du mouvement des gilets jaunes il y a deux ans …

“Etiquette”, émission composée de 19 épisodes

“Etiquette“met en scène les déboires de citoyens français se déclarant « stigmatisés » par la société en raison de leurs signes distinctifs, traits de caractère, religion ou profession. Dans un simulacre de confessionnel à ciel ouvert, ces opprimés du quotidien comme les « musulmans de France », les « drags », les « féministes » ou les « anciens détenus » peuvent relater leur chemin de croix social, fait de stéréotypes, préjugés et clichés en tout genre à leur encontre. Une sorte d’Arche de Noé des martyrs du racisme systémique de l’Etat ou de la haine anti-féministes, les réels dangers pour la cohésion de la nation française, bien plus que les risques d’attentats islamistes, la détestation croissante des policiers ou l’antisémitisme.

On y présente les damnés de la Terre du XXIe siècle qui seraient les « musulman.e.s [sic] de France » – écriture inclusive oblige -, à qui l’on interdirait de pratiquer librement leur religion au sein de l’Hexagone. « En France, bien que l’on dise qu’il y a une liberté de culte, les musulmans ne peuvent pas pratiquer librement leur religion », soutient Maryem, 30 ans et professeur de physique-chimie. Elle arbore un imposant hijab, qui n’est nullement un symbole de « soumission à l’homme » selon elle.

Farah, 26 ans,  perçoit l’islam comme une religion « d’humilité, de partage et d’apprentissage ». Elle s’offusque du deux poids-deux mesures de l’Etat français, qui favoriserait la religion chrétienne au détriment de la religion musulmane. « On entend bien les clochers des églises retentir le matin. Je me pose une question : pourquoi n’entend-on pas l’adhān [l’appel à la prière du matin en arabe, ndlr] depuis la mosquée ? Pour moi, ce genre d’inégalité représente un exemple d’entrave à la liberté de pratique de notre religion musulmane. »

Un deuxième numéro de l’émission “Etiquette” interroge des habitants issus de quartiers populaires. L’attirail complet de l’idéologie gauchiste est mis à l’honneur : stigmatisation de la police, auto-victimisation, éloge de l’argot et du verlan…  Chahinaz, jeune de 20 ans habitant à Nanterre, craint pour la vie de ses proches tous les jours en banlieue : « L’ambiance est anxiogène actuellement dans les quartiers populaires. J’ai peur pour mon frère et mon père se fassent tuer. Ma mère a toujours inculqué à mon frère de s’éloigner de la police, alors que ce n’est pas logique, ce sont des fonctionnaires de l’Etat. On est censé avoir peur d’eux et les fuir dès qu’on les voit comme la Faucheuse. » Pourtant, récemment, et jusqu’à preuve du contraire, ce sont les gardiens de la paix qui ont payé de leur vie, et non l’inverse…

L’idéologie LGBTQ+ en marche

Aussi, le documentaire “Queendom” suit l’itinéraire de trois figures emblématiques de la scène drag parisienne : Filip, Cookie Kunty et Shigo LaDurée. Et nous invite à « découvrir leur culture, leurs histoires et leurs aspirations dans un monde touché par une crise sanitaire ». Tout l’agenda LGBTQ+ est exposé dans cette série aux accents de Crazy Horse : déconstruction des genres, invisibilisation des sexes…

Haro sur « L’homme cisgenre »

 Les pastilles « sexy soucis », présentées par une sexologue nommée Diane, regorgent de leur lot de « perles woke ». France TV Slash, l’a bien compris : les interrogations premières des jeunes de 2021 concerneraient l’identité sexuelle.

 Diane avance qu’« il y a des stéréotypes de genres qui laissent penser que si on naît avec un vagin, on est forcément une fille ». « Lorsqu’on est cisgenre, on est hyperprivilégié. Notre identité de genre est reconnue, que ce soit par nos proches, les autorités, sans qu’on ait besoin de faire d’annonces, de démarches administratives ou médicales », étaye-t-elle. Ce qui est considéré comme la norme, souvent, on ne le nomme pas. Je pense qu’il faut en finir avec ça et nommer les privilèges », conclut Diane. Les 66 millions de Français cisgenres apprécieront de savoir qu’ils sont tous des privilégiés, et partent avec un avantage certain pour réussir leur vie. Heureusement que France TV Slash est là pour leur rappeler. Finalement, la redevance a du bon…

Etc … etc …

Edouard Lavollé pour Valeurs actuelles.

Il est insupportable de trouver sur un service public financé par tous les Français un tel concentré de propagande progressiste.

Qui aura le courage de siffler la fin de la récréation à France Télévisions ?

 

Merci de tweeter cet article :





4 Réponses à “France TV Slash, porte-voix du gauchisme”

  1. Je me demande quel est son taux d’audience. Avec la concurrence entre chaînes, seuls les convaincus peuvent regarder ces programmes. Au moins ai-je la satisfaction de ne pas payer de redevance, faute de télé.

  2. Eh bien , en lisant les titres des émissions et un résumé de ce qui s’y dit et s’y montre, je suis heureuse de ne plus regarder cette machine à laver le cerveau depuis près de 20 ans.

    Je regrette seulement de payer la contribution, parce que nous n’avons pas jeté cet écran (vieux, mais fonctionnant toujours) , écran mis dans la chambre d’amis au cas où…

    J’espère convaincre mon conjoint de ne pas renouveler ce truc machin lorsqu’il tombera en panne.

  3. Cette semaine, le journal local fait la publicité au nom de la république de la population LGBTetc.
    « mon père est gay » et « ma petite fille est trans ».
    Cette publicité n’est pas payée QUE par cette minorité contrairement à un produit quelconque payé par une entreprise.
    Il y en a déjà tellement à la télévision dans les publicités ou séries, c’est bon, on a compris!

  4. Les fous de goche frappe sur tous les aspects de la vie, peu importe s’il progressent par des mensonges, la manipulation etc…

    L’honneteté n’etant pas leur point fort, bien au contraire !

Répondre à pseudo49 Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *