
Une grande bataille se prépare entre l’oligarchie et les citoyens, entre les élites mondialistes et le peuple.
Dans la dernière décennie, une faille énorme s’est creusée entre les Français et leurs élites dirigeantes.
Je voudrais illustrer cette faille par un exemple frappant :
Depuis des années, les sondages montrent de façon récurrente que 70 % des Français veulent arrêter le flot migratoire qu’ils associent avec l’explosion de l’insécurité.
Dans une vraie démocratie, les élites devaient se mobiliser pour satisfaire cette volonté majoritaire. Pourtant, chaque année, ces mêmes élites laissent entrer 500 000 migrants « légaux » sur notre sol !
Alors que l’Algérie ne cesse d’humilier la France, l’élite du Quai d’Orsay s’est félicitée d’avoir accordé mille visas de plus pour les étudiants de ce pays !
La Commission européenne qui représente bien toute l’oligarchie et les élites mondialistes ne cesse de réduire la liberté d’expression des peuples européens quand elle ne s’ingère pas dans les élections des pays européens !
En Allemagne, Macron vient de prononcer une violente diatribe contres les réseaux sociaux qui laisse penser que de nouvelles mesures seront prises en Europe et en France pour faire taire les oppositions.
Parallèlement, un grave danger guette les peuples européens avec la mise en place d’une identité numérique qui permettra de ficher tous les Européens et plus encore l’euro numérique qui risque de conduire au crédit social à la chinoise !
La mobilisation des peuples européens doit être totale pour éviter ces deux fléaux !
Voici un article de France-Soir qui rapporte ce qui se passe actuellement outre-manche dans le domaine de l’identité numérique :
La « Brit Card » de Starmer : une campagne satirique virale démasque les absurdités d’une identité numérique obligatoire
La « Brit Card » de Starmer : une campagne satirique virale démasque les absurdités d’une identité numérique obligatoire
Alors que le Premier ministre britannique Keir Starmer vient d’annoncer l’introduction d’une carte d’identité numérique obligatoire pour tous les citoyens et résidents permanents, une campagne publicitaire lancée par le groupe conservateur Turning Point UK fait le buzz sur les réseaux sociaux. Baptisée « Brit Card », cette mesure vise à lutter contre l’immigration illégale en exigeant une vérification d’identité via une application smartphone pour accéder à un emploi ou à un logement. Mais pour ses détracteurs, elle ouvre la porte à un futur orwellien. Une vidéo satirique de 40 secondes, vue des dizaines de milliers de fois, illustre avec humour noir les dérives potentielles de ce système, qualifié de « tyrannie numérique ».
L’excellente campagne des Anglais pour montrer la mise en esclavage par l’identité numérique pic.twitter.com/UsTlbX22Hu
— Philippe Murer (@PhilippeMurer) October 1, 2025
L’annonce, révélée fin septembre, prévoit que chaque adulte britannique devra posséder une « Brit Card » stockée sur son téléphone, via l’application gov.uk Wallet rebaptisée pour l’occasion. Destinée à vérifier le droit de travail et de résidence, elle s’inscrit dans un plan plus large pour endiguer les flux migratoires illégaux, selon le gouvernement travailliste.
C’est une opportunité énorme pour moderniser notre pays,
a déclaré Starmer, promettant une mise en œuvre progressive dès 2025. Pourtant, la proposition a déjà suscité une vague de contestation : plus de 2,4 millions de signatures sur une pétition parlementaire, et des critiques acerbes de la part d’associations comme Big Brother Watch et Liberty, qui y voient :
une menace pour la vie privée et un risque de discrimination.
C’est dans ce climat tendu que Turning Point UK, un think tank conservateur proche des idées libertariennes, a contre-attaqué avec une publicité choc diffusée sur Facebook et Instagram. La vidéo, partagée massivement sur X (ex-Twitter) et vue plus de 40 000 fois en quelques heures, dépeint un Royaume-Uni dystopique où la « Brit Card » dicte les moindres gestes quotidiens. Dans la vidéo, l’humour absurde y est roi :
- une grand-mère est refoulée d’un bus parce qu’elle n’a pas de smartphone ;
- un habitué du pub se voit refuser une pinte supplémentaire au motif qu’il n’a pas d’appareil mobile ;
- un voyageur est interdit de vol pour avoir « dépassé son quota d’émissions carbone » avec deux trajets annuels ;
- un client ne peut acheter de viande au supermarché, son achat étant bloqué par un post sur les réseaux sociaux jugé « non conforme à la narrative gouvernementale » ;
- enfin, un internaute est coupé d’Internet après trois heures d’utilisation quotidienne, son accès verrouillé par la carte.
Résistez à la tyrannie de Starmer ! Signez la pétition maintenant,
lance l’annonce en conclusion, avec un appel à l’action clair. Produite en 40 secondes chrono, cette satire s’inspire ouvertement de 1984 de George Orwell, multipliant les scénarios exagérés pour souligner les « non-sens » d’un tel système : exclusion des non-numérisés (comme les seniors), surveillance intrusive des habitudes de consommation et de voyage, et censure indirecte via les algorithmes. Ceci n’est pas non plus sans rappeler S.O.S . Bonheur, la dystopie prophétique de Van Hamme et Griffo « SOS Bonheur ».
La Brit Card ne résoudra pas l’immigration, elle créera des esclaves numériques,
résume un porte-parole de Turning Point UK dans un communiqué relayé sur les réseaux.
La campagne n’est pas sans précédent au Royaume-Uni, où plusieurs tentatives d’identité obligatoire ont échoué, la dernière en 2010 sous les conservateurs. L’opposition, emmenée par Jake Berry, dénonce déjà la mesure comme :
la plus anti-britannique jamais proposée.
Du côté des partisans, le gouvernement insiste sur la sécurité et la simplicité : la carte serait gratuite et sécurisée, avec une consultation publique à venir.
En France, où des débats similaires agitent autour de l’identité numérique européenne, cette vidéo résonne particulièrement. Partagée par des influenceurs comme Philippe Murer sur X, elle cumule déjà des milliers de réactions :
Même Orwell est dépassé,
commente un utilisateur, tandis qu’un autre appelle à une « grève générale » contre cet « esclavage ». Reste à voir si cette satire virale influencera le débat parlementaire britannique, ou si la « Brit Card » s’imposera malgré les moqueries. Une chose est sûre : en illustrant les absurdités potentielles, Turning Point UK a ravivé le feu de la résistance.
France-Soir.
En bonus, voici un édito de Babel TV consacré à cette « Brit Card » :
@babel_tv BritCard, ADN, Euro numérique : vers la dictature digitale en Europe ? Le Royaume-Uni est-il en train de basculer dans une société de surveillance totale ? Avec la BritCard, l’identité numérique obligatoire d’ici 2029, le projet de séquençage ADN des nouveau-nés par le NHS, et une économie qui s’effondre, le gouvernement de Keir Starmer transforme le pays en laboratoire du contrôle social. Pendant ce temps, l’Europe suit la même trajectoire : euro numérique, reconnaissance faciale, fichage massif. Derrière la promesse de sécurité et de modernité se cache une question simple : Sommes-nous encore libres… ou déjà prisonniers d’un système numérique qui décide de tout ? ⚠️ Dans cette vidéo, nous revenons sur : • La dérive autoritaire du gouvernement britannique • La mise en place de la BritCard et ses implications • Le séquençage génétique des enfants et ses dangers • La généralisation de la surveillance numérique en Europe • Le choix que nous devons faire, avant qu’il ne soit trop tard. Abonnez-vous pour ne pas manquer les prochaines analyses et enquêtes. ✊ La liberté ne se défend pas demain… elle se défend aujourd’hui. #BritCard #EuroNumérique #IdentitéNumérique #Surveillance #KeirStarmer ♬ son original – Babel_TV




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