Il n’y a plus guère que la Tour Eiffel qui scintille à Paris !

Publié par le 15 Mar, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Il n’y a plus guère que la Tour Eiffel qui scintille à Paris !

Non seulement, les « surmulots » qui envahissent les trottoirs de Paris ne semblent pas du tout gêner Anne Hidalgo mais elle semble au contraire s’en réjouir !

Elle déclare soutenir la grève des éboueurs contre la réforme des retraites et refuse toute réquisition ou solution alternative pour débarrasser les 6 000 tonnes de détritus qui encombrent les rues de la capitale.

On a déclenché l’état d’urgence, les couvre-feux et les confinements pour un virus inoffensif pour 95 % de la population mais on laisse pulluler les rats porteurs de maladies très graves voire mortelles !

C’est la France de Macron et le Paris d’Anne Hidalgo surnommée justement :

Notre-Drame de Paris !

Quid de l’image de Paris – l’ancienne ville-lumière – aux yeux des étrangers ? Peu lui chaut !

Voici un article d’Iris Bridier paru dans l’Observatoire du mensonge qui fustige l’irresponsabilité de la maire de Paris :

La Ville-lumière s’éteint petit à petit
sous le joug de Notre-Drame de Paris !

La tour Eiffel en lumière, un joli banc public vert au milieu d’un jardin à la française à faire pâlir d’émoi tous les visiteurs de Central Park, une fontaine Wallace, les toits de Paris depuis Montmartre, le tout visité en talons hauts, les cheveux au vent sous une ombrelle colorée et un béret carmin comme son rouge à lèvres so cute… c’est le décor charmant et délicieusement cliché des derniers épisodes d’Emily in Paris, série à succès diffusée sur Netflix.

Emily in Paris

Que penser de cette image de carte postale de notre ville capitale, qui n’a rien à envier aux films à succès dont la Ville Lumière, plus qu’un fond de scène, est la véritable héroïne ? Pensons à Midnight in Paris, de Woody Allen, du Monstre à Paris ou du célébrissime Ratatouille, sans oublier l’emblématique Amélie Poulain dont les Américains ont fait pour longtemps le visage, le sourire et le charme d’une France couleur sépia qu’on adore, comme dans les pubs Dior, elles aussi aux couleurs de Paris, garder dans son écrin rêvé.

Force est de constater que, si l’on veut que Paris reste une fête, comme l’a si bien décrite l’Américain Hemingway, les habits du rêve seront moins réalistes mais plus charmeurs que ceux de la réalité… Mieux vaut que nos cousins d’Amérique demeurent sagement derrière leur écran télé et que jamais ils ne viennent vérifier si l’élégance parisienne dégagée par la pétillante Emily est bien au rendez-vous… Ils découvriraient alors (les pauvres !) qu’Emily est Cendrillon et Paris non pas un rutilant carrosse mais une citrouille qui peine à pousser dans les éco-jardins participatifs qui se frayent un chemin entre les voies cyclables immenses, les palettes de chantier à chaque rond-point, les camps de migrants façon Woodstock, les collines du crack où errent les zombies. De quoi alimenter de nombreuses fictions télévisées, du suspense à l’horreur, de l’épouvante au comique, sauf que contrairement à la série d’Emily, rien de romantique ni de romancé : c’est bien la triste vérité.

La colline du crack

Amis ricains, voyez comme nous ne sommes pas chauvins : la plus belle image de Paris, c’est vous qui la possédez. Conservez-la précieusement, entretenez-la et diffusez-nous l’image oubliée de ce Paris d’antan. Mais, de grâce, ne venez pas ici constater les dégâts : la statue de la Liberté en aurait le bras qui tombe et vous ne voudriez plus jamais que nos galeries s’appellent Lafayette. La réalité, la voici, il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants : Notre-Dame de Paris a perdu sa flèche, c’est Anne HidalgoNotre-Drame de Paris, qui lui a succédé. On n’y circule plus pour mieux y respirer. Sauf qu’on n’y respire plus parce qu’on n’y circule plus ! Les Chinois découvrent ahuris, entre Charles-de-Gaulle et le Louvre, les paysages détruits et les regards hagards d’une surpopulation entassée, remplacée, hébétée. Les supporters anglais, dénoncés par nos ministres, se font voler leurs places aux entrées du Stade de France, pas certains de revenir pour les Jeux olympiques qui approchent. À chaque grève, on bat le pavé sous lequel poussent les plantes, les vélos-cargos laissent passer les bobos sur les passages-piétons aux couleurs arc-en-ciel, les quais sont rendus à la nature sauvage, plus sauvage que nature, quand s’éteignent les réverbères au nom de l’urgence climatique. Le seul problème, c’est qu’à mesure que la (Ville) lumière décline, c’est le crime qui s’épanouit. Inutile de se rappeler la French Revolution sur la sublime place de la Concorde pour imaginer les têtes tomber, il suffit de se rendre aux Buttes-Chaumont, dans ces parcs urbains si choyés, pour découvrir en plein mois de février un corps démembré.

Toute la créativité de Netflix ne suffirait sans doute pas à imaginer ni à décrire sous tous les angles ce qu’est devenu Paris aux mains de ceux qui l’ont abandonné. Ratatouille n’est plus qu’un rat d’égout et il n’est pas seul à rôder. Merci, Emily, de nous garder un peu de notre Paris aimé. Qui sait, peut-être un jour, c’est parce que tu n’auras cessé de l’aimer que nous retrouverons, nous aussi, notre Paris chéri. Alors, nous dirons en foule, le drapeau à la main, descendant les Champs-Élysées : Paris négligé, Paris saccagé, mais Paris libéré !

Iris Bridier pour l’Observatoire du mensonge.

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3 Réponses à “Il n’y a plus guère que la Tour Eiffel qui scintille à Paris !”

  1. L’etrangere deteste la ville de Paris manifestement, elle ne s’est pas encore adaptée a la vraie culture francaise et a son elegance.

    Elle doit ceder sa place au premier quidam normal qui saura mieux apprecier cette ville qu’elle.

    Manifestement elle a un probleme.

  2. Pays de fous et juges fous: une propriétaire condamnée à dédommager ses squatteurs
    https://ripostelaique.com/pays-de-fous-une-proprietaire-condamnee-a-dedommager-ses-squatteurs.html

    Je l’ai déjà écrit. Dans n’importe quel pays au monde, si vous racontez qu’en France un squatteur ayant changé les serrures de votre maison se retrouve chez lui avec la bénédiction de la justice tandis que vous dormez sous les ponts, personne ne vous croira et vous passerez pour un fou.

    C’est un véritable “droit au squat” qui a été instauré dans notre pays avec le droit au logement, “qui bafoue totalement deux articles de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui forment le socle de notre République.”

    L’article 2 stipule en effet : « le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ». L’article 17 ajoute : «la propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé».

    https://lemeridional.com/index.php/2021/03/17/en-france-le-scandale-du-droit-au-squat/

    Ce “droit au squat” est bien une sinistre réalité. On ne compte plus les propriétaires chassés de leur propre domicile par des parasites. Car en France, non seulement il n’y a plus d’État depuis longtemps et le droit est systématiquement bafoué, mais ce sont dorénavant les associations, les syndicats et les minorités qui ont pris le pouvoir et imposent leurs diktats aux juges qui s’empressent de s’y plier.

    C’est ainsi que le droit de propriété est systématiquement violé sans que la République n’y remédie. De l’Élysée au préfet, tout le monde fait l’autruche et laisse pourrir les situations de squats, parfois éminemment tragiques pour les propriétaires.

    Au pays des droits de l’homme, les hors-la-loi ont souvent plus de droits que les citoyens honnêtes.

    Et gare à ceux qui veulent se faire justice eux-mêmes et récupérer leur bien par la force. La justice habituellement si laxiste, sera cette fois aussi véloce qu’intraitable !

    C’est ainsi qu’en juillet 2021, une vingtaine de squatteurs investissent un immeuble de 800 m2 à Lyon, transformant aussitôt le quotidien des riverains en enfer continuellement bruyant.

    La propriétaire entame alors une procédure judiciaire qui autorise les squatteurs à garder le logement jusqu’à la fin de la trêve hivernale, au 31 mars. Mais en janvier, la société gestionnaire de l’immeuble profite de leur absence pour condamner l’entrée et placer l’immeuble sous surveillance.

    Deux des squatteurs invoquent alors une violation de domicile et saisissent la justice.

    Au regard de la loi, “il s’agit d’une expulsion illégale” rappelle l’avocat des squatteurs.

    De son côté, “le conseil de la propriétaire réclame 512 000 euros pour réhabiliter le bâtiment de 800 m2, ainsi qu’une condamnation des deux plaignants à 3 000 euros de dédommagement pour procédure abusive”.

    “C’est tout tagué, tout pourri. Je me retrouve avec un immeuble dans un état catastrophique. J’en ai pour plus de 500 000 euros”, déclare la propriétaire.

    Mais selon la loi, tout propriétaire qui se fait justice lui-même sous quelque forme que ce soit, est passible de 3 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.

    Par conséquent, le juge déclare “irrégulière la procédure de “reprise des lieux” diligentée en janvier”.

    Et si les deux squatteurs plaignants ne peuvent regagner “leur domicile”, la justice leur accorde néanmoins 2 000 euros chacun de dommages et intérêts et 1 000 euros de frais de justice.

    Y aura-t-il appel ? Mystère.

    En attendant, si la propriétaire a fini par récupérer son bien, c’est dans un état de dégradation évalué à 500 000 euros de réparations, que des squatteurs insolvables auraient bien du mal à payer.

    Quant à la nouvelle loi de 2022 censée restaurer les droits des propriétaires lésés, c’est une vaste mascarade de plus. Cette loi hypocrite se contente d’augmenter les peines de squatteurs insolvables qui ne seront jamais condamnés.

    Quelle est la nouvelle loi sur les squatteurs ? “Le texte triple les sanctions encourues par les personnes qui squattent un logement. Le délit de violation de domicile (squat), qui est actuellement puni d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende, serait à l’avenir passible de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende.”

    J’ajoute que si un squatteur occupe un logement insalubre et qu’il se blesse parce que des travaux n’ont pas été effectués, c’est le propriétaire qui est responsable si ce squatteur porte plainte ! Incroyable mais vrai.

    Nous vivons bien dans un pays de fous où il n’y a plus d’État et où la loi devient facultative pour certaines populations. C’est un effondrement total de ce qui fait le ciment d’une société civilisée : le respect du droit.

    Ce sont les fondements mêmes de la République qui sont bafoués au détriment des citoyens honnêtes.

    Dans notre France en pleine décomposition, l’anarchie n’est plus très loin.

    ( source Figaro )

    Jacques Guillemain

  3. hidalgo a eu ce qu’elle voulait, faire de Paris une poubelle, une de plus qui n’aime ni Paris, ni les français, comme cette « élite » qui travaille contre le peuple avec le grand remplacement et detruit methodiquement la france economiquement, en bradant aussi Essilor, Alstom, Lafarge, abandonne Edf a la concurrence, reduit de moitié le nucleaire sans en parler aux français.

    Le peuple ne compte plus pour eux. Rien que le grand remplacement le prouve a lui seul.

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