« J’ai cru voir le diable ! »

Publié par le 18 Nov, 2025 dans Blog | 0 commentaire

« J’ai cru voir le diable ! »

Macron ne connait pas les Français.

Pire, il ne les aime pas !

Alors, vous pensez, quant il parle à un paysan, il est incapable une seconde d’imaginer sa vie, ses problèmes !

Comment un banquier d’affaires qui n’a connu, de l’industrie que des fusions d’entreprises, qui n’a jamais été élu, qui ne connait rien à la vie quotidienne des Français, pourrait-il comprendre ce que représentent les paysans français pour la nation France ?

La Gazette du Tocsin nous propose le témoignage édifiant d’un syndicaliste agricole, Pierre-Guillaume Mercadal :

Pierre-Guillaume Mercadal

« J’ai mis 36 heures à m’en remettre »

Alors qu’il rencontrait Emmanuel Macron pour la première fois lors d’un échange avec les syndicats agricoles sur le Mercosur, Pierre-Guillaume Mercadal a dressé un portrait glaçant de notre Président de la République :

On a l’impression de voir quelqu’un où tout est faux, où tout est maîtrisé … c’est un acteur, c’est du théâtre … Il est vraiment dénué d’humanité. J’ai eu l’impression de rencontrer le Diable.

L’éleveur, qui affirme avoir été le seul à oser « lui rentrer dedans », nous donne à voir un Jupiter aussi cynique que préfabriqué qui ne recule devant rien et qu’aucun affront ne déstabilise. Mercadal raconte, encore sous le choc :

Je lui ai dit que pour moi c’était un traître et qu’il lui restait un an pour essayer d’être autre chose qu’un traître aux yeux des Français. Il m’a répondu en rigolant : « Ne vous inquiétez pas, vous re-voterez pour moi. »

Difficile en effet, de déceler quelque chose d’humain dans cet être.

Sur le fond du dossier également, à savoir le Mercosur, Macron a fait du Macron : d’un côté il se dédouane de ses responsabilités en expliquant qu’il ne dispose pas d’une majorité de blocage au sein de l’Union européenne pour empêcher le vote de l’accord, et de l’autre, il se dit favorable à ce dernier.

Il nous a expliqué que c’était à nous paysans français d’aller convaincre les paysans italiens et espagnols … Est-ce qu’il se fout de notre gueule ?

Cette posture relève selon Mercadal d’une volonté de « détruire la paysannerie » tout en gardant une posture persuasive et dominante.

Or sans paysannerie française, c’est toute la souveraineté alimentaire du pays qui disparaît. Et cela, notre invité l’a bien compris :

Si on perd la souveraineté alimentaire, vous oubliez l’idée de réformer quoi que ce soit. Le pays qui nous nourrira décidera de tout pour nous. On va devenir un pays africain.

Alors face à ce péril qui met en danger la vie de la Nation, Pierre-Guillaume Mercadal estime que tous les moyens sont bons, illégaux compris :

Il faut aller au carton, sinon on va tous crever comme des chiens,

assène-t-il avant de glisser, énigmatique :

J’ai une petite idée absolument pas légale mais qui peut bien embêter l’Etat si toute la société civile s’y met.

Affaire à suivre…

Voici la vidéo de l’interview :

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