A beaucoup d’égards, l’affaire Lola apparait comme violente, transgressive et exceptionnelle.
D’abord, parce que le viol, les tortures et l’assassinat ont été perpétrés par une femme, ce qui est extrêmement rare.
Ensuite, parce que, comme l’affaire du jeune Thomas de Crépol, l’assassinat de Lola a pris une valeur symbolique du fait que la meurtrière était une immigrée sous OQTF.
Et c’est cette symbolique qui a poussé la gauche et ses médias à instrumentaliser les meurtres aussi bien de Thomas que de Lola.
Dans l’affaire de Crépol, ils ont attaqué violemment le parti Reconquête pour avoir organisé une manifestation de soutien. C’était juste une manoeuvre de diversion pour qu’on ne parle plus d’expédition punitive de racailles venues « planter du blanc »
Pour Lola, ils ont trouvé scandaleux que les médias de droite osent mentionner que la meurtrière était sous OQTF ! Beaucoup de médias ne traitaient l’affaire que pour dénoncer l’instrumentalisation de l’extrême droite !
Il reste beaucoup de mystères dans l’affaire Lola notamment autour du mobile de la meurtrière car ses explications furent confuses et changeantes.
Karl Zéro qui se bat contre la pédophilie et les violences faites aux enfants a enquêté sur cette affaire et avance une hypothèse qu’il a exposée dans la Gazette du Tocsin :
Procès Lola : la Justice ferme les yeux
sur un acteur clé de l’affaire, Karl Zéro !
Le procès Lola risque de ne pas répondre à toutes les questions que pose ce meurtre horrible. C’est en tout cas la crainte de Karl Zéro, et cela poserait un grave problème pour la famille de la petite fille de 12 ans, qui, à l’issue de la réquisition des juges, pourrait ne toujours pas avoir compris les raisons qui ont poussé Dahbia Benkired à commettre ce crime.
Or, il y a une piste que, pour le moment, la Justice refuse d’envisager, et qui pourtant comporte trop d’éléments cohérents pour ne pas être prise au sérieux. C’est cette piste que Karl Zéro a remontée seul, en interrogeant les proches de Dahbia, en particulier ses deux sœurs et son ex-petit ami.
L’entourage proche de Dahbia est formel : celle-ci était en contact régulier avec un homme pour le moins bizarre, du nom de Fatah, qui pourrait avoir joué un rôle essentiel dans son acte. Dahbia l’a rencontré il y a plusieurs années, après sa rupture avec son petit ami. C’est lui qui l’aurait initiée à des rites sacrificiels dans des cimetières et des églises évangéliques. L’une des sœurs de Dahbia, Katiba, déclare à Karl Zéro :
Elle m’a dit : « Tu sais, il m’a fait faire des trucs sur les enfants que je ne voulais pas faire. Il m’a emmenée à l’endroit où il a tué les enfants, dans les tombes … J’étais pas consciente de ce que j’ai fait, c’était pas moi. » Elle m’a dit que cet homme était un djinn.
Dahbia aurait ensuite parlé, à plusieurs reprises, de sacrifices d’enfants zouhris (ces enfants blonds à la peau claire que des rites préislamiques recommandent de sacrifier pour porter bonheur), avant d’envoyer un message pour le moins suspect à l’une de ses sœurs, quelques semaines avant le meurtre, au sujet de son ex-petit ami :
Je vais me sacrifier pour lui, comme ça on va devenir riche. Fatah, c’est un sorcier, il sent le mort. […]. Il nous a lancé un sort.
Croyez-le ou non : Fatah n’a été entendu qu’une fois par la police dans le cadre de l’enquête. Après avoir nié une quelconque appétence pour la sorcellerie, il n’a plus été convoqué et ne sera vraisemblablement pas inquiété pendant le procès. Il est pourtant un acteur clé de l’affaire, tant selon le propre témoignage de Dahbia que selon ceux de ses proches. Rappelons encore que Dahbia a été reconnue saine d’esprit par trois expertises psychiatriques. Devant les éléments apportés par l’enquête de Karl Zéro, le silence de la Justice pose, pour le moins, question.
Voici la vidéo de l’interview de Karl Zéro :




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