Dans le monde musulman, les Chrétiens sont massacrés.
En France, pas encore, mais ils sont priés de raser les murs, de cacher leurs croix car pour eux la gauche et ses médias appliquent une laïcité sourcilleuse !
Des associations gauchistes font la chasse aux crèches, aux croix et aux statues dans l’espace public.
Les manifestations chrétiennes sont priées de se tenir dans les églises. Sur le plan culturel, autant les films racontant l’intégration réussie des migrants sont accueillis avec une ferveur toute républicaine, autant tout ceux qui rappellent la chrétienté sont critiqués et stigmatisés.
On en a eu un exemple tout récent avec le film Sacré-Coeur dont les affiches publicitaires ont été interdites dans les gares alors qu’on y avait déjà vu des affiches appelant à célébrer la fin du ramadan.
Le maire de Marseille, Benoît Payan, qui n’hésite pas à rompre le jeun du ramadan dans les mosquées, a même annulé, au dernier moment, la projection de Sacré-Coeur dans une salle de cinéma municipale ! Avant d’y être contraint par la justice !
Voici un article de Boulevard Voltaire qui pointe une autre manifestation de rejet du film, cette fois-ci dans un média censé être … catholique :
Le film Sacré-Coeur dézingué dans La Croix :
une raison supplémentaire d’aller le voir
Quand dans un média (supposé) catholique, l’on déplore le succès d’un film catholique …
La Croix dénonce le Sacré-Cœur. Si l’on s’en tient aux mots, la phrase est déjà antithétique. Aurait-on idée d’écrire que Notre-Dame des Sept douleurs n’est pas d’accord avec l’Immaculée Conception ? Mais elle résume assez bien, à elle seule, le travail de sape et d’autodestruction, depuis des dizaines d’années, du titre de presse supposé catholique qui a pris ce nom.
La Croix après Mediapart
Il ne s’agit pas d’un article, à proprement parler, mais de la tribune d’un « collectif catholique » qui, bien qu’appelé P.A.I.X, a décidé de déclarer la guerre à un film. Ce collectif, qui ne compte qu’une poignées d’illustres inconnus, publie habituellement dans les colonnes de Mediapart. Le choix de La Croix, cette fois, s’explique par la cible visée : il s’agit de dissuader les catholiques d’aller voir ce film. Dans tout le maelström que charrie les salles de cinéma françaises, c’est cette modeste production bien innocente qui a été choisie pour être mise à l’index. Que lui reproche-t-on, au fond ? Vous ne le saurez pas, la tribune n’en dit rien. Les seuls arguments avancés ont trait aux soutiens du film : Vincent Bolloré, Pierre-Édouard Stérin, CNews, etc.
Ne participons pas, à travers ce film, à renforcer le lien entre extrême droite et catholicisme,
exhortent les signataires.
Rappelons, pourtant, que Canal+ finance de nombreux films, notamment produits par France 2, et curieusement, personne ne leur a jamais fait grief de l’origine des fonds nauséabonds. Là, l’argent n’a pas d’odeur.
Ce petit miracle cinématographique – documentaire à petit budget sur une sainte du XVIIe siècle exhalant des odeurs de sacristie et alternant analyses d’ecclésiastiques et témoignages de convertis sur fond de scènes de la passion … aucune recette facile de blockbuster, c’est le moins que l’on puisse dire – les irrite, les met en rage et les désespère : 250.000 entrées, à ce jour.
Toutes les tentatives de censure, de la RATP/SNCF à la mairie de Marseille, n’ont conduit qu’à un effet Streisand tout à fait contre-productif pour les initiateurs. Mais le soutien financier ou médiatique de la sphère Bolloré ou Stérin n’est pas la seule cause de cette détestation.
Catholicisme populaire
De son effigie, frappée sur les drapeaux bleu-blanc-rouge des poilus pendant la Grande Guerre – sans doute ce que cette tribune appelle du « national catholicisme » – à la basilique parisienne, faussement présentée comme une provocation anti-communarde, le Sacré-Cœur a toujours été haï par la gauche.
Puis il y a ces dévotions populaires séculaires, honnies elles aussi, mises en valeur dans le documentaire : les visitandines de Nantes, qui confectionnent traditionnellement, à partir d’un petit bout de feutrine, ce que l’on appelle « la sauvegarde du Sacré-Cœur de Jésus », croulent sous les commandes – au point qu’elles peinent à les honorer – depuis leur bref passage dans le film de Steven et Sabrina Gunnell.
Le but de cette tribune est simple : éviter à toute force que les Français raccrochent les wagons de la transmission, auquel ce film participe presque malgré lui.
La transmission, c’est le thème de trois livres majeurs parus presque en même temps à l’automne, différents mais complémentaires :
- Populicide, de Philippe de Villiers (Fayard),
- La messe n’est pas dite, d’Éric Zemmour (Fayard),
- et Vers une église sans peuple ? , de Yann Raison du Cleuziou (Le Cerf).
Tous montrent que le fil de l’héritage spirituel français a été rompu par l’éradication sourde, lente mais bien réelle des fêtes et des ferveurs populaires.
La pratique a souvent précédé la foi, la première induisant la seconde ou la réveillant dans certains cas,
affirmait le sociologue Jacques Maître. Pascal lui-même disait que les gestes étaient le commencement de la foi. Mais le chemin se prend aussi à rebours : faire disparaître les manifestations de dévotion incarnée, c’est éteindre la foi. Ce retour des calvaires, des pèlerinages locaux, ces baptêmes en nombre et, à présent, cet engouement massif pour ce film « pieusard » ont de quoi effrayer le collectif P.A.I.X.
Le pire cauchemar, pour eux, serait qu’in fine, leur bête noire ait raison … Si, en effet, la messe n’était pas dite ? Si le catholicisme français n’avait pas dit son dernier mot ?
Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire.
Remarque : la gauche détruit tout :
les féministes oublient de défendre les femmes pour préserver les migrants !
Un média catholique oublie les Chrétiens au nom de la haine de l’extrême droite !




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