La folie transgenre a envahi nos écoles ! (1/3)

Publié par le 30 Mai, 2022 dans Blog | 3 commentaires

La folie transgenre a envahi nos écoles ! (1/3)

Voici une anecdote racontée par Eric Zemmour :

« A la fin d’un débat à la télévision durant lequel j’avais éreinté mon adversaire syndicaliste dans l’Education nationale, ce dernier vient vers moi et me glisse : Vous pouvez toujours dire ce que vous voulez, mais nous, nous avons les programmes ! »

Le syndicaliste voulait dire que c’est à l’école que commence la propagande de gauche, d’une part à cause de l’emprise de la gauche dans ce milieu mais aussi par l’entremise des programmes scolaires qui réécrivent l’histoire de France à la sauce progressiste et la géographie à la sauce écologique.

Encore plus inquiétant ! Les portes de nos écoles ont été grandes ouvertes au lobby et aux associations LGBT. Résultat, on assiste aujourd’hui à une véritable transgenre-mania dans nos lycées et collèges.

Causeur vient de publier un article extrêmement inquiétant sur ce sujet. Compte tenu de sa longueur et de sa pertinence, je me propose de le publier en trois fois :

L’Education nationale aux couleurs arc-en-ciel

Alors que de plus en plus d’élèves se revendiquent d’un autre genre que celui de leur naissance, le ministère recommande aux professeurs d’approuver, lorsqu’ils ne l’encouragent pas, ces changements d’identité. Témoignages de parents désemparés.

C’est le genre d’établissements saturés de demandes un an avant la rentrée des classes. Un lycée public de renom de l’Ouest parisien. Un collège privé du même secteur. Un grand lycée de la rive gauche. Tous abritent ce qu’on peut définir comme des « clusters » de jeunes transgenres. « Dans lannée de ma fille au lycée, il y a cinq jeunes filles qui forment une bande, qui veulent toutes devenir des garçons et se faire appeler par un prénom masculin », témoigne Françoise*, la mère d’une d’entre elles. « C’est sûr qu’il y a une recrudescence de jeunes ados trans, dans le collège de notre fille, il y en a deux autres », racontent de leur côté les Martin, dont la fille est scolarisée dans l’Essonne.

Combien sont-ils, impossible de le savoir exactement. Mais la percée du mouvement transgenre dans les établissements scolaires est aujourd’hui flagrante. Dans les meilleurs lycées ou les collèges de quartier, à Paris, Lyon ou Toulouse, de nombreux adolescents qui ne manifestaient auparavant aucun problème d’identité sexuelle en viennent à se déclarer transgenres. Contestant l’« assignation » à leur sexe anatomique, ils réclament un changement de prénom, un traitement hormonal voire des opérations chirurgicales ; surtout, ils exigent de leur entourage qu’il reconnaisse sans délai l’identité qu’ils ont choisie. Une situation dont le caractère soudain ne correspond pas à la définition classique de la « dysphorie de genre », trouble de l’identité sexuelle décelable dès la petite enfance. Au contraire, c’est bien un nouveau phénomène qui est apparu il y a quelques années dans les pays occidentaux, et dont nous prenons aujourd’hui la mesure.

En France, au sein des établissements scolaires, le conditionnel est de rigueur, faute d’étude approfondie. Contacté par Causeur à propos du nombre d’élèves concernés, le ministère de l’Éducation nationale évoque une enquête menée auprès de 16 académies (sur 18) : pour l’année 2020-2021,« quatre demandes d’accompagnement d’élèves transgenres concernaient le premier degré et 78 demandes concernaient le second degré ». 82 cas pour quasiment toute la France ? De fait, même s’il ne s’agit que des situations où une « demande d’accompagnement » aurait été formulée, ce qui exclut toutes les revendications moins formelles, le chiffre donné par le ministère ne reflète certainement pas la dimension réelle du problème. C’est bel et bien un sujet qui donne des sueurs froides à l’institution scolaire : sans même entrer dans un débat sur les causes et la légitimité des revendications transgenres, les équipes enseignantes sont confrontées à des difficultés très prosaïques. Faut-il céder à un élève qui exige l’emploi d’un prénom d’usage ? Dans quels vestiaires doit-il se changer pour le cours de sport ? Doit-on sanctionner les autres élèves qui refuseraient de jouer le jeu… ?

Les équipes enseignantes sont écartelées entre l’acceptation de toute revendication de transidentité et l’inquiétude face aux changements soudains. Mais la peur de la sanction paralyse toute volonté de prudence. Les parents, sommés d’« accompagner » leurs enfants, c’est-à-dire d’accepter toutes leurs demandes, se retrouvent abandonnés par l’Éducation nationale.

« Son cerveau, c’est une disquette »

Christophe a découvert que sa fille de 15 ans se disait transgenre grâce à une « photo sur TikTok ». « Un jour, un de mes amis menvoie une capture d’écran du profil de ma fille où elle se disait dysphorique de genre. Je suis tombé des nues. » Élisa, elle, a reçu un texto de sa fille de 14 ans signé d’un nom masculin. Elle n’a pas pris ça au sérieux, avant de s’alarmer quand elle a trouvé une copie de sa fille portant ce même nom. Pour les Martin, cela a été plus progressif : entourée au collège d’un groupe de copines LGBT revendiquées, leur fille de 14 ans a commencé à se déclarer « nonbinaire » (en se faisant accessoirement l’écho d’autres combats woke), avant de se rétracter, pour déclarer finalement qu’elle était un garçon transgenre. Avec à la clé coupes de cheveux, changements vestimentaires, bandages de la poitrine.

Les parents se demandent souvent d’où ça sort. D’autant plus quand leurs enfants n’avaient jamais eu de problème avec ce qu’on appelle leur « identité de genre ». « Ma fille a toujours été une petite princesse : elle aimait les robes roses, Hello Kitty, les journaux intimes… Même maintenant, elle n’a aucun intérêt pour les trucs masculins », explique Mme Martin. Le fils d’Aurore, 17 ans, s’habillait avec des vêtements de sport, et « il jouait aux jeux vidéo où on se tire dessus avec ses copains », dit-elle. Bref, rien que de très classique. Alors, quel est l’élément déclencheur de la revendication trans ? Les histoires se ressemblent. La question transgenre survient à un moment où les adolescents se retrouvent exposés aux réseaux sociaux, à l’âge de la puberté et de ses émois : il devient alors socialement impératif de commencer à afficher une « expérience » sexuelle factice. « Ils se posent des questions sur leur sexualité, j’ai appris des choses ! Il y en a qui sont “aromatiques”, il y en a qui sont “pansexuels”. Notre fille dit qu’elle est bi, en plus d’être trans. Même si elle n’a jamais embrassé personne. Cest à qui se rendra le plus intéressant », ironise Mme Martin.

Ce folklore adolescent, dont on pourrait penser qu’il est risible mais de peu de conséquence, prend en réalité une grande importance pour certains jeunes esprits fragiles. Dans un contexte de difficultés classiques (bouleversements physiques, questionnements sexuels, harcèlement ou isolement…), les jeunes gens vont trouver du soutien auprès de militants très actifs sur TikTok, YouTube ou Instagram. « Je pense que ma fille a du mal à accepter son corps », s’attriste Christophe : « Elle a quelques rondeurs. Elle m’a dit qu’elle faisait des crises d’angoisse sous la douche. » « On a su qu’elle se faisait harceler. Elle a eu une période de phobie scolaire », rapportent de leur côté les Martin. La « communauté » trans va alors fournir un soutien émotionnel et des explications faciles à ce mal-être, en utilisant un vocabulaire idéologique – « cisgenre », « nonbinaire », mais aussi « mégenrage » ou « deadname » – qui prétend proposer une grille de lecture complètement nouvelle de l’identité et signe une volonté de rupture avec le reste de la société.« De toute façon tu comprends rien, tes quune cisgenre sans problème dans la vie », se voit répliquer Mme Martin quand elle tente de parler avec sa fille. « Tout son langage, c’est complètement préformaté. Son cerveau, c’est une disquette. » Certains n’hésitent pas à parler d’embrigadement sectaire : « Prenez les messages envoyés par ces groupes transactivistes, enlevez toutes les références au genre, et vous aurez le sentiment qu’ils proviennent d’une secte comme la scientologie ou les islamistes. Il s’agit d’éloigner des gens de leur famille, et de leur dire qui est leur vraie famille : la communauté qu’ils ont choisie », dénonce Christophe. Mère d’un jeune homme trans déjà adulte, Régine renchérit : « Il était déjà très engagé politiquement, et là il s’est radicalisé. Il m’envoyait des mails où il disait des choses comme “l’amour maternel nexiste pas, cest une construction sociale”. Puis il nous a tous bloqués dans la famille, sur tous les moyens de communication. »

Suite dans un prochain article …

Merci de tweeter cet article :





 

3 Réponses à “La folie transgenre a envahi nos écoles ! (1/3)”

  1. Sous pretexte d’egalité et donner la « chance » de s’exprimer uniquement aux minorité, ils operent la destruction systematique de la societé.

    C’est le mal deguisé en bien qui agit, pas moins, comme pour le progressisme et le wokisme, car il s’agit de detruire et inverser les valeurs.

  2. Suzanne.r36@laposte.net dit:

    Pendant ce temps là, au Donbass, sous les hourra des occidentaux, une fillette du Donbass crie : « Maman c’est la guerre »

    https://alawata-rebellion.blogspot.com/

    (je suis incapable de vous copier le lien de cette mini video, je vous donne le lien de la page)

    Mais bon, bien fait pour eux, eux sont méchants, c’est cela????
    Et cette fillette et nombre de femmes et d’enfants tués ne sont pas trans ni « adoptées » par Zèle en ski pour son petit bizness, hein!

  3. C’est macron quand il est enfant qu’on voit au photo ?

Répondre à Pseudo49 Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *