Quand on voit l’équipe de choc que Donald Trump a réuni autour de lui à laquelle il faut rajouter Tulsi Gabbard et Karoline Leavitt, on en rêve pour les présidents français.
Macron, lui, est un pervers narcissique qui exige d’être toujours au centre de la scène. Contrairement à Trump qui s’entoure de pointures, Macron préfère choisit des médiocres qui ne lui feront pas d’ombre.
Il n’est que de voir Jean-Noël Barrot …
On se traine, par exemple, depuis les années Mitterrand, l’inénarrable Jacques Attali, qui a sévi durant tous les quinquennats jusqu’à celui de Macron.
Il y aurait sûrement un roman à écrire sur le parcours de Jacques Attali qui finit sa carrière en apothéose avec les résultats catastrophiques de son dernier président : Macron dont on se rappelle qu’il l’avait lui même pris comme rapporteur dans la commission Attali créé sous Nicolas Sarkozy !
Attali fera entrer Macron à la banque Rothschild puis le recommandera à François Hollande qui le nommera (imprudemment) comme conseiller spécial puis comme ministre de l’économie … On connait la suite !
Aujourd’hui, Jacques Attali défend le wokisme et la discrimination positive à contre-courant du revers que subit cette idéologie depuis quelques temps.
Avant de vous proposer un tweet dénonçant ces conseillers de l’ombre, je ne peux résister à partager ici un grand moment de télévision, quand Éric Zemmour répond magistralement à un propos pro-immigration de Jacques Attali.
Une diatribe qu’on peut résumer ainsi :
Il y a des gens qui sont là depuis 1000 ans et
qui ont envie d’être là pendant encore 1000 ans !
Jubilatoire, non ?
Voici un tweet de Harold Bernat qui fait le procès de ces conseillers incompétents :
Combien de politiques aveugles et sans oreilles n’ont absolument pas pris la mesure de la détestation populaire de ce genre d’individus ?
Thierry #Breton, c’est Alain #Minc, c’est Jacques #Attali, c’est #BHL avec eux. Même génération, même carrière dans le bavardage et l’esbroufe, même haine de la France et des Français. La fameuse « idéologie française » du porno philosophe BHL au début des années 80. Même tartufferie.
Comme nous n’en avons toujours pas fini avec la royauté, devenue, en France, une royauté sans noblesse, ce qu’il y a de pire, nous devons souffrir cette cour depuis des décennies.
Elle gravita autour de Mitterrand, le malin, le faux, le pseudo homme de gauche, prit son envol médiatique dans le cauchemar des années 80 avant de s’exfiltrer dans des instances soustraites à la volonté populaire.
Cette pseudo expertise qui aura accompagné, en toute irresponsabilité, les pires choix économiques pour la France mérite sa fin indigne. La soutenir signe une cécité coupable. L’heure politique n’est pas au sauvetage des fossoyeurs mais à la liquidation définitive de leur héritage empoisonné.
Morgue, haine du peuple et de la démocratie. L’UE était faite, a été faite, a été construite par eux et pour eux. Le joujou technocratique parfait, ce qui manquait à l’oligarchie parasite pour régner loin des gueux. Sur les gueux.
L’alibi ultime. Une large part de l’enarchie s’est rangée derrière ces professionnels de l’esbroufe, là encore par haine du peuple et mépris des classes populaires. Bourgeoisisme.
Nous ne voulons pas défendre l’UE face à Trump – bientôt remplacé par un « bon démocrate » atlantiste et « bon partenaire » – nous voulons liquider une génération de faquins. Celle de nos faux pères. Il est temps, la messe cathodique est dite depuis déjà très longtemps.
Cela ne se fera pas avec des hommes et des femmes de cette génération, c’est une évidence. La compromission est là. Non, il faut renverser la table et prendre un risque devenu une nécessité pour ma génération. Nous avons trop longtemps accepté la morgue de ces à faquins à perruques.
Macron n’aura été que leur gigolo. Il est temps de solder les comptes.
L’ironie de l’histoire, son tragique, nous place en face de Trump ? Prenons cette chance, servons-nous de l’occasion, exigeons ce dont ils nous dépossédent : la démocratie. Nous voulons un référendum sur l’UE, nous voulons le plébiscite populaire, nous voulons redevenir collectivement acteurs de notre histoire.
Le reste est un vain bavardage de politicard qui ne voit pas plus loin que la prochaine échéance électorale en cherchant à se positionner dans une flatterie du populo. Nous ne voulons pas le populo mais le peuple, non pas le zonage électoral qui divise mais la restauration d’une unité perdue.
Cette unité existe mais elle a été patiemment défaite par cette génération de l’esbroufe et du pouvoir mondain. Nous ne devons rien à ces gens et surtout pas une considération pour leur supposés droits qu’ils ont pris soin, en se gavant, de nous voler.
Harold Bernat sur X




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