La guerre civile que les islamogauchistes préparent (1/2)

Publié par le 16 Août, 2025 dans Blog | 0 commentaire

La guerre civile que les islamogauchistes préparent (1/2)

Chaque jour qui passe voit de plus en plus de nos compatriotes juifs devenir la cible d’actes antisémites.

On s’attaquait à eux à la sortie des synagogues ou simplement dans la rue parce qu’ils portaient une kippa.

Il y a quelques jours, c’est à un olivier planté, il y a de nombreuses années, pour rendre honneur à Ilan Halimi, torturé et assassiné par un gang dit gang des barbares, qu’un autre barbare s’en est pris.

Les médias refusent de le reconnaître que l’antisémitisme d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celui de l’extrême droite d’antan mais vient, en quasi totalité, de membres de la communauté arabo-musulmane.

Alors que de nombreux juifs sont obligés de changer de quartier, ou pire, décident de partir pour Israel, nos élites laissent entrer chaque année un demi million de migrants légaux dont la grande majorité est musulmane !

Comment, dans ces conditions, enrayer la vague antisémite qui submerge notre pays ?

Mais les agressions contre les Juifs sont un peu l’arbre qui cache la forêt des actes antichrétiens qui s’en prennent plus aux églises qu’aux Chrétiens eux-même.

Dans ces conditions, il est légitime de craindre, à terme, une confrontation entre les deux civilisations, l’une pacifique, l’autre conquérante, qui cohabitent sur un même territoire.

L’extrême gauche française qui verse dans l’islamogauchisme, et l’extrême centre qui refuse d’endiguer la submersion migratoire porteront une lourde responsabilité quand les premières victimes d’une éventuelle guerre civile tomberont !

Une étude des plus sérieuses sur les risques de guerre civile en Europe vient d’être publiée. Elle émane du professeur David Betz du King’s College de Londres.

Il en ressort que les pays européens dans lesquels les risques de guerre civile sont les plus grands sont la Grande-Bretagne et la France.

Voici la première partie d’un tweet de la chercheuse Florence Bergeaud-Blackler qui propose une synthèse de cet article de David Betz:

La guerre civile à venir en Occident (1/2)

Ce texte constitue le premier de deux essais traitant de la probabilité croissante de guerres civiles en Occident.

La thèse centrale est que la menace majeure pour la sécurité et la prospérité occidentales provient :

– de l’instabilité sociale interne,
– du déclin structurel et économique,
– de la « dessiccation culturelle »
– de la pusillanimité des élites.

De plus le domaine des études stratégiques reste silencieux sur cette question pourtant cruciale.

L’effondrement de la confiance sociale

L’auteur s’appuie sur la littérature existante sur les guerres civiles, qui identifie deux facteurs protecteurs principaux : la richesse et la stabilité gouvernementale. Les démocraties perçues comme légitimes et les autocraties fortes sont généralement stables. Cependant, l’auteur argue que ces conditions protectrices ne s’appliquent plus à l’Occident contemporain.

Le baromètre Edelman Trust révèle que la « méfiance » est devenue « l’émotion par défaut de la société ». Cette chute de confiance reflète un effondrement du « capital social », cette super-glue sociétale qui permet la cohésion et la coopération entre groupes disparates.

Le multiculturalisme et la fragmentation identitaire

L’auteur cite les déclarations d’Angela Merkel et David Cameron sur l’échec du multiculturalisme. Cameron expliquait que ce système « ghettoïse les gens en groupes minoritaires et majoritaires sans identité commune ».

La polarisation politique a été amplifiée par les réseaux sociaux et la politique identitaire, créant des « bulles de filtres » idéologiques qui renforcent l’isolement des groupes d’affinité. L’exemple de Leicester en Grande-Bretagne est particulièrement frappant : des violences récurrentes entre hindous et musulmans locaux, animés par des tensions intercommunautaires du sous-continent asiatique, avec des foules hindoues marchant dans les quartiers musulmans en criant « Mort au Pakistan ».

Cet exemple illustre l’irrelevance croissante de l’identité nationale britannique pour une fraction significative des minorités.

La crise économique structurelle

À cette volatilité sociale s’ajoute une dimension économique :

– une nouvelle récession économique, suite tardive de la crise de 2008
– Les conséquences de la désindustrialisation
– La dé-dollarisation progressive du commerce mondial
– L’augmentation explosive des coûts des biens essentiels (énergie, nourriture, logement)

La nature particulière du multiculturalisme occidental

L’auteur identifie trois particularités du multiculturalisme occidental qui le rendent particulièrement instable :

– Le « sweet spot » démographique : Les majorités blanches (tendant rapidement vers le statut de grande minorité) coexistent avec de multiples minorités plus petites, réduisant les « coûts de coordination » qui normalement empêchent la formation de mouvements de masse.
– Le multiculturalisme asymétrique : La préférence intra-groupe, la fierté ethnique et la solidarité de groupe sont acceptables pour tous sauf pour les Blancs, pour qui ces attitudes sont considérées comme suprémacistes.
– La perception d’injustice : Cette asymétrie crée une perception de déséquilibre insidieux, fournissant un argument de révolte fondé sur la justice pour la majorité/minorité blanche. La théorie du « Grand Remplacement » est présentée comme expression de ce narratif, correspondant au concept de « downgrading » dans la théorie des guerres civiles
– la perception par un groupe dominant d’une inversion de statut imminente.

Ville / Campagne

L’asymétrie géographique du multiculturalisme (villes hétérogènes vs campagnes homogènes) suggère que les conflits auront un caractère distinctif urbain vs rural. La stratégie envisagée : précipiter l’effondrement des centres métropolitains hétérogènes par des attaques infrastructurelles, causant des crises en cascade menant à un échec systémique et un chaos de masse.

Les vulnérabilités infrastructurelles

L’auteur détaille les vulnérabilités critiques :

– Gaz : 24 stations de compression en Grande-Bretagne, toutes en milieu semi-rural, peu ou pas gardées
– Pipelines : Le réseau de Major Accident Hazard Pipelines est intrinsèquement vulnérable
– Électricité : Pylônes haute tension, stations de transformation facilement accessibles
– Communications : Tours cellulaires, nœuds de fibre optique non protégés
– Transport : Ponts et tunnels constituant des goulots d’étranglement évidents
– Alimentation : Chaînes d’approvisionnement « juste-à-temps » avec seulement quelques jours de réserves

Conflits de factions ethniques

Environ 75% des conflits civils post-Guerre froide ont été menés par des factions ethniques. L’auteur souligne que la politique identitaire – définie comme la promotion d’intérêts spécifiques sans égard pour le groupe politique plus large – rend le conflit civil en Occident « non seulement probable mais pratiquement inévitable ».

Conclusion : Une spirale auto-renforçante

L’auteur conclut que les conditions de guerre civile ne sont pas simplement présentes en Occident, mais qu’elles approchent de l’idéal. La richesse relative, la stabilité sociale et l’absence de factionnalisme démographique qui immunisaient autrefois l’Occident ne sont plus valides.

Dans chaque catégorie, la direction tire vers le conflit civil. Citant les statistiques de Walton selon lesquelles environ 4 % des pays présentant les conditions de guerre civile en font l’expérience chaque année, l’auteur suggère que l’Occident collectif est en profond danger sur la prochaine décennie.

De plus, il est peu probable qu’un conflit dans un pays majeur ne se propage pas aux autres.

Florence Bergeaud-Blackler.

Source : Betz, David, “Civil War Comes to the West,” Military Strategy Magazine, Volume 9, Issue 1, summer 2023, pages 20-26.

A suivre …

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