La presse ne vaut pas mieux aux USA qu’en France !

Publié par le 19 Mai, 2023 dans Blog | 3 commentaires

La presse ne vaut pas mieux aux USA qu’en France !

Il fut un temps où la presse américaine bénéficiait d’une aura de professionnalisme et d’impartialité !

Mais, ça, c’était avant !

Avant que la Parti démocrate ne se gauchise à mort et devienne le chantre du progressisme dont Joe Biden est le sénile porte-drapeau.

Simultanément, la presse américaine a fait sa mutation et une grande partie en a perdu son impartialité pour défendre coûte que coûte le parti démocrate. L’acharnement de cette presse contre Donald Trump avant même son élection et durant tout son mandat en est une parfaite illustration.

Au final, les Etats-Unis et la France sont désormais très comparables quand on regarde leurs paysages médiatiques sauf que la France aggrave son cas en nourrissant un service public de l’audiovisuel gangréné par l’extrême gauche.

Aux Etats-Unis, le rapport d’un procureur spécial est accablant pour le parti démocrate et notamment pour Hillary Clinton comme nous le rapporte cet article publié par l’IREF :

Trump, Hillary Clinton et les agents russes ou comment la presse américaine se laisse manipuler par la gauche démocrate

Ne jamais admettre ses erreurs. Nier, ou encore mieux ignorer, les évidences qui seraient contraires au discours progressiste. Telles sont les lois qui gouvernent aujourd’hui la presse américaine de l’establishment. La réaction du New York Times, du Washington Post et autres organes bien pensants à la publication du rapport Durham est édifiante.

Il s’agit bien d’affaire montée
de toutes pièces par Hillary Clinton

Le document de 316 pages, rendu public le 12 mai 2023,  est le résultat de deux années de travail et d’enquête par John H. Durham, procureur spécial, nommé par le secrétaire à la justice (Attorney General) de Donald Trump. Sa mission, que le Département de la justice de l’administration Biden lui a laissé mener à terme : étudier comment et pourquoi le FBI a lancé en 2016 une enquête très médiatisée, en pleine campagne électorale, pour déterminer si Donald Trump était, ou pas, manipulé par des agents russes.

Le rapport confirme ce que Donald Trump maintient depuis le début de cette affaire, montée de toutes pièces par Hillary Clinton: il n’y avait aucune raison sérieuse de penser que le candidat populiste était sous l’influence des services de renseignement et d’intoxication russes. Pourtant le FBI, parce qu’il était convaincu qu’Hillary Clinton serait élue en novembre 2016, a participé à une vaste opération de propagande pour discréditer le candidat qui briguait l’investiture républicaine.

Mettre sur écoutes téléphoniques les responsables de la campagne de Trump, sans motif raisonnable, fait du Watergate une opération d’amateurs. C’est pourtant bel et bien ce qu’a fait le FBI.

Ni le New York Times, ni le Washington Post ne s’en émeuvent. C’était pour la bonne cause : faire élire Hillary. Seul, le Wall Street Journal sauve l’honneur de la presse.

John H. Durham établit qu’il n’y avait pas de fondement pour le FBI à entamer une enquête. Les accusations de collusion de Donald Trump et de certains de ses collaborateurs avec des agents russes, étaient plus que douteuses. Les procédures normales de vérifications, d’entretiens et de consultations d’autres services de renseignements pour s’assurer que « des conversations » avaient eu lieu entre la campagne de Donald Trump et des agents proches de la Russie, n’ont pas été suivies.

Pire : le FBI disposait de preuves bien plus solides de tentatives d’influence sur Hillary Clinton de la part de gouvernements étrangers qui finançaient directement la Clinton Foundation, fondation de l’ancien président Clinton.

Cette dernière continuait à recevoir des dizaines de millions de dollars alors que Hillary Clinton était la responsable de la politique étrangère de l’administration Obama, en tant que secrétaire d’État. Pour autant, par peur de se mettre à dos celle que les médias avaient déjà désignée comme prochain président des États-Unis, le FBI a fermé les yeux.

Le FBI a choisi de ne pas prendre en compte l’instrumentalisation par Hillary Clinton de son enquête sur Trump.

Ceux qui fabriquaient des « preuves » de la collusion entre Donald Trump et la Russie, étaient littéralement payés par la campagne de Hillary Clinton pour les diffuser dans la presse. Comme toujours, dès qu’il s’agit de présenter comme un « scoop » les « fake news » imaginées par des consultants du Parti démocrate, les grands journaux qui prétendent défendre la démocratie et combattre pour la « vérité », sont au rendez-vous. Des scrupules ? Des remords ? Pas le moins du monde : leur mission était par tous les moyens d’empêcher Donald Trump d’être élu.

La « cancel culture », c’est ça : on évacue ce qui ne convient pas à la cause suprême.

La bonne conscience des donneurs de leçons du New York Times et du Washington Post illustre leur aveuglement partisan. Elle démontre aussi leur incompréhension des raisons fondamentales pour lesquelles les électeurs républicains, conservateurs et populistes ne croient plus un seul mot qui sort de cette machine médiatique contrôlée par l’élite de la gauche bien pensante. L’Américain moyen a compris que les journaux et les télévisions n’ont aucun scrupule à manipuler l’opinion pour faire voter à gauche. On s’étonnera ensuite que trois fois plus de téléspectateurs regardent Fox News que l’ensemble des autres chaînes d’infos réunies.

Les articles discrets du New York Times et du Washington Post à propos du rapport sont extraordinaires de duplicité.

Ils soulignent que le rapport ne recommande aucune inculpation et ne contient pas « d’éléments nouveaux ». Leur conclusion : il ne faut pas en faire de gros titres. Ce qui démontre que des mensonges délibérés ont été à dessein diffusés par des journalistes américains pro-démocrate en vue de discréditer un candidat populiste qui les dérangeait, doit donc être minimisé ? Les éditorialistes de la presse officielle ne parlent du rapport Durham que pour railler les conservateurs accusés de vivre dans une bulle complotiste.

Les templiers de la vérité choisissent tout simplement de « cancel » (d’annuler) le rapport Durham. La « cancel culture », c’est ça : on évacue ce qui ne convient pas à la cause suprême. Le journalisme post-colonial ne veut  pas découvrir la vérité. Ce journalisme-là ne cherche qu’à accréditer une version politiquement correcte de la vérité.

Pour cette raison, les mêmes agents du Parti démocrate, déguisés en journalistes, ont aussi « annulé » la découverte en 2020 que des millions de dollars ont été reçus d’agents étrangers par Hunter Biden, le fils de Joe Biden. Ceux qui sur Twitter osaient parler de l’article du New York Post révélant ces faits, étaient immédiatement exclus du réseau social. La censure partisane, au nom de la lutte contre les « fake news », est acceptable si elle est pratiquée par la gauche.  Durant la campagne de Joe Biden, il ne fallait surtout pas porter ombrage au seul démocrate capable d’empêcher Donald Trump de rester quatre ans de plus à la Maison blanche.

P.-E. Ford pour l’IREF.

C’est accablant mais les journalistes français n’ont pas de leçons à donner ! Concernant la politique américaine, ils se contentent de recopier les papiers de leurs confrères américains proches des démocrates.

La haine anti-Trump des médias français n’a d’égal que leur amour inconditionnel pro-Macron.

On remercie l’IREF de publier cet article car ne comptez pas sur la presse française de grand chemin pour parler du rapport Durham !

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3 Réponses à “La presse ne vaut pas mieux aux USA qu’en France !”

  1. Celui qui tient les médias possède un immense avantage sur ses adversaires obligés de subir leurs manipulations et mensonges permanent, et n’hésitant pas aux coups les plus bas.
    La deontologie a disparu pour laisser la place a des etres sans scrupules ni morale…comme en france.

  2. UUne fois de plus les ppseuudo journalistesd, demontrent qu’ils ont besoin de penser saloperie, caniveau, supermenteurs…

    et j’enpasse.

    Les merdias ont depuis longtemps abandonné la raison, l’honnete morale, le sens de la realité, pour se fourvoyer allegremennt dans l’ordure la plus crasse.

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