Le témoignage saisissant d’un ancien prof … de droite !

Publié par le 14 Juin, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Le témoignage saisissant d’un ancien prof … de droite !

Dans un article tout récent :

La gauche face à ses écrasantes responsabilités

Je citais les 4 conséquences de l’idéologie de gauche :

– Faillite de l’Education nationale,
– Endettement stratosphérique de la France,
– Invasion migratoire,
– Explosion de l’insécurité.

Le premier point de cette liste (malheureusement non exhaustive) est parfaitement illustré par ce témoignage d’un ancien prof publié par Boulevard Voltaire :

Les « profs » de gauche récoltent aujourd’hui ce qu’ils ont semé

crédit photo @Kenny Eliason/unsplash

Avant de rejoindre l’enseignement supérieur, j’ai été professeur de collège, puis de lycée, de 1981 à 1997, soit les deux septennats de Mitterrand, dans la France de SOS Racisme, de la régularisation des sans-papiers, du pédagogisme « ludique »

Dans les trois établissements fréquentés par votre serviteur, mais en fait dans l’ensemble des établissements de France, la gauche, ultra-majoritaire dans l’Éducation nationale – elle l’est toujours -, a méthodiquement détruit toute excellence, toute autorité, toute verticalité. Mes « chers collègues », biberonnés à l’impératif immigrationniste, égalitariste et « anti-bourgeois » (tout en mettant leurs enfants dans le privé !), se vantaient de « s’habiller comme leurs élèves », d’écouter « la même musique » qu’eux ; bref, de copiner avec la jeunesse. Ils ont continué à le faire. Ils continuent de le faire.

Le grand rêve égalitaire

Les « profs » de gauche récoltent aujourd’hui ce qu’ils ont semé, jusqu’à tomber, pour certains, sous les lames de ceux qu’ils ont concouru indirectement à armer. Car la majorité de mes « chers collègues » adhéraient déjà à la « cause palestinienne » et Khaled Kelkal fut leur premier « martyr » de la « violence policière », ce que leurs parents appelaient « CRS SS » en 1968. Ils se vautraient déjà dans la métaphysique informatique, pensant que les écrans allaient aider à « apprendre à apprendre » et réaliser enfin le grand rêve égalitaire. Les écrans ont fait naître une génération de crétins béats, décervelés, désaffiliés, déculturés et, surtout, totalement déconnectés du réel, passant leurs journées dans un monde virtuel où la mort, c’est « pour rire ». Maintenant, certains tuent pour de vrai, comme ça, le prof, le condisciple, la surveillante, dans un mélange de songe virtuel, de passage à l’acte contre l’autorité à laquelle, hélas, trop de mes collègues ont renoncé, s’enferrant dans un gauchisme culturel auquel d’aucuns tiennent finalement plus qu’à leurs enfants (« Vous n’aurez pas ma haine », autant dire mon gosse meurt mais mon idéologie survit).

Alchimie mortifère

Refusant cette alchimie mortifère, j’ai quitté l’enseignement secondaire sous les quolibets de mes collègues progressistes pour qui, déjà, j’étais « un réac, un facho ».

Oui, je le dis à nouveau, les profs de gauche, encore majoritaires, ont détruit et détruisent encore le système éducatif.

Affolés, avec quarante ans de retard, ils réclament des portiques et des fouilles au corps, mais pas des flics. Le couteau reste un moyen. Le portique une défensive au demeurant aléatoire. Tant qu’on ne renversera pas la vapeur, qu’on ne rétablira pas l’autorité, la punition, la sanction (à l’école comme ailleurs), les « poignardés au cou » se compteront encore par centaines. Ces profs de gauche, et plus largement l’État macronien, me font penser à ce chien, dont parle Gramsci, qui « mord la pierre, et non la main qui la lui jette ».

Olivier Milza de Cadenet pour Boulevard Voltaire.

Merci de tweeter cet article :





Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *