Les « antivax » étaient-ils vraiment des complotistes ?

Publié par le 20 Oct, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Les « antivax » étaient-ils vraiment des complotistes ?

Durant le covid, ils nous ont trainés dans la boue !

Parce que nous osions poser des questions qui n’allaient pas dans le sens du narratif du pouvoir macronien, ils nous ont qualifiés de complotistes, d’irresponsables.

Ils nous traitaient même de criminels car nous risquions de contaminer nos anciens.

Ils trainaient dans la boue des épidémiologistes mondialement reconnus comme les professeurs Didier Raoult et Christian Perronne.

Les médias ont également totalement failli à leur mission d’informer la population, à leur devoir de contrôler les informations, en devenant les serviles complices d’un pouvoir macronien sous contrôle des laboratoires pharmaceutiques.

Aujourd’hui encore, alors que de multiples études ont démontré l’inefficacité et surtout la nocivité des vaccins, les médias continuent d’appliquer une omerta totale au moment même où le gouvernement relance une campagne de vaccination.

Cet article est dédié à quelques personnalités médiatiques qui avaient violemment attaqué ceux qui osaient poser des questions sur la gestion de la crise du covid et qu’ils traitaient de complotistes :

Charles Consigny, Christophe Barbier, Emmanuel Lechypre et Raphaël Enthoven

Charles Consigny proposaient que les non-vaccinés réglent eux-mêmes leurs frais d’hospitalisation, même, disait-il, s’ils doivent vendre leur maison pour ça !

Le journaliste à l’écharpe rouge, Christophe Barbier, voulait créer des brigades qui, sur dénonciation des organismes sociaux, allaient frapper à la porte des non-vaccinés (vidéo ici) !

Quant à Emmanuel Lechypre, rappelons ses propos :

Les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire des parias de la société. Moi, je les attends, on vous vaccinera de force. Moi, je vous ferai emmener par 2 policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher avec les dents et les menottes !

Que disent-ils, aujourd’hui, tous ces donneurs de leçons, qui relayaient complaisamment la propagande du pouvoir ?

Que disent-ils de tous ces propos de « complotistes » qui sont aujourd’hui validés par de nombreuses études ?

  • L’utilité des masques,
  • la surcharge des hôpitaux par les non-vaccinés,
  • l’efficacité des tests PCR,
  • la surmortalité liée au covid,
  • l’efficacité des vaccins contre la transmission.

Tout cela est aujourd’hui démenti par des études venues des quatre coins du monde !

J’ai gardé le meilleur pour la fin avec cet édito de Raphaël Enthoven publié le 30 novembre 2022 sur le média Franc-tireur.fr et qu’il est savoureux de relire aujourd’hui.

La première infamie de tous ces vaccinolâtres compulsifs fut de traiter d’antivax ceux qui critiquait seulement le vaccin anti-covid et non pas le principe de la vaccination !

Les incurables, l’édito de Raphaël Enthoven

On ne discute pas avec un antivax.

Ce n’est pas un souhait, c’est un constat.

Que dire à quelqu’un qui affirme « le vaccin est plus dangereux que le virus », alors que 90 % des gens en réanimation ne sont pas vaccinés ?

Affirmation totalement fausse qui s’ajoutait à tous les patients étiquetés abusivement comme ayant le covid, afin de gonfler les statistiques destinées à faire peur.

Ou qui réclame de l’hydroxychloroquine en amont du moindre test, mais qui trouve que, deux ans plus tard, il est encore trop tôt pour « se faire piquer » ? Comment voulez-vous expliquer à celui qui trouve tant de réconfort dans de telles sottises que, comme dit Clément Rosset, « c’est le sentiment d’être trompé qui est trompeur » ? Peine perdue.

On ne discute pas avec un anti­vax.

Mais on peut parler de lui.

L’antivax confond le soupçon et le doute. Ce n’est pas parce que le vaccin est dangereux que l’antivax y est hostile. C’est parce que l’antivax est hostile au vaccin qu’il le trouve dangereux. Ce qu’il présente comme un « doute sur la version officielle » n’est qu’un soupçon de principe sur l’inoculation d’un liquide.

La confusion entre, être contre un vaccin covid expérimental et contre tous les autres vaccins est ici patente !

Ainsi l’antivax confond-il systématiquement l’exemple et la preuve : au lieu de mettre sa théorie à l’épreuve des faits, il étaye son dogme de tout ce qu’il trouve (fake news, rapports tronqués, charlatans chevelus, etc.). Au lieu d’observer le réel avant d’émettre une hypothèse, il affirme une croyance avant de prélever tout ce qui ne la contredit pas.

L’allusion à la longue chevelure de Didier Raoult est lamentable et atteint le degré zéro de l’argumentation !

C’est pour cette raison que l’antivax confond la concomitance et la causalité. Si l’antivax tombe malade après avoir été vacciné, il dira que c’est à cause du vaccin. Et vous aurez beau expliquer que deux phénomènes simultanés ne sont pas fatalement causés l’un par l’autre et, qu’en somme, sa cataracte n’est pas consécutive à sa troisième prise : rien n’y fera. Son but n’est pas de démontrer que le vaccin est toxique, mais d’affirmer qu’il l’est, puis de sommer les autres de lui démontrer le contraire.

Si les doutes de certains avaient été entendus au lieu d’être stigmatisés, on n’assisterait pas aujourd’hui à la surmortalité post-vaccinale notamment des jeunes avec l’explosion des cancers (+37 %) !

C’est alors qu’après avoir inversé la charge de la preuve, l’antivax s’immunise contre tout argument par le procès d’intention : quiconque défend le vaccin est à ses yeux soit le pantin, soit le mercenaire, de puissances occultes. Pourquoi l’antivax est-il spontanément complotiste ? Parce que l’absence d’argu­ments lui impose de neutraliser par la suspicion le discours adverse. S’il voit la main de Big Pharma derrière chaque objection, c’est juste que l’antivax ne peut pas y répondre et choisit l’esquive par l’accusation.

Mais qui de ceux qui critiquaient la politique vaccinale ou de ceux qui pratiquaient une propagande massive utilisant principalement la peur de la maladie auront été les plus dangereux pour la population ?

Enfin, fort de ses certitudes (qu’il tient pour des doutes) et de ses exemples (qu’il tient pour des preuves), n’ayant aucun argument à sa disposition mais se vivant comme le seul être libre dans un monde grégaire, l’antivax est inévitablement péremptoire, sinon violent. C’est pour cela qu’il fonctionne si souvent à l’intimidation, aux menaces, voire aux coups.

Mais qui était péremptoire ? Ceux qui critiquaient ? Ou ceux qui obligeaient la population à se faire injecter une substance expérimentale qu’on sait aujourd’hui inefficace et toxique ?

L’antivaccinisme n’est pas une opinion, c’est une maladie qui se prend pour une liberté. Et qui, depuis la pandémie, aurait des milliers de morts sur la conscience, si une maladie avait une conscience. On ne discute pas avec un antivax. L’antivax est un zombie. On l’empêche de nuire dans les limites de la loi. On le combat en étudiant son comportement, en disséquant ses réflexes, en se moquant de lui. Et surtout, on l’éloigne des hôpitaux, comme on éloigne un pédophile d’une Maternelle. 

Lamentable chronique qui se donne une couleur scientifique mais est totalement contredite par les statistiques connues à ce jour !

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