Les délires du progressisme britannique

Publié par le 8 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Les délires du progressisme britannique

A partir de maintenant, il va falloir observer de près ce qui se passe en Belgique et en Grande-Bretagne !

Car, la situation désastreuse qui sévit aujourd’hui à Bruxelles et à Londres pourrait être la nôtre demain !

Il y a quelques jours la nouvelle ministre de la justice britannique a prêté serment … sur le Coran !

Elle deviendra de fait la ministre de tutelle des nombreux tribunaux islamiques qui rendent la justice – aux hommes contre les femmes – dans certains quartiers de Londres.

Shabana Mahmood, la première ministre de la Justice musulmane en Angleterre, a prêté serment sur le Coran

Londonistan et Belgistan sont désormais les surnoms qui désignent Londres et la Belgique !

Le pire est que l’islamisation de ces deux pays n’est possible que grâce à la complicité et même l’engagement de leurs élites « blanches » gangrénées par le progressisme !

Voici un article hallucinant de Boulevard Voltaire qui décrit la nouvelle cible des progressistes britanniques : les verdoyantes et riantes campagnes anglaises.

Ils souhaitent juste que les provinciaux anglais mettent un terme à des coutumes et à l’art de vivre qu’ils pratiquent depuis plusieurs siècles pour adopter les codes des migrants qui les submergent !

La riante campagne anglaise …

Angleterre : haro sur les campagnes,
trop blanches et pas assez halal

Publié par trois chercheurs de l’université de Leicester, « Le projet sur le racisme rural : vers une campagne inclusive » est sans appel :

la campagne anglaise, souvent romantisée comme un espace de beauté intemporelle, de paix, de patrimoine culturel et de communauté imaginée, est en réalité synonyme d’exclusion et de racisme.

Il est urgent d’y remédier, d’autant que :

contrairement au mythe qui veut que l’histoire rurale soit une histoire blanche, les vies rurales ont été façonnées par le travail colonial et la migration.

Une méthodologie orientée

En 2023-2025, les chercheurs ont mené 115 entretiens et de « nombreuses conversations informelles » avec trois types de personnes : des personnes issues de minorités, des ruraux blancs et « des alliés blancs (sic) activement engagés dans la lutte contre le racisme en Angleterre ». Le texte parle bien d’« alliés blancs », opposés aux méchants « ruraux blancs » qui suent la xénophobie et à qui, puisque alliés il y a, il s’agit de faire la guerre.

De ces conversations menées plus ou moins scientifiquement au regard des standards de la sociologie, trois rapports ont été tirés (et un clip de présentation, plus propagandiste qu’universitaire). Sont passées au crible « les expériences d’hostilité » et « les expressions d’hostilité » (en explorant « les expressions historiques, culturelles et symboliques du racisme dans les zones rurales »). Le troisième rapport est habile puisqu’il s’intéresse aux « réactions hostiles à l’exposition du racisme rural » : si notre étude ne vous plaît pas, c’est que vous êtes raciste. Imparable.

Du fécalome* induit par le racisme

Les Blancs ruraux, nous disent les universitaires, bénéficient d’une « expérience intergénérationnelle » de la campagne, dont ils tirent un ascendant sur ceux venus d’ailleurs qui n’en ont pas les codes. Ils vivent en communauté soudée dont les minoritaires peuvent se sentir exclus. Cela définit, sinon un péché originel, du moins un « racisme structurel » construit par la peur, l’ignorance, le comportement appris et le populisme — pas moins.

De façon factuelle, comment les victimes expérimentent-elles ce racisme ? Des personnes issues de minorités témoignent qu’on ne peut vivre à la campagne sans voiture ou sans congélateur. Ou encore qu’il y a des clôtures partout :

Chaque parcelle de terre appartient à quelqu’un.  Shocking ! 

Asiatico-galloise, Dana se plaint :

Impossible de trouver de la nourriture black, asiatique ou minoritaire ethnique (sic).

Pire : l’épicerie du village ne reçoit de la coriandre qu’une fois par semaine ! Si ça n’est pas du racisme … Trouver de la nourriture cacher ou halal est tellement difficile qu’un témoin en est réduit – pardonnez ce détail, il est sociologique – à se nourrir de choses qui le constipent :

Vous avez l’impression que tout votre système est bouché,

explique-t-il dans la langue de Shakespeare.

Le halal et ce qui l’accompagne

Face à cette situation insupportable, on ne fera pas l’économie d’une :

politique rurale inclusive pour promouvoir la diversité dans le cadre de la régénération rurale.

Oui, il s’agit de « régénération ». Un mot fort, l’équivalent politiquement correct de « Grand Remplacement » ? Il faut faire monter les minoritaires dans les institutions rurales, lutter contre le racisme par « des célébrations de la diversité pour établir un lien et une appartenance ». Surtout, « les installations et services devraient refléter les besoins des diverses communautés ». Comprenons, puisque du défaut de halal il a été question, qu’il faut des épiceries halal, mais aussi les « installations » et les « services » afférents à cette nourriture sacrificielle : des tapis et des mosquées.

Le grand péché des campagnes anglaises a déjà été « documenté » par une étude de l’ONG écolo Wildlife and Countryside Link et dénoncé par le Fitzwilliam Museum de l’université de Cambridge qui met en garde ses visiteurs contre le côté « nationaliste » de certains paysages. Ils sont obsédés. Il faut se débarrasser des « Blancs » et de leur culture, il faut métisser et effacer, fondre et confondre, diluer l’identité européenne jusqu’au fin fond des campagnes — comme en France où l’on parsème les clandestins. Les chercheurs responsables de la présente étude appartiennent, on l’a dit, à l’université de Leicester, plus précisément à son « Centre des études de la haine ».

Mais de quelle haine s’agit-il ici, sinon de celle à l’encontre des Blancs ?

Samuel Martin pour Boulevard Voltaire.

* Fécalome : bouchon de selles qui s’accumule dans la partie finale de l’intestin.

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