Les politiques de l’islamosphère

Publié par le 18 Oct, 2017 dans Blog | 0 commentaire

Les politiques de l’islamosphère

Voici le quatrième et dernier chapitre du dossier consacré par le Figaro Magazine à l’islamosphère, c’est à dire à toutes les forces qui, en France, se rendent complices, activement ou dans l’ombre, de l’islamisation de la France.

Après les précédents chapitres :
– La cinquième colonne de l’islamisme,
– les intellectuels de l’islamosphère,
– les relais médiatiques de l’islam en France, 

ce sont les politiques de l’islamo-gauchisme qui sont ciblés par le magazine.

En campagne pour la primaire « citoyenne » de la gauche, Benoît Hamon avait lui aussi critiqué ce reportage de France 2, où des hommes dont les visages n’étaient pas montrés expliquaient que les femmes n’avaient pas à se rendre dans les cafés. « Dans ce café, il n’y a pas de mixité, expliquait l’un d’eux. On est à Sevran, on n’est pas à Paris. » « C’est des mentalités différentes. C’est comme au bled ! » ajoutait un autre. Dans un premier temps, Benoît Hamon avait cherché des justifications sociales plutôt que religieuses à cette rnisogynie, en assurant : « Historiquement, dans les cafés ouvriers, il n’y avait pas de femmes. » Puis il avait reconnu une « maladresse » et précisé : « Ce que je voulais dire, c’est que le sexisme n’est pas l’apanage des musulmans. »

Comme le souligne l’essayiste Caroline Fourest, Benoît Hamon a beaucoup varié dans ses positions sur l’islamisme. Ils ont mené ensemble une campagne de soutien à Ayaan Hirsi Ali, menacée de mort pour avoir écrit le court-métrage Soumission lorsqu’elle était députée néerlandaise. Son réalisateur Theo Van Gogh a été assassiné par un djihadiste néerlandais d’origine marocaine.

Mais pendant la campagne de la primaire, l’ancien ministre de l’Education avait choisi comme porte-parole Alexis Bachelay, l’un des rares élus à avoir participé à un dîner de gala annuel du CCIF. En janvier 2016, alors député PS des Hauts-de-Seine, il n’a pas hésité à inviter Yasser Louati, un porte-parole de l’association, à s’exprimer à Gennevilliers à la tribune d’une réunion publique consacrée à « la France face au terrorisme » . Proche de Pascal Boniface, qu’il a invité à son lancement de campagne, Benoît Hamon entretient des relations cordiales avec certains membres de l’islamosphère. En 2011, il s’est même rendu à la soirée annuelle des Y’a bon Awards.

Le parti créé par Emmanuel Macron pendant la campagne n ‘est pas exempt …

… lui non plus, d’affinités sulfureuses. Il a fallu que la presse s’empare du cas de Mohamed Saou, référent d’En Marche ! dans le Val-d’Oise, pour que le candidat se résolve à mettre « en réserve » de ses fonctions cet adepte du « Je ne suis pas Charlie ». Jusqu’à une période récente, La République en marche comptait aussi dans ses rangs à l’Assemblée nationale un soutien dévoué du CCIF : M’jid El Guerrab. Connu pour avoir agressé à coups de casque de moto un cadre du PS en août dernier, il avait signé en 2015 une lettre ouverte au premier secrétaire de l’époque, Jean-Christophe Cambadélis, pour défendre la présence de Corinne Narassiguin au dîner de gala du CCIF en tant que porte-parole du PS. M’jid El Guerrab a démissionné de LREM après avoir été mis en examen pour « violences volontaires avec arme », mais est toujours député.

La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon pratique la collusion avec l’islamosphère 

à bien plus grande échelle. La députée de Paris Danièle Obono, l’une de ses élues les plus emblématiques, s’exprime sur le sujet tous les jours ou presque. La semaine dernière encore, elle a déclaré sur BFMTV: « Un agent de la RATP qui refuse de conduire un bus après une femme, est-ce que c’est le signe d’une radicalisation ? Non, c’est le signe d’un préjugé contre les femmes ». Jean-Luc Mélenchon, qui se targue toujours d’être un républicain, la défend systématiquement. Son argument ultime contre tous ceux qui s’inquiètent de la montée de l’islam politique: « Foutez-nous la paix avec les religions ! »

A la gauche de la gauche, les ralliements aux thèses en vogue dans l’islamosphère sont légion. Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) d’Olivier Besancenot et de Philippe Poutou y adhère en bloc, en pratiquant lui aussi l’« intersectionnalité » des luttes, par exemple pour le voile islamique – une candidate voilée avait porté les couleurs du NPA aux régionales en 2010 – et contre les violences commises par des policiers, que Philippe Poutou a proposé de désarmer. En mars 2015 , à Saint-Denis, le NPA a tenu avec des associations musulmanes et des représentants du PCF et d’ Attac, mouvement altermondialiste, un « meeting contre l’islamophobie et le climat de guerre sécuritaire  ». Le Parti des Indigènes de la République (PIR) y participait également. Ce groupuscule est surtout connu grâce à Houria Bouteldja, sa porte-parole, qui accuse l’Etat français d’être néocolonialiste, raciste et islamophobe. En novembre 2011, elle a cosigné un manifeste dénonçant le soutien exprimé à Charlie Hebdo après l’incendie de ses locaux.

Le PIR n’a aucune implantation locale et son influence est dérisoire, comparée à celle de la myriade d’associations islamistes qui, sous couvert d’action sociale, quadrille la France. Le député du Val- d’Oise, que l’interdiction du cumul des mandats a contraint à quitter cette année son fauteuil de maire de Sarcelles, affirme que des « réseaux salafistes » ont tenté d’infiltrer plusieurs villes du département. « Ça a commencé par du soutien scolaire dans une maison de quartier, puis dans une MJC, puis ils ont présenté des candidats aux élections de délégués de parents d’élèves », énumère-t-il. Finalement, au second tour des législatives, François Pupponi a dû affronter Samy Debah, fondateur du CCIF, qui s’est présenté comme candidat « indépendant ». Qu’il a battu largement, bien que selon lui, la candidate de La France insoumise ait appelé à voter « contre Pupponi ». « Ce qu’on appelle l’islamo -gauchisme, je l’ai vécu en direct », soupire le député socialiste.

Il ne sera sans doute pas le dernier à faire cette expérience.

Judith Waintraub et Vincent Nouzille pour le Figaro Magazine.

En conclusion

Après ces quatre chapitres dédiés à l’islamosphère, on mesure la puissance de ces forces qui travaillent – qu’elles l’assument ou non – à l’implantation profonde et durable de l’islam en France. La gauche et ses médias, motivés par des considérations électorales à courte vue, porteront une grave responsabilité dans les événements graves qui ne manqueront pas de se produire quand le seuil d’acceptabilité de l’islam en France aura été atteint !

Ce matin, une quinzaine d’activistes de l’ultra-droite sont en garde à vue, soupçonnés d’avoir préparé des attentats contre des hommes politiques de gauche (Mélenchon, Castaner) et contre des mosquées.

Cela ne préfigure-t-il pas la menace de guerre civile qui se profile et qui se produira inéluctablement à un certain stade d’avancement du Grand remplacement ?

Pour conclure en images, voici un florilège des déclarations pro-islams de l’islamo-gauchisme :

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