Les progressistes ne respectent rien.
Même pas, et surtout pas, les enfants !

Publié par le 5 Juil, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Les progressistes ne respectent rien. Même pas, et surtout pas, les enfants !

Le plus insupportable avec les progressistes, ce n’est pas qu’ils veuillent vivre entre eux selon une idéologie, des règles et des moeurs qui leur sont propres, mais …

… qu’ils les imposent à tous !

Car, ils ne se contentent pas de croire qu’un homme puisse tomber enceint. Ils conspuent ceux qui refusent de croire à cette aberration et les traînent même devant les Tribunaux.

Après avoir, pendant des décennies, conspuer l’institution du mariage qu’ils qualifiaient de « bourgeois », les progressistes ont voulu en faire bénéficier les homosexuels ! Sans qu’on sache si c’était pour le bien de cette communauté ou juste pour le plaisir malsain de dénaturer cette institution.

Mais on touche le fond quand le progressisme s’en prend à nos enfants !

On le vit en ce moment avec la polémique entourant les nouveaux programmes d’éducation sexuelle à l’école, le fameux programme EVARS hypocritement appelé :

Je ne reviens pas sur les dérives de cette initiative qui ont été dénoncées par de nombreux spécialistes de l’éducation tels que Maurice Berger et Sophie Audugé.

Ce programme aboutit à l’hypersexualisation des enfants et rappelle que la gauche, au moins depuis mai 68, a toujours agi dans ce sens, allant même jusqu’à pétitionner dans le Monde et Libé pour dépénaliser la pédophilie.

Une de Libé promouvant la pédophilie

Mais il y a encore bien pire !

Bien pire quand les progressistes imposent d’appliquer la théorie du genre aux enfants mineurs, en poussant des enfants, en plein trouble de l’adolescence, à changer de sexe !

Ils leur proposent d’abord des bloqueurs de puberté pour attendre leur majorité et passer à la phase chirurgicale. Mais le pire est atteint quand les progressistes légifèrent pour interdire aux parents de s’opposer au changement de genre de leurs enfants !

Voici un article de The Epoch Times qui rapporte ce que les socialistes espagnols préparent pour leurs enfants … et leurs parents :

Espagne : réforme du code pénal pour retirer
la garde aux parents qui s’opposeraient
à la transition de genre de leurs enfants

En vertu de l’interdiction des « thérapies de conversion », les traitements visant à préserver la santé sexuelle biologique des mineurs seront interdits. Les sanctions prévues vont jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende.

Le groupe parlementaire socialiste prépare une réforme du Code pénal qui sanctionnerait les parents refusant les traitements hormonaux ou une opération de changement de sexe pour leurs enfants mineurs, les envoyant en prison pour une durée pouvant aller jusqu’à deux ans et leur retirant leur droit légal de les élever et de prendre des décisions les concernant.

Les parents qui recherchent des conseils médicaux ou psychologiques pour prendre soin de la santé des mineurs qui ont été incités ou poussés à devenir transgenres subiront les mêmes conséquences.

Il s’agit d’une proposition de loi organique modifiant le Code pénal, qui stipule que :

les thérapies de conversion visant à éliminer ou à nier l’orientation sexuelle, l’identité sexuelle ou l’expression de genre sont punissables. Elle punit également les professionnels de santé, tant pour avoir préservé la santé biologique des mineurs que pour avoir refusé de procéder à une transition de genre.

Les sanctions prévues par cette norme s’ajouteraient aux amendes prévues précédemment par la loi 4/2023 du 28 février pour l’égalité réelle et effective des personnes transgenres et pour la garantie des droits des personnes LGTBI, plus connue sous le nom de loi trans, pouvant aller jusqu’à 150.000 euros.

La proposition controversée a été approuvée pour examen en séance plénière du Congrès le 24 juin, ce qui signifie qu’elle fera l’objet de débats et d’éventuels amendements par les parlementaires. Tous les groupes parlementaires, à l’exception de VOX, ont voté en faveur. Une abstention de l’UPN a également été enregistrée.

L’avocate pénaliste Paula Fraga a déclaré à Epoch Times Espagne :

Cette réforme du Code pénal est terrifiante et implique, bien sûr, un manque de protection encore plus grand pour les enfants, car elle prévoit une peine de deux ans de prison pour les professionnels qui refusent de pratiquer des thérapies affirmatives. Il s’agit d’un blocage hormonal, suivi d’une hormonothérapie croisée et même d’une mutilation d’organes sains.

L’avocate a également souligné que :

les traitements administrés aux enfants sont expérimentaux, car on ne connaît même pas toutes leurs implications négatives pour les enfants. Ce qui se fait est scandaleux et cela ne profite bien sûr qu’à l’industrie pharmaceutique, car il est évident que transformer des enfants en bonne santé en patients à vie est une activité très lucrative.

L’avocate s’inquiète de la « suspension temporaire de l’autorité parentale pouvant aller jusqu’à cinq ans » et du fait que tant les professionnels que les parents « qui refusent de suivre cette thérapie affirmative » encourent des peines de prison.

Selon elle :

si un mineur manifeste une confusion quant à son sexe biologique, il faut d’abord procéder à une évaluation psychologique pour déterminer s’il souffre réellement d’une dysphorie de genre et ne pas considérer que c’est une évidence.

L’avocate précise que, selon la loi trans, une thérapie de conversion est précisément le refus d’une thérapie affirmative (de changement de sexe). Cela signifie que :

la stratégie tant de la loi trans que maintenant de cette modification du Code pénal (…) consiste à manipuler totalement, en appelant thérapie de conversion [Note de la rédaction : thérapies visant à corriger l’orientation sexuelle] ce qui n’en est pas une, et en outre à instrumentaliser ce collectif LGBT, car il est faux que les thérapies de conversion, les véritables thérapies de conversion, n’étaient pas déjà pénalisées en Espagne.

En d’autres termes, les parents et les professionnels pourront être poursuivis tant en vertu des lois régionales sur les transgenres que de la nouvelle réforme du Code pénal en cours.

Selon l’avocate Fraga :

les mineurs sont orientés vers des changements d’identité sexuelle simplement parce qu’ils expriment un malaise vis-à-vis de leur corps. Des milliers de mineurs voient leur vie ruinée par des traitements hormonaux et ceux qui pourraient empêcher cela sont punis de peines de prison, mais ils ne le font pas par peur, compte tenu du régime de sanctions très sévères auquel ils sont confrontés.

Elle a remarqué que de nombreux psychologues lui ont confié avoir peur de ne pas être à la hauteur avec ces enfants. Finalement, ils renoncent et décident de ne pas traiter les personnes souffrant de dysphorie de genre.

Il ne s’agit pas de protéger les personnes LGBT, mais d’imposer davantage un programme transgenre qui porte atteinte aux droits des femmes et des enfants.

Violation des droits fondamentaux

La Fédération des entités religieuses évangéliques d’Espagne (FEREDE) a déclaré le 26 juin qu’elle s’opposait depuis 2022 à la loi transgenre et désormais à la réforme pénale, soulignant que :

plusieurs dispositions pourraient porter atteinte à des droits fondamentaux tels que la liberté religieuse, la liberté de conscience et le droit des parents à éduquer leurs enfants conformément à leurs convictions.

L’un des aspects qui a suscité le plus d’inquiétude est la définition ambiguë des thérapies dites de conversion.

La fédération déclare :

Il est particulièrement grave que la loi permette aux mineurs de changer leur sexe dans le registre civil sans le consentement parental, ce qui, selon elle, porte atteinte à l’exercice légitime de l’autorité parentale.

De plus, elle souligne le danger que :

dans ce contexte, si des parents demandent un soutien psychologique pour leur enfant souffrant de dysphorie de genre, ça pourrait être interprété comme une ‘thérapie de conversion’, les exposant à d’éventuelles sanctions.

La FEREDE a précisé que les églises évangéliques ne pratiquent pas les thérapies de conversion au sens clinique du terme, mais qu’elles reçoivent des demandes d’accompagnement pastoral ou spirituel venant de personnes qui doutent de leur identité ou de leur orientation sexuelle.

L’organisation a déclaré avoir officiellement déposé son rapport en 2022 auprès des ministères compétents — le ministère de la Présidence, des Relations avec les Cours et de la Mémoire démocratique et le ministère de l’Égalité, dirigés respectivement par Félix Bolaños et Irene Montero —, demandant que les textes législatifs soient réexaminés ou modifiés afin de garantir le respect de tous les droits constitutionnels.

Bien qu’en septembre de cette année-là, on leur ait répondu « que la liberté de conscience est pleinement garantie par le système démocratique espagnol », ils ne le voient pas ainsi et ont le sentiment que leurs préoccupations ne sont pas prises en compte.

Avec la loi trans, si la nouvelle réforme est adoptée :

ce qui était auparavant sanctionné par des amendes serait désormais passible de peines de prison, ce qui augmente le risque que les accompagnements professionnels, familiaux ou pastoraux demandés volontairement, par exemple par un enfant à ses parents ou par un paroissien au pasteur de son église, aboutissent à l’emprisonnement de membres de la famille et de ministres du culte.

La fédération a indiqué que son service juridique était en train d’analyser la situation.

Réforme

L’initiative introduira l’article 173.bis dans le Code pénal, qui stipule :

Sera puni d’une peine d’emprisonnement de six mois à deux ans, quiconque applique ou pratique sur une personne des actes, méthodes, programmes, techniques ou procédures d’aversion ou de conversion, qu’ils soient psychologiques, physiques, pharmacologiques ou de toute autre nature, destinés à modifier, réprimer, éliminer ou nier son orientation sexuelle, son identité sexuelle ou son expression de genre, portant atteinte à son intégrité corporelle ou à sa santé physique ou mentale ou portant gravement atteinte à son intégrité morale.

Cela concerne :

les ascendants, tuteurs, curateurs, gardiens ou toute autre personne chargée de fait ou de droit d’une personne mineure ou d’une personne handicapée nécessitant une protection spéciale.

Les personnes condamnées pour avoir commis l’un des délits prévus, dont la victime est un mineur, peuvent se voir infliger, en plus des peines applicables, une peine d’inéligibilité spéciale pouvant aller jusqu’à cinq ans pour toute profession, métier ou autre activité, rémunérée ou non, impliquant un contact régulier et direct avec des mineurs.

Dans tous les cas, une peine d’inéligibilité spéciale pour les professions ou métiers liés à l’éducation, dans les domaines de l’enseignement, du sport et des loisirs, sera également imposée pour une durée supérieure de trois à cinq ans à la durée de la peine d’emprisonnement infligée, en fonction de la gravité du délit, du nombre de délits commis et des circonstances propres à la personne délinquante.

Les peines prévues par la réforme pénale requièrent l’une des circonstances suivantes :

  1. Lorsque la victime est mineure.
  2. Lorsque les faits ont été commis en recourant à la violence, à l’intimidation ou à la tromperie.
  3. Lorsque l’auteur appartient à une organisation ou une association, même de nature transitoire, qui se consacre à la réalisation de telles activités.
  4. Lorsque les faits ont été commis à des fins lucratives.

Anastasia Gubin pour The Epoch Times.

Merci de tweeter cet article :





Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *