La notion de « haine » et de « discrimination », ne sont pas des notions juridiques claires et permettent, à la gauche, et aux juges qui partagent son idéologie, de condamner injustement leurs adversaires de droite !
Aujourd’hui, dire qu’il y a trop d’immigrés en France est bien souvent assimilé à un discours de haine alors qu’il ne s’agit que d’une opinion et qu’elle se rapporte, pour certains, à une réalité quotidienne.
Les progressistes sont tellement convaincus qu’ils sont dans le Camp du Bien et qu’ils détiennent la vérité qu’ils n’hésitent pas à faire condamner ceux qui ont une vision différente de la leur.
On en a eu un exemple récent avec la condamnation de CNews à une amende de 20 000 euros pour avoir laissé un intervenant mettre en doute la cause humaine du réchauffement climatique.
L’Arcom a prétendu que l’intervenant n’avait pas eu, ni contradiction, ni modération, ce qui est totalement faux (voir cet article).
C’est juste l’exposé d’une thèse contraire à la doxa officielle qui est condamnée !
Voici un autre exemple de l’instrumentalisation de la justice dans cet article de Boulevard Voltaire :
Pour un hommage aux victimes du 13 novembre,
arrestations et perquisitions de Natifs
« Bataclan : dix ans plus tard, l’ennemi est toujours là. »
C’est cette banderole déployée sur l’esplanade du Trocadéro, lors d’un hommage aux victimes du 13 novembre, qui a valu à cinq militants des Natifs de passer la nuit du 18 au 19 novembre en garde à vue, après la perquisition de leurs domiciles pour « provocation à la haine ou à la discrimination », parmi trois autres chefs d’accusation. Une procédure qui a d’ailleurs été prolongée au-delà des vingt-quatre heures légales, avant que les personnes interpellées ne soient relâchées, ce 19 novembre au soir, et placées sous contrôle judiciaire en attendant d’être présentées au tribunal.
La réponse disproportionnée à un simple « happening »
Une fois n’est pas coutume, des moyens considérables ont été mobilisés pour une action qui aurait pu passer presque inaperçue, tant le « trouble à l’ordre public » que la préfecture de Paris affirmait craindre n’a jamais été dans l’équation de cette action militante du 13 novembre. Un « happening » comme il en existe beaucoup et qui visait simplement à rendre hommage aux 132 victimes des attentats de 2015 et à dénoncer la menace du terrorisme islamiste, toujours présente en France dix ans après les attaques revendiquées par Daech.
Une quarantaine de jeunes hommes et femmes à visages découverts, une vingtaine de fumigènes et des slogans tels que « Ni oubli, ni pardon » ou « Islam hors d’Europe » ont alimenté cette action qui n’aura duré que quelques minutes. Après quoi, « tout le monde est retourné travailler, tout le monde est allé s’occuper de ses enfants », raconte Pierre Larti, porte-parole de l’ASLA, une association d’aide financière et juridique aux lanceurs d’alerte.
Voir la vidéo sur Instagram.
Ce n’est que quatre jours plus tard que les foyers de certains des militants identitaires soupçonnés d’avoir participé à l’action ont été perquisitionnés à l’aube, « dans l’incompréhension des familles », souligne le collectif des Natifs, avant que les menottes ne soient passées aux militants. Un décalage d’autant plus surprenant que, selon Pierre Larti, « aucun trouble ni dommage » n’a pu être observé, alors que l’un des chefs retenus porte, justement, sur un « regroupement en vue de commettre des violences ou des dégradations ».
Le motif de « mise en danger d’autrui », retenu pour les fumigènes, laisse encore perplexe Pierre Larti, qui s’étonne que l’on invoque ce risque alors que, deux semaines plus tôt, « des centaines de supporters marocains » avaient allumé fumigènes et feux de Bengale au cœur de Paris, sous les yeux apeurés des riverains, sans que ça ne génère ni garde à vue ni perquisition. À en croire le dernier article du Parisien paru sur ce sujet, et sans réponse du parquet de Paris sollicité par BV, aucune poursuite ne semble effectivement avoir été lancée en ce sens.
Le grief de manifestation non déclarée soulève la même question de cohérence, puisque les happenings, rappelle-t-il, ne font jamais l’objet d’une déclaration préalable.
« L’instrumentalisation du droit à des fins politiques »
Reste l’accusation la plus politique, selon lui :
la provocation à la haine ou à la discrimination.
Pour Pierre Larti, difficile de saisir comment une banderole affirmant que « dix ans plus tard, l’ennemi est toujours là » constituerait un appel à la haine, « a fortiori quand on voit les derniers sondages sortis par l’IFOP sur les sympathies islamistes d’une partie du monde musulman en France ».
Une sévérité qu’il juge disproportionnée et répétitive, puisque c’est loin d’être la première fois que les actions des Natifs sont visées, malgré leur caractère inoffensif. À ses yeux, ces mesures ne relèvent d’ailleurs ni de la sécurité ni de l’ordre public, mais d’un ciblage politique qui ne dit pas son nom. Il parle même d’une « instrumentalisation du droit à des fins politiques » par le locataire de la Place Beauvau, Laurent Nuñez. « C’est plus simple, ironise Pierre Larti, d’aller chercher des sympathisants patriotes que d’aller chercher des ultras ou des supporters marocains. »
Dix ans après le Bataclan, la menace terroriste existe toujours. Mais la réponse de l’État semble vouloir agir comme un écran de fumée.
Alienor de Pompignan pour Boulevard Voltaire.
On ne peut que rapprocher cette injustice criante de celle qui avait vu Darmanin dissoudre le mouvement Génération identitaire pour occupation, pendant quelques heures, d’une mosquée en construction et déroulement de banderoles dans un col des Alpes.
Les Antifas, les Soulèvements de la Terre, mouvements factuellement violents, sont, quant à eux, impunis car protégés par le privilège rouge.




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