« L’odieux visuel de sévices publics » en toute impunité

Publié par le 14 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

« L’odieux visuel de sévices publics » en toute impunité

Mon titre reprend le surnom qu’a donné Gilles-William Goldnadel au Service public de l’audiovisuel et particulièrement France Inter, que par un masochisme incompréhensible, il s’entête à regarder quotidiennement !

Ces derniers jours, deux militants socialistes se prétendant journalistes, grands donneurs de leçons … de journalisme, Thomas Legrand et Patrick Cohen, ont été pris la main dans le sac, en collusion avec deux hiérarques socialistes.

Thomas Legrand les assurait notamment, que Patrick Cohen et lui oeuvraient sur le service public à empêcher Rachida Dati d’emporter la mairie de Paris !

Tout le monde sait que, notamment France Inter, France 5 et France Culture, sont des chaines totalement noyautées par la gauche. D’ailleurs la directrice de France Inter elle-même, Adèle Van Reeth, n’a t-elle pas avoué :

France Inter est une radio progressiste !

La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, n’avait pas dit autre chose en clamant:

Nous ne montrons pas la France telle qu’elle est,
mais comme nous voudrions qu’elle soit !

Ces deux déclarations illustrent parfaitement le climat d’impunité des responsables de l’audiovisuel quand elles tiennent des propos qui sont un viol caractérisé du cahier des charges qui régit l’audiovisuel public !

Comme aurait dit Coluche :

Ne riez pas ! Elles font ça avec votre pognon !

Car ce pognon, c’est 4 milliards d’euros prélevés chaque année dans nos impôts !

Que fait l’Arcom, me direz-vous ? Elle s’occupe de CNews ! Elle ne peut pas être partout !

Pourtant l’Arcom aurait dû tendre l’oreille quand François Morel, qu’on a connu meilleur dans les Deschiens sur Canal+, a traité les journalistes de l’Incorrect de :

 fils de pute et d’enculés !

Avant d’être fermé autoritairement par l’Arcom, C8 avait dû payer une amende de 3,5 millions d’euros parce que Cyril Hanouna avait traité le député Louis Boyard de « tocard, d’espèce d’abruti, de bouffon et de merde ! »

A côté de ces noms d’oiseau, combien va coûter à France Inter les insultes de François Morel qui me paraissent au moins 10 fois plus graves que celles d’Hanouna ?

35 millions d’euros ? Ne rêvons pas ! L’Arcom blanchira François Morel et France Inter !

Voici la vidéo du billet de François Morel dans laquelle le pire, ce sont les rires abjects des journalistes et chroniqueurs présents sur le plateau, à chaque insulte proférée !

Voici ce qu’en pense Robin de La Roche dans la Lettre patriote :

Affaire Cohen-Legrand : quand François Morel insulte,
le service public applaudit

Il y a des mots qui, sur France Inter, sont proscrits. Enfin, en théorie. Car ce vendredi matin, François Morel, chroniqueur attitré du service public, n’a pas hésité à traiter les journalistes de L’Incorrect de « fils de p*** » et d’« enc…s ». Oui, en direct, sur l’antenne financée par vos impôts.

La raison de ce dérapage contrôlé ? Une vidéo, publiée il y a quelques jours, montrant Thomas Legrand et Patrick Cohen attablés avec des responsables du Parti socialiste. On y entend Legrand déclarer :

Nous, on fait ce qu’il faut pour Dati, Patrick (Cohen) et moi.

Un aveu de collusion, saisi caméra discrète, qui a coûté sa suspension à Thomas Legrand. Patrick Cohen, lui, a été blanchi.

Pour François Morel, peu importe la gravité des propos, peu importe que le public découvre enfin ce que beaucoup soupçonnaient depuis longtemps — à savoir que certains journalistes « indépendants » ne sont que les porte-voix de leurs amis politiques. Non, ce qui choque l’humoriste, ce n’est pas la connivence, mais le fait que la vidéo ait été diffusée. Et plutôt que de répondre sur le fond, il insulte.

Deux poids, deux mesures

Imagine-t-on une seconde un chroniqueur de droite employer les mêmes mots à l’antenne ? Tollé immédiat, campagnes de presse, licenciement express. Mais lorsqu’il s’agit d’un vieux routier de France Inter, les gros mots passent pour de la poésie. On appelle cela « l’humour ».

En réalité, Morel dit tout haut ce que son camp pense tout bas : le véritable scandale, ce n’est pas qu’on apprenne la collusion entre journalistes et politiciens, c’est qu’on ose l’exposer. La transparence, pour eux, est un crime.

Un aveu de panique

Que révèle ce billet ordurier ? Que le système médiatique de gauche est aux abois. Qu’il tremble à l’idée que ses petits arrangements soient mis en lumière. Qu’il redoute de voir s’effondrer la façade d’indépendance derrière laquelle il s’abrite depuis des décennies.

François Morel se scandalise qu’on filme dans un café. Mais ce qui scandalise surtout les Français, c’est d’apprendre que ceux qui les « informent » négocient en coulisses avec ceux qu’ils sont censés contrôler.

Un service public au service d’un camp

Ce nouvel épisode démontre une fois encore que France Inter n’est pas une radio de service public, mais une radio de parti. Et que la bien-pensance n’hésite jamais à insulter quand elle n’a plus d’arguments.

Les Français, eux, ne sont pas dupes. Ils voient bien qui tient le micro, qui fixe la ligne, et qui insulte quand la vérité dérange.

Robin de La Roche pour la Lettre patriote.

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