Macron, collé au mur par Giorgia Meloni

Publié par le 6 Nov, 2022 dans Blog | 2 commentaires

Macron, collé au mur par Giorgia Meloni

« Dégoutants, cyniques et irresponsables ! »

C’est par ces mots qu’Emmanuel Macron avait insulté les Italiens coupables de sympathie vis-à-vis de l’union des droites réalisée par Giorgia Meloni.

Ce faisant, en européiste compulsif, il n’avait fait que mêler ses rodomontades à celles de la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen.

Cette dernière, la veille des élections italiennes, avait osé menacer les électeurs italiens en rappelant qu’elle en avait matés d’autres :

Si les choses vont dans une direction difficile, nous avons des outils, comme dans le cas de la Pologne et de la Hongrie.

Pour en revenir à Macron, est-il acceptable qu’on insulte un peuple dont le pays fait partie des 5 pays fondateurs de l’Europe ? On reconnait bien là le chef de file du progressisme en Europe qui ne respecte ni l’Histoire, ni les peuples qui la firent et passe son temps à leur donner des leçons de morale.

Mais Macron, avec Giorgia Meloni, aura trouvé à qui parler !  Je viens d’en trouver une preuve éclatante qui promet de futurs débats houleux lors des Conseils européens :

Bravo à Giorgia Meloni dont nous devons saluer l’élection, une bonne nouvelle pour tous les Patriotes européens ! Un encouragements pour les droites françaises !

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2 Réponses à “Macron, collé au mur par Giorgia Meloni”

  1. Giorgia Meloni, une brave fille qui dit seulement la verité contrairement a toute l’europe de goche.

  2. « manu », il insulte les étrangers depuis la France, il insulte la France depuis l’étranger, il menace les Députés de dissolution, il a très envie d’emmerder les non-vaccinés et prend un malin plaisir à ne pas les réhabiliter tout en laissant dériver vers la carence en personnel les services publics plus que sous tension.

    Il est même en train de régler ses comptes à ceux qui ont exprimé des opinions divergentes de celles de l’exécutif durant la crise sanitaire.

    Après Raoult, Péronne, Di Visio et bien d’autres, il vient de s’occuper du Sénateur Alain Houpert à son tour interdit d’exercer son métier de médecin radiologue durant 18 mois dont 9 avec sursis.

    On est au pays « bolchevique du progressisme » en plein totalitarisme comme lors de ce « procès stalinien » qui a sanctionné un Député RN pour avoir exprimé un choix politique qui est partagé par une partie non négligeable des électeurs qui a certainement été bien plus effrayés et insultés par le salut nazi des plus tumultueux d’un Député de la majorité.

    Il est vrai que Mme Braun-Pivet s’était déjà rendue célèbre pour avoir enterré expressément l’enquête parlementaire de l’Assemblée Nationale sur l’affaire Benalla.
    Celui-ci a pu bénéficier d’une entrave et d’une complaisance des exécutif et de l’institution judiciaire dont ne peuvent jouir ceux qui s’opposent à la Doxa sovietico-progressif du nouvel ordre mondial et européiste.

    D’autre part, l’affaire De Fournas a pour but de revivifier le cordon sanitaire et de réanimer le front républicain en cas d’une éventuelle dissolution de l’Assemblée Nationale qui semble inévitable mais qui aura lieu forcément avant les lois sur l’immigration et les retraites mais à la seule condition que sa préparation soit effective, contrairement à celle de Chirac en 1997.

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