Macron grand ordonnateur de la censure …

Publié par le 6 Sep, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Macron grand ordonnateur de la censure …

Un journaliste d’Europe1, Laurent Tessier, s’est amusé à compiler toutes les déclarations de Macron concernant son socialisme supposé ou avéré.

En 2014, face à des chefs d’entreprises, il déclarait :

« Je suis socialiste et je l’assume ! »

Mais en 2016, au Puy du Fou, il assurait : « l’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste ! »

Mais n’ayez aucun doute, Macron est bien socialiste ! Et j’en avance deux preuves :

  • D’abord son inclination compulsive pour la dépense publique qu’il a même glorifiée avec son ruineux « quoi qu’il en coûte »,
  • son appartenance revendiquée au Camp du bien qui va avec une aversion viscérale pour la liberté d’expression … de ses opposants.

Je ne cesse de le dénoncer dans ces colonnes : la liberté d’expression est en régression, en Europe, et surtout en France, depuis que Macron est à l’Elysée.

La chaine de télévision C8 s’en souvient encore !

Lorsqu’Elon Musk avait racheté Twitter, il avait promis de rendre la liberté à l’oiseau bleu que son prédécesseur, Jack Dorsey, avait bafouée en cédant aux injonction de l’administration démocrate et particulièrement du FBI.

Rappelons-nous que Twitter avait même été jusqu’à fermer le compte de Donald Trump !

Elon Musk avait alors publié, sous le nom de Twitter Files, toute une correspondance entre les responsables de Twitter et les responsables démocrates montrant que Twitter s’était vendu totalement en pratiquant une censure sélective favorisant le progressisme.

Depuis l’intervention du vice-président J.D. Vance à Munich où il avait sermonné l’Europe en dénonçant ses graves atteintes aux libertés individuelles, le torchon brûle entre l’Europe et la Maison Blanche à propos, notamment, du sinistre DSA (Digital Services Act). Donald Trump aurait même menacé d’en remettre une couche sur les droits de douane si le DSA était maintenu contre les GAFAM !

Et voila qu’Elon Musc vient de publier une suite des fameux Twitter Files mais cette fois-ci centrés sur les atteintes à la liberté perpétrées par Macron lui-même ! Edifiant mais pas surprenant !

Voici un article qui dévoile le contenu de ces informations compromettantes pour Macron :

Twitter Files : la France accusée d’avoir bâti
un « complexe industriel de la censure » en Europe

Alors que Paris et Bruxelles poursuivent leurs discussions avec l’administration Trump sur la régulation des réseaux sociaux, un rapport récemment publié éclaire l’ampleur des manœuvres françaises pour bâtir une véritable industrie de la censure numérique. Au centre du dispositif : l’État, des ONG subventionnées et une volonté assumée d’imposer un encadrement strict du débat public, bien au-delà des frontières hexagonales.

Le rôle central de l’Élysée et des ONG d’État

Selon les documents des Twitter Files – France, dévoilés par Elon Musk,  Emmanuel Macron aurait cherché à établir un contact direct avec Jack Dorsey, fondateur de Twitter, afin d’infléchir les politiques de modération de la plateforme. Dans le même temps, des ONG françaises – SOS Racisme, LICRA, UEJF, SOS Homophobie – soutenues par des fonds publics, réclamaient un accès privilégié aux données internes et appelaient à des mécanismes de pré-censure, pourtant contraires à l’esprit de la Constitution.

Ces structures, qualifiées par certains juristes « d’auxiliaires du pouvoir », se sont spécialisées dans l’usage de la justice pour forcer les plateformes à supprimer des contenus jugés « haineux » mais pourtant légaux. Une pratique dénoncée comme une « privatisation de la répression ».

Une démocratie étroitement bornée

Le rapport souligne que :

la liberté d’expression en France se trouve réduite à un spectre d’opinions « acceptables », délimité par une élite issue de la haute fonction publique.

Les grands médias, dépendants des subventions publiques ou contrôlés par des groupes proches de l’État, participeraient à ce cadrage.

Depuis 2018, plusieurs lois ont renforcé ce maillage : loi Avia, loi SREN, élargissement des pouvoirs de l’ARCOM. Ces textes incitent les plateformes à pratiquer une censure préventive automatisée. Avec, en arrière-plan, la notion de « sécurité cognitive » introduite par Emmanuel Macron le 14 juillet 2025, qui officialise le rôle de l’État dans la protection des esprits des citoyens, au même titre que leur intégrité physique.

Vers une régulation européenne généralisée

La convergence entre l’Union européenne et l’OTAN se matérialise dans des centres spécialisés comme Tallinn ou Helsinki, consacrés à la lutte contre la « désinformation ». L’UE avance également sur la carte d’identité biométrique et l’euro numérique, outils susceptibles de conditionner l’accès aux services en ligne et d’abolir l’anonymat. Paris plaide déjà pour une interdiction des réseaux sociaux aux moins de 15 ans, impliquant une identification administrative obligatoire pour tous les utilisateurs.

Un double standard transatlantique

Ironie de l’histoire : alors que Washington, sous Donald Trump, réduit son « Censorship Industrial Complex » et revient vers une approche plus libérale de la liberté d’expression, l’Europe, menée par la France, cherche à exporter son modèle de régulation via l’« effet Bruxelles » :

tout acteur qui veut commercer avec l’UE doit appliquer ses normes.

Une question de fond

Le constat dressé est clair : la France a inventé en Europe un complexe de censure institutionnalisée, mêlant lois, pressions politiques et ONG subventionnées. Derrière le discours de protection contre la haine ou les « fake news », c’est une mise sous tutelle du débat public qui se déploie.

Clicanoo.re

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