Il est fascinant et même effrayant de constater le niveau de déchéance dans lequel sont tombés les grands médias.
La majorité des gens de mon entourage ne s’informent que par la télévision ou la radio et je mesure régulièrement, d’une part leur faible niveau d’information et d’autre part les effets de la propagande gouvernementale complaisamment relayée par les médias.
Des sujets tels que la gestion du covid et la guerre en Ukraine ne sont appréhendés par une grande partie des Français qu’au travers du prisme hyper-déformant de la propagande progressiste.
Comme le montre les quelques exemples suivants :
Un randonneur à qui je faisais part de ma désapprobation du parti-pris va-t-en-guerre de l’Europe en Ukraine s’est écrié :
Mais heureusement qu’on fait ça sinon il y a longtemps que les chars russes seraient sur les Champs-Elysées !
Quand j’évoque les effets secondaires des vaccins ARN, la surmortalité post-vaccinale et notamment l’explosion des turbo cancers, les gens tombent des nues et beaucoup ne me croient pas parce que « France 2 n’en a pas parlé ! »
Dans mon club de bouliste, j’ai découvert que beaucoup n’avait même pas entendu parler de l’affaire Jean-Michel Trogneux !
Pour participer à l’information sur la guerre d’Ukraine, je relaye aujourd’hui une interview de Caroline Galactéros par la Gazette du Tocsin :
Caroline Galactéros décortique les tenants et les aboutissants des négociations de paix entre les États-Unis, la Russie, l’Europe et l’Ukraine.
Interrogée sur les invraisemblables propos d’Emmanuel Macron à l’égard de Vladimir Poutine qu’il a qualifié d’« ogre » lors d’une interview télévisée, la géopolitologue n’a pas mâché ses mots :
Ces propos traduisent une vaste incompréhension de ce qu’est la Russie, et leur caractère opportuniste n’échappe à personne,
laissant entendre que le président français saboterait volontairement les négociations de paix pour de basses raisons de politique intérieure.
Du reste, il n’est pas le seul. L’ensemble des dirigeants européens semble convaincu qu’une paix entre la Russie et l’Ukraine ne serait pas dans leurs intérêts. Une grave erreur d’appréciation, selon notre invitée, au moment où Donald Trump veut en finir avec cette guerre et où Vladimir Poutine multiplie les déclarations allant dans le sens de l’apaisement.
L’UE s’entête donc à faire front commun avec un président ukrainien de moins en moins légitime, y compris aux yeux de sa propre population, qui retarde la conclusion d’un accord dans le but de sauver sa tête (au sens politique… et littéral). Le tout, alors que la suprématie russe sur le terrain ne fait plus aucun doute, et ce, quelle que soit la vaillance des troupes ukrainiennes.
Autre sujet, dynamiques similaires : les reproches de l’ambassadeur américain en France au gouvernement, accusé de ne pas faire assez dans la lutte contre l’antisémitisme. Pour Caroline Galactéros, il s’agit de pressions en représailles à la décision d’Emmanuel Macron de reconnaître l’État de Palestine, ce qui constitue un pied de nez à Donald Trump, que celui-ci ne peut accepter.
En somme, sur tous les terrains, l’actualité géopolitique est appelée à demeurer intense pour quelque temps !
Voici la vidéo de l’interview de Caroline Galactéros :
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