Macron ne cesse d’humilier la France. Jusqu’à quand ?

Publié par le 30 Juil, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Macron ne cesse d’humilier la France. Jusqu’à quand ?

Le second – et heureusement, dernier mandat – de Macron s’avère crépusculaire et dégage une odeur de fin de règne de plus en plus fétide !

La popularité de Macron est en chute libre, les Français le tenant pour seul responsable de l’impasse politique dans laquelle sa dissolution imbécile a plongé la France.

Non content d’avoir plombé la dette, de maintenir grande ouverte les portes de l’immigration et de laisser exploser l’insécurité, Macron ne cesse d’humilier la France et les Français.

Et les motifs d’humiliation sont légion !

C’est en premier lieu cette soumission à la dictature du président Abdelmadjid Tebboune qui maintient Boualem Sansal  et un journaliste en prison alors que la France possède des moyens de pression écrasants contre l’Algérie.

C’est cette autre soumission à la « rue arabe » qui l’a empêché de participer à la marche contre l’antisémitisme et pire, qui sous-tend notre politique extérieure au Moyen-Orient !

Yassine Belattar aurait toujours l’oreille du Président …

La goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est la promesse de reconnaitre l’Etat de Palestine alors que cet Etat n’existe pas et que la seule autorité qui y règne est celle d’un groupe terroriste qui détient encore des dizaines d’otages !

Macron veut reconnaitre un Etat terroriste ! Au secours, mon Général, revenez, ils sont devenus fous !

Voici un article de Causeur qui partage mon indignation contre Macron :

Quand la voix de la France fait honte

Le président Macron apparaît incapable de défendre les intérêts commerciaux français face à Donald Trump, et donne l’impression de légitimer la stratégie terroriste du Hamas en reconnaissant un État palestinien alors que des otages israéliens sont toujours retenus à Gaza.

« Déséquilibré » : c’est ainsi que la France a jugé, ce lundi matin par la voix du ministre des Affaires européennes, Benjamin Haddad, l’accord commercial conclu dimanche entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, au nom de l’Union européenne. C’est à l’occasion de sa présence sur son golf écossais de Turnberry que le président américain avait convoqué la présidente de la commission européenne. La mise en scène, volontairement humiliante, a laissé voir la vassalisation de l’Europe. Celle-ci s’est notamment engagée, pour obtenir des droits de douane à 15 %, à acheter aux États-Unis jusqu’à 750 milliards de dollars d’énergies diverses, à y investir 600 milliards et à acheter son armement militaire.

En qualifiant ce « deal » de déséquilibré, M. Haddad s’est évidemment fait le porte-voix d’Emmanuel Macron. Le coup de griffe contre la conduite de l’Europe laisse deviner les ambitions européennes du président français, en quête de rebond à l’issue de son mandat.

Dans sa prise de parole du 14 juillet, il avait notamment déclaré :

Pour être libre il faut être craint ; pour être craint il faut être puissant.

Mais Macron est-il ce qu’il croit montrer, notamment à travers une musculature très travaillée des biceps, à en croire les observateurs des petits détails signifiants ?

Sur le plan intérieur, sa puissance relève de forfanterie.

Jamais la France n’a été aussi vulnérable financièrement que sous sa présidence. Une pré-guerre civile, menée par les enfants-soldats de la contre-colonisation, a enflammé dernièrement des villes moyennes comme Limoges, Compiègne, Charleville-Mézières, Vendôme, Auch, Béziers.

Le « guide » qu’il rêverait d’être sur le plan européen ne correspond pas non plus au sens de l’histoire. A rebours de ses convictions supranationales et mondialistes, les peuples indigènes réclament davantage de protections, de frontières, d’égards pour leurs racines. Son bellicisme surjoué contre la Russie slave et chrétienne, dont il ne se résout pas à admettre qu’elle a gagné sa guerre contre l’Ukraine, est à comparer avec ses vils accommodements vis-à-vis de l’islam conquérant et judéophobe.

Le déséquilibre est bien la marque de sa politique extérieure et de sa faiblesse.

L’annonce, le 24 juillet, de sa décision de reconnaitre un État palestinien en septembre est destinée avant tout à se rapprocher de la « rue arabe » au Proche Orient mais aussi en France, au détriment des Juifs. D’ailleurs, Macron a été immédiatement félicité par la Hamas qui y a vu « un pas positif ». Le parti de Jean-Luc Mélenchon a salué « une victoire morale ». La France semble convaincue d’obtenir, d’ici là, la libération des derniers otages israéliens, la reddition du Hamas, son désarmement, l’engagement des pays arabes à reconnaître Israël. Mais ce récit mirobolant n’est que l’effet de la mégalomanie d’un homme noyé dans son narcissisme. L’effet de la reconnaissance d’un État palestinien est de donner raison à la stratégie terroriste du Hamas, appliquée le 7 octobre 2023. Comme le rappelait l’historien Georges Bensoussan dans le JDD, la charte du Hamas appelle à purifier la Palestine de la « pourriture juive ». Macron fait honte.

Ivan Rioufol pour Causeur.

Merci de tweeter cet article :





Une réponse à “Macron ne cesse d’humilier la France. Jusqu’à quand ?”

  1. Macron a une personnalité narcissique ce qui incluent un schéma de sentiment d’importance exagérée de soi, des envies d’admiration et une empathie déficiente, à cela s’ajoute la mégalomanie (complexe de supériorité….) les mégalomanes manquent d’intérêt pour les autres, macron est un malade psy. C’est grave et inquiétant.
    Il faudrait le destituer, car il ne démissionnera pas de lui même.

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *