« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée ! »

Publié par le 14 Fév, 2023 dans Blog | 2 commentaires

« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée ! »

La décadence de l’Occident serait-elle amorcée ?

On est en droit de le penser quand on regarde les errements apportés par le progressisme, le wokisme et cette théorie du genre qui a perdu tout rapport à la réalité !

Les bien-pensants accusent « ceux qui ne pensent pas bien, c’est à dire qui ne pensent pas comme eux » de complotisme. On a pourtant vu que, durant la crise du covid, les complotistes étaient souvent ceux qui avaient juste un an d’avance sur la perception de la réalité des choses.

Les « complotistes anti-vaccin covid » viennent d’ailleurs de proposer une méthode pour mesurer le degré de connerie d’un individu :

C’est l’échelle de Pfizer, graduée en doses …

Mais revenons aux progressistes adeptes de la théorie du genre !

Les « platistes » sont ceux qui croient que la terre est plate et non pas ronde.

Selon moi, les « platistes » sont à la Terre ce que les adeptes de la théorie du genre sont à l’homme et à la femme. Il n’est pas plus aberrant de nier la rotondité de la terre que de nier la différence entre les femmes et les hommes. Dans les deux cas, les preuves crèvent les yeux.

Il parait que nos premiers ancêtres sont apparus sur terre il y a 7 millions d’années. A cette époque, Simone de Beauvoir n’avait pas encore écrit « On ne nait pas femme, on le devient ! » et il est peu probable que la « construction sociale » ait pu déjà « construire » la Femme et l’Homme « naturels ». Dieu merci, les hommes de Cro-Magnon ont rapidement observé des différences majeures entre les femmes et les hommes, et ont ainsi pu procréer et assurer la pérennité de la race humaine.

Certains pourront le regretter en notant que, 7 millions d’années plus tard, la race a accouché des progressistes et surtout des wokistes !

Et ce n’est pas le jour de la fête de la Saint-Valentin, qu’on niera devant moi les réalités de la biologie et cette complémentarité des sexes qui me ravit ! Mais je m’égare …

Pour observer avec impartialité, les errements de l’Occident et, diront certains, sa décadence, il est intéressant de voir comment cet Occident est perçu par quelqu’un qui lui est étranger.

C’est ce qu’a fait le New York Post en donnant la parole à une nord-coréenne qui s’est échappée de l’enfer de la dictature communiste de son pays.

Voici un article de Boulevard Voltaire qui résume son interview par le New York Post :

« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée » : une réfugiée nord-coréenne tacle le wokisme américain

Je n’ai jamais compris que le fait de ne pas avoir de problème pouvait être un problème.

Dans une interview donnée au New York Post, ce 11 février, ne mâche pas ses mots. Sept ans après son arrivée aux États-Unis, la jeune Coréenne du Nord livre sa vision de cette culture occidentale, découverte après une jeunesse jalonnée de terribles événements. L’autodestruction du pays, orchestrée par des enfants gâtés qui n’ont pas connu la misère, méduse cette femme qui a vécu l’horreur.

Elle explique :

Ils ont besoin de créer une injustice de toutes pièces ou un problème venu de nulle part parce qu’ils n’ont rien vécu de semblable à ce que les autres gens affrontent dans le monde.

Il faut dire que , réfugiée aux depuis 2016 après avoir fui sa patrie, est plutôt habilitée pour se prononcer sur le sujet. Élevée à Hyesan, en Corée du Nord, elle a vécu sous le règne de Kim Jong-il, à une époque où la famine terrassait le pays. Autour de 3,5 millions de Nord-Coréens ont ainsi succombé à la faim. Park raconte qu’elle s’était mise à chasser les cafards sur le chemin de l’école, pour calmer son appétit. Avec sa mère, l’adolescente alors âgée de 13 ans tente de fuir son pays et de gagner la Chine, mais elle tombe entre les mains de trafiquants d’êtres humains. Elle est vendue comme esclave sexuelle. Quelques années plus tard, des missionnaires chrétiens l’aident à se libérer et elle trouve refuge en Corée du Sud. En 2016, s’installe finalement aux États-Unis, convaincue d’y trouver une liberté de pensée dont elle n’a jamais pu profiter auparavant.

Ses premières expériences à l’université Columbia, à New York, ont tôt fait de dissiper ses illusions. L’avancée fulgurante de l’idéologie woke stupéfait la jeune étudiante qui témoignait déjà, en 2021, auprès du New York Post : « En allant à Columbia, la première chose que j’ai apprise était « safe space » », une notion qui désigne une « zone neutre » au sein de laquelle les personnes marginalisées peuvent s’exprimer sur les discriminations. C’est le début d’une longue suite de déconvenues qui font dire à la réfugiée, abasourdie par les énormités qu’elle découvre à l’université, que :

Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée.

Au fil des ans, une réflexion s’impose à Yeonmi Park. Un souvenir lancinant l’obsède. Ce totalitarisme, elle l’a connu. Cette autocensure permanente, cette interdiction de dire tout haut ce que l’on pense, cette nécessité de se taire pour s’en sortir indemne, tout cela fait écho à une époque où sa mère lui apprenait à se taire afin d’éviter d’être emprisonnée, voire exécutée.

Bien sûr, nous ne mettons pas les gens devant un peloton d’exécution, en Amérique, aujourd’hui, mais leurs moyens de subsistance, leur dignité, leur réputation et leur humanité sont attaqués, explique-t-elle. Lorsque nous disons aux gens de ne pas parler, nous censurons également leur pensée. Et quand vous ne pouvez pas penser, vous êtes un esclave – une marionnette à qui on a lavé le cerveau.

La similitude, c’est cet « endoctrinement », cette « idée de culpabilité collective », cette prétendue course à l’équité qui ne fait que diviser davantage les individus, qui déchiquète la société et tend à la faire mourir à petit feu.

Déjà, toutes nos institutions grand public ont la même idéologie que la Corée du Nord,

alerte Yeonmi Park :

Socialisme, collectivisme et équité. Nous sommes littéralement en train de vivre une révolution culturelle en Amérique. Quand nous nous en rendrons compte, il sera peut-être trop tard.

C’est peut-être une jeune Coréenne qui favorisera la prise de conscience urgente dont l’Occident a besoin, bien au-delà des seuls États-Unis.

Marie-Camille Le Conte pour Boulevard Voltaire.

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2 Réponses à “« Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée ! »”

  1. Pourquoi le grand remplacement, les ideologies mortiferes, le wokisme, si ce n’est pour detruire un pays, c’est voulu, et particulierement contre la france, d’ou aussi cette degenerence morale programmé et autant de folie.

    Une seule constatation, tout ceci est voulu, ce n’est pas un hasard du a la simple degenerecence de la société, « l’elite » pousse a cela , derriere, cela explique les deux ministres wokistes au gouvernement.

  2. Même la Corée du Nord n’est pas aussi cinglée » : une réfugiée nord-coréenne tacle le wokisme américain

    Elle explique :
    Ils ont besoin de créer une injustice de toutes pièces ou un problème venu de nulle part parce qu’ils n’ont rien vécu de semblable à ce que les autres gens affrontent dans le monde.

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