Pendant que la classe moyenne européenne s’appauvrit,
à Bruxelles, l’euro coule à flot dans les poches d’Ursula !

Publié par le 28 Déc, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Pendant que la classe moyenne européenne s’appauvrit,à Bruxelles, l’euro coule à flot dans les poches d’Ursula !

Sans introduction inutile, je laisse la parole à Alain Weber dans ce tweet intitulé : L’indécente augmentation salariale d’Ursula von der Leyen et des eurocrates.

En cette fin décembre 2025, alors que des millions d’Européens serrent la ceinture face à une inflation persistante, une crise énergétique et un pouvoir d’achat en berne, les hauts fonctionnaires de l’Union européenne s’octroient une nouvelle hausse de salaire. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, voit son salaire mensuel brut grimper à environ 35 800 euros, soit une augmentation rétroactive d’environ 1 000 euros par mois selon les dernières estimations. Les 26 commissaires européens empochent quant à eux 850 euros supplémentaires, portant leur rémunération à 29 250 euros mensuels, sans compter les généreuses indemnités non imposables.

Cette hausse s’inscrit dans une série impressionnante :

depuis 2022, les salaires des fonctionnaires et dirigeants européens ont augmenté de 22,8 % au total, avec des ajustements rétroactifs de 7,3 % fin 2024 et 1,2 % début 2025.

Pour von der Leyen, cela représente une progression fulgurante, passant d’environ 29 000 euros en 2022 à près de 36 000 euros aujourd’hui (+24 %). Et ce n’est pas fini : ces revalorisations sont quasi annuelles, voire biannuelles, grâce à un mécanisme automatique indexé sur l’inflation à Bruxelles/Luxembourg et l’évolution des salaires dans les administrations nationales de dix États membres clés.

Le scandale ? Ces augmentations sont automatiques, décidées par une formule opaque intégrée au statut des fonctionnaires européens, sans débat public ni vote démocratique réel. Pendant que les citoyens lambda subissent une inflation qui a culminé à plus de 10 % en 2022-2023, et que les salaires réels stagnent ou reculent dans de nombreux pays (comme en Allemagne ou en France), les eurocrates – environ 66 000 employés, plus 30 500 retraités – voient leurs émoluments gonfler sans discontinuer.

Le coût total pour le budget de l’UE dépasse désormais les 3 milliards d’euros annuels en salaires et indemnités.

Pire : ces hausses interviennent alors que l’UE peine à financer ses priorités, et impose l’austérité aux États membres. Von der Leyen prône la sobriété énergétique et les efforts collectifs, mais semble épargnée par la crise qu’elle contribue à gérer. Les critiques fusent : déconnexion totale des élites bruxelloises, qui s’auto-augmentent pendant que les Européens paient la facture via leurs contributions nationales.

Cette fréquence – sept hausses en trois ans pour certains – et ces montants astronomiques (jusqu’à 26 000 euros mensuels pour les hauts grades) symbolisent une Europe à deux vitesses : une pour les privilégiés de Bruxelles, l’autre pour le reste des citoyens.

Un scandale qui alimente l’euroscepticisme et appelle à une réforme urgente de ces mécanismes automatiques, avant que la colère ne monte encore d’un cran.

Alain Weber sur X.

Conclusion

Il faut que tout cela s’arrête ! Avec le départ de Von der Leyen … et de Macron !

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