La gauche sélectionne les victimes à commémorer !
Pour elle, toutes les victimes ne se valent pas !
On l’a vérifié, il y a quelques jours, quand la gauche se pressait à la marche blanche en honneur de Mehdi Kessaci assassiné par la DZ Mafia.
Une gauche qu’on n’a jamais vu dans la rue pour la petite Lola, le jeune Thomas, Philippine ou Elias qui avaient le malheur de ne pas avoir un prénom à consonance arabe comme je l’avais dénoncé dans ce précédent article.
La chaine Arte vient d’illustrer parfaitement ce deux poids, deux mesures dans la considération de la gauche pour les victimes. Elle avait sans doute consacré plusieurs émissions après la mort de George Floyd, la victime idéal : un noir tué par la police !
Mais, pour Charlie Kirk, point de compassion !
Puisqu’il cumulait les tares d’être un homme blanc, chrétien et conservateur, la chaine a préféré salir sa mémoire dans une émission dégueulasse comme le rapporte cet article édifiant de Boulevard Voltaire :
Deux mois après sa mort, Charlie Kirk crucifié par Arte
Son assassinat avait été un coup de tonnerre. Le 10 septembre dernier, l’influenceur américain Charlie Kirk était tué d’un tir d’arme à feu, alors qu’il était en train d’animer un événement dans la plus grande université publique de l’Utah. Des vidéos de l’attentat, devenues virales, montraient le jeune homme touché au niveau du cou, perdant une importante quantité de sang. Il était déclaré mort quelques minutes plus tard.
Deux petits mois après les faits, Arte a décidé de revenir sur ce drame qui a profondément ému l’Amérique et d’y consacrer un documentaire d’une dizaine de minutes. Mais au lieu d’enquêter sur l’assassin ou sur l’idéologie meurtrière qui l’avait armé, la chaîne publique a préféré s’en prendre à la victime.
Cette sale besogne a été confiée à Sonia Devillers,
qui sévit d’ordinaire sur France Inter.
Sans la moindre compassion, la journaliste y a conspué le défunt, qualifié de :
militant ultra-conservateur devenu en un éclair l’icône du mouvement MAGA, un homme peu recommandable qui aurait pris pour cible le milieu éducatif et créé un site Web pour dénoncer les enseignants jugés trop à gauche.
Bref, un affreux jojo. Dernier clou planté dans le cercueil du décédé :
des hommages lui auraient été rendus dans le monde entier par les mouvances les plus radicales, notamment lors d’une gigantesque manifestation d’extrême droite qui a rassemblé près de 150.000 personnes à Londres, à la mi-septembre.
En réalité, il s’agissait d’un mouvement de révolte du peuple anglais contre l’immigration invasive, mais peu importe. Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose.
La foi de Charlie Kirk est également abordée par la mini-enquête d’Arte sur un ton très critique. Des « convictions chrétiennes et traditionalistes » que l’homme aurait tenté de « diffuser massivement ». Le trentenaire se réclamait d’une très sulfureuse « droite chrétienne », explique Sonia Devillers, sur fond de musique angoissante. Une mouvance affiliée aux « évangéliques blancs ». Cette branche du christianisme aurait d’ailleurs « développé de puissantes stratégies » avec, pour ambition ultime, de « conduire les chrétiens à dominer le monde ». Complotisme, quand tu nous tiens.
La ritournelle de la « récupération »
À court d’arguments sérieux pour salir Charlie Kirk, le documentaire dénonce aussi l’odieuse « récupération » à laquelle se serait livré le camp Trump. Son deuil aurait ainsi donné lieu à :
une récupération médiatique hors normes, savamment orchestrée par la droite chrétienne et par le mouvement MAGA. Un deuil transformé en machine politique par l’appareil présidentiel qui a changé le soldat Kirk en martyr.
Sonia Devillers a notamment vu d’un très mauvais œil l’impressionnante cérémonie d’hommage à Charlie Kirk qui s’est tenue devant 65.000 spectateurs dans un stade en Arizona.
Cet événement qui ressemblait beaucoup à un office religieux évangélique aurait saturé l’ensemble de l’écosystème médiatique américain,
se désole la journaliste.
⚫ Hommage Charlie Kirk
Erika Kirk : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.
Ce jeune homme, je lui pardonne ». pic.twitter.com/1DMhL0paih— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) September 21, 2025
À plusieurs reprises, le documentaire évoque une certaine « martyrologie » qui aurait transfiguré Charlie Kirk en « martyr de la foi ». Il s’indigne d’un « gigantesque culte numérique » fabriqué par les partisans trumpistes, à grand renfort d’images, de dessins et de contenus générés par l’intelligence artificielle. « Une vidéo vue 17 millions de fois le montre ainsi au paradis, accompagné des apôtres et du Christ », dénonce Sonia Devillers, à deux doigts d’y voir une atteinte à la laïcité.
Mais quid des mêmes images de nature christique qui avaient abondé sur Internet à la suite du décès de George Floyd ? Cette « martyrologie »-là n’avait pas dérangé Arte, à l’époque.
En matière de récupération morbide, l’audiovisuel public n’a d’ailleurs aucune leçon à donner. Le 23 novembre dernier, France Télévisions consacrait un énième documentaire à Zyed et Bouna, deux jeunes, morts par accident il y a vingt ans, alors qu’ils fuyaient un contrôle de police.
La haine autorisée
Mais contrairement à la plupart des victimes de « violences policières », Charlie Kirk était un homme blanc, chrétien et conservateur. Un profil contre lequel la haine est permise et les attaques post-mortem autorisées.
En France, les médias ont lâché les chiens dès les premiers jours suivant le meurtre de l’influenceur. Sur LCI, un chroniqueur n’a pas hésité à justifier son assassinat ; une émission du service public a comparé sa cérémonie d’hommage à un meeting nazi ; sur une autre chaîne, son assassin a été présenté, toute honte bue, comme un « bon Blanc de droite »…
Il est intéressant de noter que le documentaire diffusé sur Arte n’évoque pas une seule fois l’auteur de l’attentat. Pas un mot sur son idéologie politique, son partenaire transgenre ou les slogans antifa qu’il avait gravés sur ses munitions. Pourquoi cet oubli ? Parce que cet assassin était un militant de gauche, tout comme notre audiovisuel public ?
Jean Kast pour Boulevard Voltaire.
Conclusion
C’est donc sans hésitation que nous ajouterons Arte sur la liste des chaines à privatiser lorsque les Patriotes seront au pouvoir !




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