Dans un article récent, je relayais l’appel de 2000 scientifiques demandant un moratoire sur les vaccins anti-covid utilisant la technologie ARN Messager.
En juin dernier, je publiais un article rapportant l’alerte lancée par Hélène Bannoun qui listait les 13 mécanismes selon lesquels les vaccins ARN Messager pourraient favoriser le déclenchement de cancers.
Tout récemment, je publiais une communication du professeur Raoult qui faisait état de deux études sur la surmortalité par cancer après la vaccination anti-covid.
Une étude italienne portant sur 300 000 personnes, et une étude sud-coréenne sur 8 millions de patients donnaient les chiffres suivants comparant le taux de cancer chez les personnes vaccinés et non-vaccinés :
- + 37 % de cancers chez les vaccinés,
- + 157 % de cancers du pancréas chez les vaccinés.
Voici une communication (tweet Jhon Dos), avançant une hypothèse sur la cause de cette explosion des cancers chez les vaccinés du covid :
Le grand déguisement : Quand la protéine Spike
donne un manteau d’invisibilité au cancer
Imaginez une cellule cancéreuse. Habituellement, notre système immunitaire est là, aux aguets, prêt à l’éliminer.
Mais que se passe-t-il si cette cellule devient capable de se déguiser, de se fondre dans le décor, comme un voleur sous une cape d’invisibilité ?
Ce déguisement, c’est PD-L1. Une protéine que les tumeurs utilisent pour désactiver les défenses immunitaires. Et devinez quoi ? La protéine Spike – issue du virus SARS-CoV-2 ou injectée par les vaccins à ARNm – stimule son expression.
PD-L1 : le « Rien à signaler » moléculaire
PD-L1 (ou CD274) est une molécule que les cellules cancéreuses expriment pour neutraliser les lymphocytes T, ces soldats de notre système immunitaire. En gros, elles disent :
circulez, y’a rien à voir.
C’est une stratégie bien connue en oncologie : les tumeurs « s’habillent » avec PD-L1 pour éviter d’être attaquées. Pour cela, on a développé des traitements appelés inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (ICI).
Mais il y a un problème majeur.
Le Spike booste PD-L1, même sans cancer déclaré.
Des études révèlent que la protéine Spike, qu’elle provienne du virus ou des vaccins à ARNm, augmente l’expression de PD-L1 dans les cellules. Ce n’est pas une théorie : des niveaux élevés de PD-L1 soluble ont été retrouvés dans le sang de patients atteints du COVID-19.
Et dans des modèles animaux, la vaccination ARNm sensibilise les tumeurs à l’immunothérapie… en augmentant PD-L1.
Génial ? Seulement si vous êtes déjà sous traitement immunothérapeutique. Sinon, cela revient à distribuer des « cartes d’immunité » à des cellules cancéreuses en sommeil.
Turbocancers : le lien se précise
Le phénomène des “turbocancers” – ces cancers fulgurants post-COVID ou post-vaccination – trouve ici une explication plausible.
Si Spike agit comme un activateur de camouflage immunitaire, il laisse le champ libre à des tumeurs dormantes, qui prolifèrent sans opposition. D’où l’effet “surprise” au diagnostic.
On ne dit pas que Spike crée le cancer, mais qu’il peut créer les conditions parfaites pour qu’un cancer préexistant se développe à toute vitesse.
Pourquoi vous devez en parler
Non, ce n’est pas une “fake news”. C’est de la science – publiée, documentée, vérifiable. Mais elle est passée sous silence, car elle gêne.
Cette information doit sortir du cercle des experts. Elle doit atteindre les familles, les malades, les citoyens. Parce que le choix médical éclairé commence par l’information libre.
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Source : https://wmcresearch.substack.com/p/the-spike-protein-and-pd-l1-giving #ARNm #cancer #turbocancer #gameover




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