
L’extrême centre est en panique !
La droite progresse sur tous les fronts !
D’abord, dans l’opinion où, sondages après sondages, on mesure le glissement à droite de l’opinion des Français.
Dans les domaines de l’immigration et de l’insécurité, c’est plus de deux Français sur trois qui partagent la même tendance. Il faut stopper l’immigration et restaurer l’autorité à tous les niveaux de la société française.
Ce sont ensuite les médias dont certains échappent au magistère de la gauche, après des décennies de contrôle, de pressions de la bien-pensance, et qui cartonnent en audience !
C’est en premier lieu CNews qui bat, à plates coutures, toutes les autres chaines d’infos, avec ses émissions-phares, Face à l’info, l’Heure des pros, Punchline et Face à Philippe de Villiers.
La gauche panique et dénonce la nébuleuse Bolloré qualifiée « d’extrême droite » dont tous les médias progressent comme Europe1, le JDD et le JDNews !
Alors, sur les traces de la Commission européenne, la Macronie tente de prendre des contre-mesures et de légiférer pour faire taire la pensée de droite.
Voici une intervention de BABEL TV qui dénonce ces atteintes de plus en plus incisives contre la liberté d’expression.
Voici le verbatim suivi de la vidéo :
Quand l’opinion échappe au contrôle, la Macronie sort les crocs.
Officiellement, c’est pour protéger la démocratie. En réalité, c’est une offensive contre la liberté d’expression.
Macron et ses proches parlent de haine en ligne, de débats faussés, d’algorithmes toxiques. Derrière ces mots, une peur. Celle d’un réseau qui échappe au filtre de Bruxelles.
Le régime Macron a lancé une enquête criminelle contre X. Pas contre un citoyen, pas contre une organisation terroriste. Contre la plateforme X, anciennement Twitter. Le prétexte ? Des contenus haineux.
Une manipulation algorithmique. Un débat public faussé. En réalité, X dérange.
Il échappe au filtre européen imposé par le Digital Service Act. Il reste un espace où certaines voix survivent encore. Thierry Breton, commissaire européen, s’est ridiculisé en menaçant Elon Musk de sanctions.
Breton discrédité, Paris envoie ses seconds couteaux. Deux socialistes discrets, Sautet et Juvet, sont chargés de jouer les fusibles. Au cœur de l’affaire, un officier de cybersécurité du gouvernement porte plainte.
L’État ne s’attaque pas au contenu, mais à la structure même qui permet aux citoyens de s’exprimer. Pavel Durov, patron de Telegram, alerte.
La France remplace les lois par la répression.
Et voici qu’Aurore Berger entre en scène. Elle annonce un nouveau dispositif, une coalition d’associations financées par l’État pour lutter contre la haine en ligne. Qui sont ces associations ? Le CRIF, SOS Racisme, Oser le féminisme, le planning familial, Respect Zone, SOS Homophobie, la fédération LGBTQ+, la LICRA.
Leur mission, signaler massivement les contenus, accélérer la censure et collaborer directement avec l’ARCOM, le régulateur des médias. Leurs signalements seront prioritaires. Aurore Berger l’assume, ces associations recevront encore plus d’argent public pour recruter des équipes dédiées à la surveillance.
Oui, vos impôts financent des officines privées pour tracter et faire taire vos paroles. Ces groupes liés depuis longtemps deviennent une milice numérique aux ordres de l’État. Aurore Berger promet de renforcer leur budget pour signaler systématiquement les contenus en ligne.
En clair, votre argent sert à vous censurer.
Mais qui fixe les limites ? Qui décide de ce qui est haineux ?
- Critiquer l’immigration, c’est raciste.
- Débattre du genre, c’est transphobe.
- Questionner la politique israélienne, c’est antisémite.
L’État délègue la censure à des groupes aux agendas clairs, transformant la dissidence en délit. Ce n’est pas nouveau.
En 2021, Marlène Schiappa a créé l’unité de contre-discours républicain, un outil de propagande sur les réseaux. La journaliste Amélie Ismaili a révélé ses liens avec des tic-tacs financés par Soros, Gates et le département d’État américain. L’Institut Force Stratégie Dialogue forme des agents pour repérer les complotistes et les extrémistes.
Ces internautes avec qui vous débattez peuvent être un agent payé pour orienter vos échanges. Et pendant que l’État resserre son étau sur la parole, il récompense ses fidèles.
La promotion 2025 de la Légion de l’honneur est une gifle.
- Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice mis en examen, reçoit une médaille. Pourquoi ? Pour avoir sapé l’indépendance judiciaire ?
- Bruno Le Maire, artisan de l’inflation galopante et de la dette publique est promu officier.
- Alexis Kohler, empêtré dans les affaires MSC et Nestlé est aussi distingué.
- Olivier Véran, ex-ministre de la Santé qui a poussé les politiques Covid pendant que les hôpitaux s’effondraient, est fait chevalier.
Ce sont les héros de l’agenda BlackRock, Rothschild, Davos, Pfizer, récompensés pour leur loyauté, pas pour leur service. Pendant ce temps, les soignants suspendus et les victimes des vaccins n’ont droit qu’au silence.
Comme l’a dit le général André Cousteau, radié pour avoir parlé, ils sont là pour la gamelle. Mais ça risque de mal finir pour eux. À Bruxelles, Ursula von der Leyen joue la même partition.
Elle accuse les extrémistes russes de soutenir les partis anti-système. Elle alerte contre la désinformation qui polarise la société.
Mais ces extrémistes, qui sont-ils ?
- Des parents sceptiques sur les vaccins ?
- Des citoyens opposés à l’immigration massive ?
- Ou simplement ceux qui rejettent le récit officiel ?
L’État délègue la censure aux plateformes, aux associations, aux unités numériques, tout en prétendant défendre la démocratie.
Il en réduit l’espace. Est-ce une coïncidence si ces ONG touchent des millions de subventions publiques ? Ou un système bien rodé pour contrôler ce que vous pensez ?
Et dites, et vous ? Serez-vous le prochain signalé ? Le prochain banni pour une simple opinion ? Aujourd’hui, ce sont les haineux. Demain, les complotistes. Après-demain, ce sera peut-être vous.
Est-ce vraiment une lutte contre la haine ? Ou une guerre contre toute voix dissidente ? La démocratie peut-elle survivre quand une armée numérique subventionnée surveille les citoyens ?
Une chose est sûre, si nous ne disons rien, demain, nous ne pourrons plus rien dire. Partagez cette vidéo avant qu’elle ne disparaisse.
Mais surtout, n’oubliez pas, on n’est clairement pas au bout de nos surprises.
Babel_tv
Voici la vidéo correspondante :
@babel_tv♬ son original – Babel_TV




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