Vous avez aimé les vaccins ARN Messager …
Vous allez adorer leur version auto-amplifiante !

Publié par le 6 Juil, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Vous avez aimé les vaccins ARN Messager … Vous allez adorer leur version auto-amplifiante !

Je vous propose aujourd’hui un article de fond publié par l’association Juste Milieu dans sa publication « Le banquet » de mai 2025. Le texte présente un nouveau vaccin dérivé de la technologie des vaccins ARN messager utilisé dans la vaccination contre le covid.

Il s’agit d’un vaccin ARNm auto-amplifiant qui se duplique de façon autonome, une fois dans nos cellules. Autrement dit la production de protéine Spike, pourrait être plus massive et durable.

Ce vaccin présenterait en outre la particularité de se propager de vaccinés à non-vaccinés par simple contact, voire par l’alimentation !

Le texte est assez technique mais attire l’attention sur les dangers de ce nouveau vaccin.

Nous avons été pris de court, lors de la crise du covid, par l’arrivée de la nouvelle technologie ARN Messager. Mais aujourd’hui, nos connaissons les effets secondaires graves (turbo-cancers, thromboses, myocardites, perturbation des cycles menstruels, baisse de la fécondité, surmortalité des jeunes, etc …).

La presse internationale et les réseaux sociaux foisonnent d’articles d’alarmants sur les effets secondaires des vaccins anti-covid, mais la presse française se tait !

Voici ma contribution à l’information sur un vaccin qui pourrait être plus dangereux que le vaccin ARN Messager:

Les nouveaux « vaccins » ARNm auto-amplifiant

Après le Japon en 2023 [1], la Commission européenne a accordé une autorisation de mise sur le marché (AMM) du vaccin KOSTAIVE® des laboratoires CSL et Arcturus Therapeutics en février 2025 [2]. À la différence des vaccins à ARNm développés par Pfizer et Moderna, cette nouvelle technologie, également basée sur l’ARN messager, possède la capacité unique de se répliquer de manière autonome dans tout l’organisme, imitant ainsi partiellement le comportement d’un virus.

D’où son nom : ARNm auto-amplifiant. Cette technologie a pour objectif de démultiplier la production de protéine Spike que l’on retrouve à la surface du virus responsable du Covid-19 (SRAS-CoV-2) afin de déclencher une réponse immunitaire ciblée [3]. Dans cet article je vous résume mon enquête sur cette technologie et vous propose d’explorer les risques liés à celle-ci.

1 – Vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna : ce que l’on sait déjà

Problème de l’ARNm modifié

En décembre 2020, pour répondre à l’épidémie de Covid-19 – dont la gravité a largement été remise en question par les chiffres officiels – la Commission européenne a accordé une AMM conditionnelle aux nouveaux dits vaccins à ARN messager de Pfizer et Moderna. Cependant, ces vaccins ne contiennent pas de l’ARN messager classique. Leur code génétique a été modifié : au niveau des nucléotides, au lieu de la base U (uracile), on y trouve une version modifiée appelée Ψ (pseudouridine). Plus précisément, remplacés par des N1-méthylpseudouridines, une modification conçue pour empêcher l’ARNm de se dégrader trop vite et pour masquer l’ARNm du système immunitaire en l’inhibant directement. Or, il a été démontré dans une étude en 2024 que cette pseudouridine incorporée dans l’ARNm favorisait le développement des cancers [4].

En plus de cela, cette modification peut perturber le travail des ribosomes, ces petites usines chargées, à partir de l’ARNm, de fabriquer les protéines nécessaires au bon fonctionnement de nos cellules. En présence de la pseudouridine, il arrive qu’ils lisent le code génétique de travers, comme si on sautait des lettres dans une phrase. Résultat : des protéines inattendues sont fabriquées, avec des effets surtout inconnus [5]. Par exemple, des protéines liées à des maladies neurodégénératives (comme les prions) ou même au cancer pourraient être produites. Dans un monde rationnel, une telle constatation aurait non seulement remis en question le prix Nobel de médecine décerné à Katalin Karikó et Drew Weissman, pionniers de la technologie à ARN modifié, mais aussi entraîné l’annulation de l’autorisation de mise sur le marché de ces vaccins, par principe de précaution. En effet, injecter un produit expérimental non maîtrisé à une population saine rend la balance bénéfice-risque clairement défavorable.

Problématique des excipients

L’ARNm modifié est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques (LNP), qui servent de véhicules pour transporter l’ARN dans tout le corps tout en le protégeant de la dégradation. D’ailleurs, il est bien connu que le gras est un bon conservateur. Mais ces nanoparticules contiennent aussi des substances problématiques : des lipides cationiques, qui peuvent déclencher des inflammations, et du PEG (polyéthylène glycol), connu pour provoquer des réactions allergiques sévères, allant jusqu’au choc anaphylactique [6]. On y trouve aussi du cholestérol et du DSPC qui ressemble aux phospholipides naturels qui composent les membranes de nos cellules. Le souci, c’est que le PEG peut non seulement pousser notre système immunitaire à s’attaquer à ces lipides étrangers, mais aussi par un effet de mimétisme moléculaire : il pourrait aussi se retourner contre notre propre cholestérol, qui est la base de nos hormones. La problématique de la toxicité des excipients à base de LNP a été reconnue par des chercheurs de Moderna dans un article publié dans Nature qu’ils qualifient même d’« inacceptable » [7]. Et pourtant, ce produit a été injecté à des milliards de personnes à travers le monde et demeure sur le marché.

Nous ne développerons pas ici les effets toxiques de la protéine Spike, qui fera l’objet d’un prochain article.

2 – Nouveaux vaccins à ARNm auto-amplifiant

A – Utilisation chez l’Homme

Les vaccins à ARNm auto- amplifiant représentent une toute nouvelle génération, très différente de ceux développés par Pfizer et Moderna. Cette technologie repose sur l’ajout d’une séquence dite « réplicase », empruntée à un alphavirus appelé virus de l’encéphalite équine vénézuélienne. Il peut être transmis par les moustiques.

Cette séquence permet à l’ARN de se copier de façon autonome, encore et encore, une fois dans nos cellules [8]. Autrement dit, au lieu d’une seule « commande » qui produit un peu de protéine Spike, on se retrouve avec une production en boucle, beaucoup plus massive et durable. Et c’est là que l’inquiétude grandit : la protéine Spike, déjà pointée du doigt pour sa toxicité largement documentée dans la littérature scientifique, serait produite en quantités bien plus importantes, aggravant ainsi les effets indésirables.

En ce qui concerne les autres composants, rien de très rassurant non plus : on retrouve des excipients similaires à ceux des anciens vaccins à ARNm : du cholestérol, du DSPC (un pseudo-phospholipide), du polyéthylène glycol (PEG), ainsi qu’un lipide cationique nommé ATX-126. En clair, les mêmes ingrédients soupçonnés de provoquer des inflammations et des réactions allergiques graves sont toujours là. Autrement dit, les risques de réactions indésirables liées aux excipients restent omniprésents…

Résultats cliniques d’effets indésirables

Selon une étude clinique menée par des chercheurs d’Arcturus et publiée dans Nature, près de 90 % des vaccinés ont présenté des effets indésirables dès la première dose, contre 54 % dans le groupe placebo. Ce qui équivaut donc à un surrisque d’effet indésirable de 36 % [9]. Dans une autre étude clinique comparative toujours menée par le même labo, le nouveau vaccin a été testé sur des personnes ayant déjà reçu trois doses du vaccin à ARNm de Pfizer. L’objectif  était de comparer la « sécurité » du vaccin ARNm auto-amplifiant d’Arcturus à celui de Pfizer, en montrant que le leur serait encore « plus safe que safe ». Mais quand on regarde les chiffres, le constat est alarmant : tous les vaccins à ARNm provoquent en moyenne des effets indésirables chez 97 % des vaccinés, dont 3 % souffrent d’effets graves [10]. Et malgré ces résultats, les auteurs de l’étude concluent que le vaccin est « bien toléré ». Qui l’eut cru ?

Comme pour Pfizer, le laboratoire Arcturus admet ne pas avoir mené d’étude sur la pharmacologie de sécurité — autrement dit, sur le devenir du vaccin dans l’organisme. Aucune donnée non plus sur la cancérogénicité ou la génotoxicité, c’est-à-dire les risques pour l’ADN et le développement de cancers [8]. Et le laboratoire assume cela fièrement en s’appuyant sur les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui, depuis 2005, n’exigent plus ces études pour les vaccins. Par conséquent, personne ne peut garantir aujourd’hui que ces produits sont sans danger pour notre santé.

Une possible création d’un virus chimère au sein même de notre organisme ?

Un autre risque potentiel est celui d’une recombinaison génétique. Le vaccin à ARNm auto-amplifiant contient une portion d’alphavirus, qui permet à l’ARN de se répliquer dans l’organisme. Or, des alphavirus  naturels peuvent déjà être présents simultanément dans nos cellules. Le danger ? Que ces morceaux s’assemblent et forment un nouveau virus potentiellement plus pathogène, directement dans notre corps. Une étude parue en 2024 dans la revue Cell juge ce risque comme faible, mais par définition, il existe bel et bien [11]. À l’échelle d’une population, ce scénario devient d’autant plus probable que l’expérience se répète dans les organismes humains, augmentant ainsi la probabilité de survenue de l’événement, dont les conséquences pourraient être préoccupantes.

Une possible transmission du vaccin ?

Un point d’inquiétude supplémentaire, le « shedding vaccinal ». En clair, il s’agit de la possibilité que des personnes vaccinées transmettent, par leurs fluides corporels (sang, salive, lait maternel, voire via le placenta), des éléments du vaccin à des personnes non vaccinées, telles que l’ARNm et la Spike. Ce phénomène avait déjà été évoqué avec les vaccins à ARNm classiques. Cependant, les quantités potentiellement transmises étaient jugées faibles, ce qui faisait supposer que les effets seraient minimes. Mais avec l’arrivée des vaccins à ARNm auto-amplifiant, la situation change. On parle ici d’un ARN capable de se répliquer tout seul dans le corps …

Ce qui laisse planer une vraie incertitude : si cet ARN était transmis, jusqu’où pourrait-il aller ? À ce jour, personne ne peut vraiment répondre.

Manque de transparence du laboratoire

À ce jour, aucun contrat n’a été rendu public entre les laboratoires Arcturus/CSL et la Commission européenne. Dans un rapport publié par la PMDA – l’agence japonaise du médicament, équivalent de l’EMA en Europe ou de la FDA aux États-Unis – plusieurs sections apparaissent caviardées, comme cela avait déjà été le cas pour les documents de Pfizer. Certains éléments restent donc tenus secrets : les modifications exactes de l’ARN vaccinal ou encore les détails du procédé de fabrication [12]. Une opacité qui semble être une habitude dans l’industrie pharmaceutique … On découvre malgré tout dans les grandes lignes que ce nouveau vaccin est fabriqué avec le même procédé que ceux de Pfizer et Moderna, en utilisant de l’ADN plasmidique issu de la bactérie Escherichia coli. Problème : le processus de purification n’étant pas parfaitement appliqué, cela peut laisser des quantités d’ADN bactérien plus ou moins importantes dans les fioles. Et ce type de contamination pose un vrai risque, notamment celui d’une mutagenèse par insertion, un phénomène qui pourrait favoriser le développement des cancers.

Sur le site de la Fondation Bill & Melinda Gates, on découvre que, en octobre 2024, celle-ci a accordé une subvention de 928 563 dollars au laboratoire pour soutenir le développement de vaccins à base d’acides nucléiques (dont les vaccins à ARN). Un mois plus tard, la fondation a ajouté une nouvelle subvention de 3,95 millions de dollars, cette fois-ci pour le développement de vaccins contre le papillomavirus (HPV), le nouveau virus à la mode [13].

B – Utilisation chez l’animal

En 2004, GALVmed, une Alliance mondiale pour les médicaments vétérinaires destinés à l’élevage, a été fondée dans le but de faciliter le développement et l’accès aux vaccins pour les animaux d’élevage. Les principaux financeurs de cette initiative sont le gouvernement britannique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Le laboratoire Ceva Santé Animale, membre de cette alliance, a reçu une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) en France en 2025 de la part de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) pour son produit génique à ARNm auto- amplifiant, destiné à protéger les canards et les poules contre la grippe aviaire H5N1[14]. La notice d’utilisation de ce vaccin mentionne qu’il contient des « nucléosides modifiés ». La question est donc de savoir s’il s’agit encore de la pseudouridine, comme dans les vaccins de Pfizer et Moderna. Si c’est le cas, cela exposerait l’animal à produire des protéines inconnues, et potentiellement dangereuses, comme cela a été évoqué précédemment.

Une possible transmission de l’ARN vaccinal via l’alimentation ?

Une autre interrogation concerne la possibilité que l’ARN vaccinal présent dans l’animal soit transmis par l’alimentation. Bien que la cuisson de la viande soit censée dégrader le matériel génétique, des recherches montrent que certains ARN peuvent parfois résister à des températures atteignant 80°C pendant 65 heures [16]. Il subsiste une inquiétude : une cuisson légère du magret de canard ne suffirait peut-être pas à détruire l’ARN vaccinal, laissant craindre une possible transmission par sa consommation.

Une information rassurante : la vaccination des canards n’est obligatoire que pour les élevages de plus de 250 canards [15], ce qui nous incitera donc à privilégier les petits éleveurs !

Conclusion

De nombreuses incertitudes demeurent autour de cette nouvelle technologie vaccinale. Les effets à long terme restent inconnus, et il subsiste des questions : les vaccins à ARNm auto-amplifiant pourraient-ils être transmis par contact étroit entre vaccinés et non vaccinés, ou même par l’alimentation ? Si tel est le cas, les personnes ne seraient pas forcément conscientes des risques qu’elles encourent, soulevant ainsi des problématiques majeures du consentement éclairé et d’éthique. Au Japon, par exemple, l’accès à certains lieux publics a été restreint aux vaccinés. Selon le journal The Japan Times, une association japonaise d’éthique des soins infirmiers a exprimé des préoccupations sur la sécurité du vaccin, notamment le risque de sa transmission entre les individus. Cette inquiétude a même conduit certains commerces à interdire l’accès aux personnes vaccinées [17]. Voilà donc la cerise sur le gâteau : le pass vaccinal devient en quelque sorte un pass non-vaccinal.

Franchement, qui aurait cru qu’on en arriverait là ? Il est évident que la technologie vaccinale à ARN, déjà en plein essor, est sur le point de devenir la norme. D’autres découvertes, inévitables, surviendront dans les mois et années à venir …

Léo Dubois pour Juste milieu.

Sources :

[1] https://ir.arcturusrx.com/news-releases/news-release-details/japans-ministry-health-labour-and-welfare-approves-csl-and

[2] https://ir.arcturusrx.com/news-releases/news-release-details/european-commission-approves-csl-and-arcturus-therapeutics

[3] https://www.youtube.com/watch?v=1nbFjSyGc5c ; https://www.nature.com/articles/s41434-020-00204-y

[4] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0141813024022323

[5] https://www.nature.com/articles/s41586-023-06800-3

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Une réponse à “Vous avez aimé les vaccins ARN Messager …
Vous allez adorer leur version auto-amplifiante !”

  1. Pour lire ce truc, il faut des connaissances que je n’ai pas.

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