Wokisme : le grand délire avant de disparaitre !

Il serait grand temps que l’idéologie mortifère pour notre civilisation, le wokisme, disparaisse de notre société.

Quand certains exigent des toilettes non genrées et parlent d’hommes enceints, il est temps de dire stop !

L’élection de Donald Trump et sa déclaration de guerre au wokisme aura sonné la fin du développement  de cette théorie qui s’est dévoyée dans un transgenrisme débridé.

D’autres voix que Trump se sont élevées courageusement contre cette idéologie comme la créatrice de Harry Potter, J. K. Rowling qui a osé déclarer :

Les transgenres ne sont que des hommes prétendant être des femmes.

Dans cet article, Boulevard Voltaire relate ce scandale qui touche le célèbre coloriste Pantone accusé de « suprémacisme blanc  » pour avoir créé une nouvelle teinte … de blanc :

Wokisme : avec sa couleur de l’année 2026,
Pantone aurait succombé au suprémacisme blanc

Les woke vivent dans l’irrationnel. C’est une des caractéristiques de leurs réactions et de leurs arguments.

Et la couleur de l’année 2026 est … Cloud Dancer !

Le célèbre coloriste Pantone a choisi un blanc « aérien » et « vaporeux », comme l’indique son nom, qui signifie : « Danseur de nuages ». Problème : la marque est désormais accusée de suprémacisme blanc.

Blanc comme … une cagoule du KKK ?

Du côté de Pantone, cela partait d’une bonne intention. Cloud Dancer « symbolise la sérénité dans une société qui redécouvre la valeur du calme et de la réflexion ». Il favorise « la détente et la concentration, laissant libre cours à l’esprit et à la créativité, et ouvrant la voie à l’innovation ». C’était sans compter sur les réactions woke, à l’affût du moindre signe inquiétant, menaçant, autrement dit d’extrême droite. « Vous ne me direz pas que ce n’est pas fait exprès », avance une jeune femme, sur TikTok, d’un ton complotiste.

Une autre s’interroge :

ce blanc, ne serait-ce pas la fameuse lumière blanche que voient les gens en situation de mort imminente – ici, la démocratie agonisante ?

Le code informatique de cette couleur ne serait-il pas … KKK, comme Ku Klux Klan ? Une troisième y va carrément, elle voit dans ce blanc un symbolisme alors que l’année 2025 s’est définie par :

le génocide, la violence d’extrême droite, la censure, la brutalité policière et la montée la plus bruyante de la suprématie blanche que nous ayons vue depuis des décennies.

@perezbrenna 12/04 Pantone’s 2026 Color of the Year is… White? #news #breakingnews #funny #satire #storytime ♬ original sound – Brenna Pérez

Gloubi-boulga idéologique

Ce gloubi-boulga idéologique est typique de la cuisine woke qui consiste à tout mixer : la Palestine, les politiques de Trump en matière de clandestins et d’insécurité, le tout assaisonné de fantasmes comme « la violence d’extrême droite » et « la suprématie blanche ». Les tiktokeuses n’hésitent pas à faire le lien entre la couleur Pantone et l’affaire des « bons gènes — bons jeans », la publicité de Sydney Sweeney qui a fait braire la gauche d’Amérique et d’ailleurs, cet été. Une jeune femme blonde et bien faite dans une publicité, ce ne pouvait être, encore, qu’une provocation suprémaciste. Tout fait sens.

Faut-il rappeler à ces brasseuses d’air que les termes de couleur de peau tels que « blanc » et « noir » ne sont que de grossières approximations, des commodités de langage ? D’un Blanc qui aurait le teint Cloud Dancer, on ne pourrait que dire qu’il a très mauvaise mine. Sur un plan pictural, les Blancs ont des teintes variées qu’on regroupe sous le nom de « chair », les Noirs des teintes non moins variées qu’on appelle « terre ». La teinte Pantone Cloud Dancer n’a rien à voir avec une couleur de peau, et encore moins avec le suprémacisme racial. Mais les woke vivent dans l’irrationnel, c’est une des caractéristiques de leurs réactions et de leurs arguments.

« Un vieux mythe dangereux »

Que des tiktokeuses racontent n’importe quoi, cela fait partie du jeu des réseaux sociaux. Que l’actrice Jill Kimmel écrive que la couleur Cloud Dancer est « sponsorisée par Trump », c’était attendu. Mais des journaux, des sites d’information appuient leurs « analyses », voyant un lien entre le recul des fameuses politiques des entreprises DEI (Diversity, Equity et Inclusion) et la promotion du blanc. « Après une année d’efforts de l’administration Trump et des entreprises pour démanteler les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion, parallèlement à une répression agressive de l’immigration, il paraît audacieux, voire déconnecté de la réalité, de prononcer les mots « le blanc est la couleur de 2026 » », écrit Vanity Fair, le magazine des tendances de la mode.

Même son de cloche, du côté des designers et autres décorateurs. Kia Weatherspoon (Determined by Design) explique que « lorsqu’une institution aussi influente que Pantone désigne une nuance de blanc comme la norme mondiale en matière de design, elle renforce un vieux mythe dangereux : la pureté, le désir et la neutralité sont associés au blanc ». La pureté ! C’en est trop, pour les woke, qui se complaisent plutôt dans le craspec. Pour leur faire plaisir, l’année prochaine, que Pantone leur choisisse donc un ton sale, louche et boueux.

Samuel Martin pour Boulevard Voltaire.

A lire : ce très beau texte de J.K. Rowling qui justifie ses prises de positions sur le transgenrisme :

J.K. Rowling Writes about Her Reasons for Speaking out on Sex and Gender Issues