
Comme vous venez de le voir, le nom de Macron restera longtemps entaché par sa responsabilité dans l’affaire de la mort du jeune délinquant Nahel puisqu’il avait déclaré le policier coupable avant même que l’enquête de commence ! Une déclaration inadmissible !
Il aura ensuite aggravé son cas par la détention provisoire du policier pendant plus de 4 mois ! Je ne peux pas croire, en effet, que cette décision d’incarcération, aux seules fins de satisfaire la banlieue, n’ait pas été prise à l’Elysée ! Une décision là aussi inadmissible !
Certains se demanderont même si le fait que le président ait qualifié le policier de coupable n’a pas influencé les juges d’instruction dans leur décision de trainer le policier Florian devant les Assises au chef d’homicide volontaire.
Il est terrifiant de se demander si la Justice ne va pas faire un exemple de l’affaire Nahel en condamnant lourdement le policier pour donner un gage aux racailles de banlieue !
Depuis le début, Macron ménage la banlieue notamment en refusant de participer à la marche contre l’antisémitisme et en prenant partie pour la Palestine contre Israel.
Dans une récente intervention dans Face à l’Info, Charlotte d’Ornellas a démonté brillamment toute l’argumentation de l’instruction – visiblement à charge – de l’affaire Nahel.
Sur la toile, l’indignation est énorme et de nombreux soutiens à Florian se sont déclarés. De nombreux badges ont été créés pour l’occasion :
Une fois de plus, la Justice va à l’encontre du peuple qui, mise à part l’extrême gauche, soutient largement sa police.
Voici un article de Boulevard Voltaire qui met en question cette décision des juges :
Florian M. aux assises :
la France a-t-elle renoncé à se défendre ?
C’est une concomitance qui en dit long sur l’état de notre pays. Au moment où la France, une nouvelle fois, se réveillait abasourdie par le bilan catastrophique des émeutes qui ont suivi le match de football « PSG – Inter Milan », la Justice annonçait le renvoi de Florian M. en cour d’assises. Florian M., ce policier motocycliste, auteur du coup de feu qui avait tué « Nahel » en juin 2023, est donc désormais accusé de meurtre et devrait, une fois les recours épuisés et s’ils ne modifient pas la décision des magistrats instructeurs, comparaître devant ses juges d’ici quelques mois.
Une intervention « inexcusable »
Il était difficile d’imaginer que les deux juges d’instruction en charge du dossier iraient à l’encontre des réquisitions du parquet de Nanterre.
D’abord, parce que les orientations prises au début de cette affaire, en particulier du fait des déclarations d’Emmanuel Macron en faveur de « Nahel », avaient donné un ton manifestement hostile aux policiers intervenants.
En effet, avant même le début de l’enquête policière, le président de la République avait dénoncé une intervention « inexplicable » et « inexcusable ».
Un modèle de respect de la présomption d’innocence !
Ensuite, parce que plusieurs nuits d’émeutes particulièrement dévastatrices pour le pays avaient su mettre une pression suffisante sur nos institutions politiques et judiciaires pour que Florian M. soit considéré, dès le départ, comme coupable et mis en détention. Enfin, parce que lentement mais sûrement, les discours de la gauche, et surtout de l’extrême gauche mélanchoniste, selon lesquels « la police tue » ou « la police assassine » dans notre pays, ont fini par s’emparer des esprits faibles et couards de ceux qui nous gouvernent, jusqu’à faire des criminels des victimes et des forces de l’ordre des tueurs sans scrupules.
En cédant ainsi à « l’émotion », qui selon un certain Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur, « dépasse les règles juridiques », les juges se sont donc enfermés dans un dilemme dont ils ne pouvaient sortir qu’en prenant cette décision de renvoi en cour d’assises du policier. En effet, la légitime défense invoquée par Florian M. ayant été écartée, il ne restait guère d’autre solution du point de vue du droit, d’autant plus que l’ombre d’émeutes à venir se rappelait concrètement à leur bon souvenir. Dans un pays, que quelques milliers de casseurs ont fini par prendre en otage jusqu’à paralyser complètement le fonctionnement normal de ses institutions, il y a peu de chances que les juges d’appel ne modifient cette décision.
Le risque du chaos
Plus que jamais, l’insécurité juridique qui s’impose aux forces de l’ordre dans le cadre de leurs missions les plus basiques doit ou devrait réinterroger l’ensemble de la classe politique. S’il n’y a aucune chance pour que ceux qui sont en place le fassent, il appartiendra à ceux qui viendront de s’emparer de cette question. Il en va de l’avenir même de notre société, avant qu’elle ne bascule définitivement dans le chaos.
Dans le cas d’espèce, il est urgent de réarmer juridiquement nos policiers et nos gendarmes, et de mettre en place une présomption de légitime défense.
Ce faisant, c’est notre société qui fera également le choix de se défendre à nouveau face à des individus, des groupes ou des entités manipulatrices qui ont décidé de détruire nos institutions, notre culture, notre civilisation.
À travers l’avenir de Florian, qui encourt une peine de 30 ans de réclusion criminelle pour avoir simplement choisi de faire son métier et de défendre les honnêtes gens, c’est bien l’avenir de notre pays qui se dessine. Soit nous serons assez forts pour imposer « quoi qu’il en coûte » les règles de droit propres à une démocratie apaisée respectueuse des lois qu’elle s’est choisie. Soit nous laisserons par lâcheté et par laxisme une minorité manipulée et téléguidée nous imposer les siennes.
Olivier Damien pour Boulevard Voltaire.




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