Ça panique chez les Bobos !

Publié par le 7 Jan, 2019 dans Blog | 0 commentaire

Ça panique chez les Bobos !

Les Gilets jaunes ont ringardisé les syndicats !

Ils ont démasqué les journalistes complaisants !

Le gouvernement pensait reprendre en main la situation en pointant, chaque samedi, la baisse des effectifs mobilisés par les gilets jaunes. La presse l’aidait en focalisant sur les violences accompagnant, en marge, chaque « acte » des gilets jaunes.

Damned ! Ce dernier samedi, alors que le « système » pronostiquait l’essoufflement du mouvement, la mobilisation a repris si l’on en croit l’augmentation de la fréquentation.

Et ça commence à paniquer dans les milieux protégés des médias et des bobos !

Quand l’inquiétude gagne, la première chose que l’on perd c’est le sens de l’humour. La Lettre patriote pointe cette semaine la journaliste bobo typique, Elisabeth Martichoux, qui a vu dans une petite chanson humoristique : « Les gentils, les méchants« , je cite : « Un message radical de rejet inquiétant !  »

Totalement délirant quand on écoute la chanson ! Mais qui rejoint l’offensive générale des médias pour obliger tous les opposants à Macron à condamner, toute affaire cessante, les violences des manifestations.

Voici l’article de la Lettre patriote signé Julien Michel.

Elizabeth Martichoux n’aime pas “Les gentils, les méchants”

La journaliste s’est fendue d’un tweet qui en dit long sur la déconnexion de sa caste d’avec les Français qui vivent après le périphérique.

Cette femme – qui fut (ça ne s’invente pas) l’épouse d’Aquilino Morelle, dont elle a deux enfants – trouve EFFRAYANT (!) le clip gentillet de Marguerite. Effrayant, qu’avec humour (plutôt fin), une jeune femme s’en prenne aux clichés véhiculés pas les médias qui nourrissent Madame Martichoux elle-même depuis des décennies.

Rappelons qu’Elizabeth Martichoux est cette journaliste qui annonçait dans un lancement sur LCP que “en France, deux femmes sur trois ont avorté”, pour dire, quelques instants plus tard, face à Najat Vallaud-Belkacem, que c’était maintenant “une femme sur trois”.

Effrayant, n’est-ce pas ?

PS : Pour le plaisir de la mélopée, chantons une nouvelle fois “Les gentils, les méchants” 🙂

Et jugez par vous-même de la subversion radicale portée par les paroles !

Julien Michel pour la Lettre patriote.

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