Ces journalistes qui bafouent la liberté d’expression

Publié par le 21 Juin, 2025 dans Blog | 2 commentaires

Ces journalistes qui bafouent la liberté d’expression

Dans la terrible déliquescence qui caractérise la vie politique française, les journalistes sont responsables des plus graves atteintes aux valeurs démocratiques.

La presse et les médias sont censés incarner, derrière les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, le « quatrième pouvoir » de défense des valeurs de la République.

Cela leur donne une puissance formidable mais, en contrepartie, devrait leur imposer d’être exemplaires en éthique, en déontologie, en impartialité et en respect de ses lecteurs ou téléspectateurs !

Or, qu’observe t-on dans la plupart des grands médias ?

  • Un conformisme étriqué,
  • Un assujettissement à la bien-pensance,
  • Un penchant marqué pour la gauche progressiste
  • Un déni de toute réalité qui contredit le récit de la diversité heureuse,
  • Une censure des voix dissidentes,
  • Un relai complaisant de la propagande du pouvoir.

Les couvertures médiatiques de la crise du covid et de la guerre en Ukraine ont été des illustrations frappantes de ces dérives de médias que je méprise profondément et que les Français délaissent massivement.

J’appelle tous les patriotes à défendre toutes les formes de ré-information alternatives aux grands médias, comme les réseaux sociaux, les sites comme Boulevard Voltaire, Causeur ou Atlantico, et tous les blogs.

Internet est notre denier espace de liberté.
Battons-nous pour le garder indépendant !

Les journalistes, par l’intermédiaire de leurs sinistres « Sociétés de journalistes » (SDJ), pratiquent, même en leur sein, une chasse aux sorcières des voix discordantes.

On vient d’en avoir un exemple avec la condamnation par la SDJ du journal Le Parisien de Sophia Aram, une humoriste du service public classée à gauche de longue date et qui s’est permise, pour une fois, de critiquer … la gauche.

C’est ce que rapporte cet article de Boulevard Voltaire :

Pour les journalistes du Parisien, Sophia Aram
fait du racisme … anti-Suédois !

Faire un billet d’humeur sur « Miss Krisprolls » et sa croisière « Des Wasa pour Gaza » est désormais criminalisé.

On ne pensait pas que quelqu’un pouvait accuser l’humoriste Sophia Aram d’être en contradiction avec la pensée dominante. Ses sketchs, souvent provocateurs, sont quasi toujours marqués à gauche, c’est-à-dire dans le camp du bien. Et pourtant… Lors de sa chronique du dimanche 15 juin pour Le Parisien, intitulée « People Boat », Sophia Aram s’est permis l’impensable : des jeux de mots sur Greta Thunberg, icône suédoise de la bien-pensance écologique, récemment reconvertie en skipper humanitaire, sous l’œil des caméras, en compagnie notamment de Rima Hassan.

La Suède n’est pas une race

Dans le texte de l’humoriste, la délicieuse Greta est qualifiée de « Miss Krisprolls » et l’opération de l’autoproclamée « flottille de la liberté » devient « Des Wasa pour Gaza ». Et ça, selon la Société des journalistes (SDJ) du Parisien, eh bien … c’est raciste. Pour en convaincre son public, dans le communiqué que publie la SDJ, ses auteurs font une expérience de pensée :

Imaginons un instant qu’un auteur rémunéré par Le Parisien vienne à surnommer un Mexicain dont il ne partage pas les vues « Mister Tacos », un Marocain « Mister Couscous » ou une Espagnole « Miss Paëlla »… le caractère raciste des quolibets ne ferait plus aucun doute.

Voici le communiqué de la SDJ du Parisien :

D’abord, un petit peu de sémantique : les Suédois ne constituent pas une race – pas davantage que les Mexicains, les Marocains ou les Espagnols. On peut donc estimer que cette saillie, au demeurant pas drôle (mais c’est un autre sujet), est xénophobe, mais elle n’est pas raciste. Tiens, à ce propos, on croyait que les races n’existaient pas ? Qu’il n’y avait aucune différence biologique entre un Asiatique, un Africain et un Européen ? La SDJ n’en est probablement pas à une contradiction près…

Ensuite, un mot sur la sensibilité des journalistes du Parisien. Dans leur communiqué, ils rappellent qu’en 2020, un édito dit « des baguettes » faisant un lien entre le Covid-19 et la restauration asiatique avait déjà provoqué un tollé dans le tout petit monde de la rédaction. C’était il y a cinq ans, tout le monde a oublié, et tout le monde s’en moquait probablement, déjà, à l’époque. La SDJ, elle, n’oublie rien. Ces petits incidents « génèrent un sentiment de honte chez nombre de nos collègues », disent les pourfendeurs de l’intolérance.

L’hypocrisie érigée en art

En parlant d’intolérance – c’est le troisième constat à la lecture de ce communiqué, on est surpris par le mélange de sensiblerie et de hargne (cocktail très gauchiste) qui se lit à livre ouvert. Vous savez ce que réclament les journalistes du Parisien ? « La suppression de ces chroniques dominicales », tout simplement. En guise d’argument massue, en plus du péché capital de racisme, ils évoquent « un plan d’économies qui réclame des efforts à l’ensemble des services » : en d’autres termes, les gauchistes utilisent un argument capitaliste pour virer ceux qui leur déplaisent. À ce stade d’hypocrisie, c’est presque de l’art.

Sophia Aram aurait dû le savoir : être subversif, en France, ce n’est pas attaquer indistinctement la gauche et la droite, les étrangers et les Français. C’est viser toujours les mêmes cibles : celles qui ne se défendent jamais (les catholiques, et pas les autres religions), celles qui n’ont pas voix au chapitre dans les médias (la droite, et surtout pas la gauche), celles que l’on accuse de tous les maux (les Français, et surtout pas les Suédois, donc). Elle vient d’apprendre que le métier de comique consiste désormais à hurler avec les loups.

L’Humanité a consacré l’un de ses récents numéros à l’irrésistible montée de la « presse d’extrême droite ».

Dans toute la presse, on sent que le vent tourne : les gens en ont marre qu’on leur dise quoi penser et quand rire. C’est probablement pour cela que la SDJ du Parisien s’accroche aux reliques d’un magistère moral de plus en plus contesté.

Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire.

En conclusion

Je préconise la suppression ou la réduction drastique des subventions publiques aux médias. Il est insupportable que tous les Français payent pour n’obtenir qu’une information biaisée politiquement.

Et c’est particulièrement vrai pour l’audiovisuel public qui devra être privatisé en priorité !

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2 Réponses à “Ces journalistes qui bafouent la liberté d’expression”

  1. Pour une fois que j’appréciais une humoriste de gauche, j’ai tout faux: je suis raciste! Faut que je change tous mes meubles et accessoires IKEA????

  2. Jamais vu à droite ce prurit de censure qu’on ne rencontre que dans le mainstream de gauche, où on pétitionne contre ( jamais pour..), souvent en meute.

    Gauche-délation-société anonyme..

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