Et si on reparlait un peu de la chloroquine …

Publié par le 24 Juil, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Et si on reparlait un peu de la chloroquine …

Dites-moi ! Prenez-vous au sérieux le gouvernement quand il impose aujourd’hui le port obligatoire du masque après en avoir affirmé l’inutilité pendant des semaines et pire, après avoir interdit aux pharmaciens d’en vendre au public ?

Faites-vous confiance, à un gouvernement qui a refusé, par pure idéologie, de fermer ses frontières ?

Accordez-vous le moindre crédit à un ministre de la santé qui interdit l’usage de la chloroquine quelques heures après la publication d’un article critique sur la revue médicale The Lancet, article, dont il sera démontré quelques jours plus tard qu’il était un tissu de mensonges et d’incohérences ?

Aujourd’hui, on nous décrit tous les jours l’apocalypse sanitaire qui frappe les Etats-Unis. On totalise 140 000 morts outre atlantique ce qui, ramené à la population française correspond à … 28 000 morts. La France quant à elle affiche un nombre de morts de … 30 200 !

Mais ça fait tellement plaisir aux médias de taper sur Trump !

Le professeur Raoult, lui, imperturbable, trace sa route et soigne les patients ! Je relaye une information qu’il vient de transmettre par tweet :

Le professeur Harvey A. Risch montre tout l’intérêt de l’hydrochloroquine utilisée en début de contamination. Il assure que des dizaines de milliers de patients sont morts inutilement du fait de la campagne anti-chloroquine dont le gouvernement français s’est rendu complice.

L’article original est à lire sur Newsweek en voici la traduction du début de l’article :

La clé pour vaincre COVID-19 existe déjà.
Nous devons commencer à l’utiliser !

En tant que professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health, j’ai rédigé plus de 300 publications évaluées par des pairs et e tiens actuellement des postes de direction au sein des comités de rédaction de plusieurs revues de premier plan.

J’ai l’habitude de défendre des positions au sein du courant dominant de la médecine, j’ai donc été déconcerté de constater qu’en pleine crise, je me bats pour un traitement que les statistiques soutiennent pleinement mais qui, pour des raisons n’ayant rien à voir avec une compréhension correcte de la science, a été mis à l’écart.

En conséquence, des dizaines de milliers de patients
atteints de COVID-19 meurent inutilement.

Heureusement, la situation peut être inversée facilement et rapidement.

Je parle, bien sûr, du médicament hydroxychloroquine. Lorsque ce médicament oral peu coûteux est administré très tôt dans l’évolution de la maladie, avant que le virus n’ait eu le temps de se multiplier de manière incontrôlable, il s’est révélé très efficace, surtout lorsqu’il est administré en association avec les antibiotiques azithromycine ou doxycycline et le supplément nutritionnel zinc.

Le 27 mai, j’ai publié un article dans l’American Journal of Epidemiology (AJE) intitulé « Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 patients that should be Ramped-Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis ». Cet article, publié dans la principale revue d’épidémiologie au monde, a analysé cinq études, démontrant des avantages clairs et significatifs pour les patients traités, ainsi que d’autres très grandes études qui ont montré la sécurité des médicaments.

Les médecins qui ont utilisé ces médicaments face à un scepticisme généralisé ont été vraiment héroïques.

Ils ontutilisé ce que la science proposait de mieux pour leurs patients, souvent avec de grands risques personnels. Je connais moi-même deux médecins qui ont sauvé la vie de centaines de patients avec ces médicaments, mais qui se battent maintenant contre les commissions médicales d’État pour sauver leurs licences et leur réputation. Les poursuites contre eux sont totalement dénuées de fondement scientifique.

Depuis la publication de mon article du 27 mai, sept autres études ont démontré des avantages similaires. Dans une longue lettre de suivi, également publiée par AJE, je discute de ces sept études et renouvelle mon appel pour l’utilisation précoce immédiate de l’hydroxychloroquine chez les patients à haut risque. Ces sept études comprennent: 400 autres patients à haut risque traités par le Dr Vladimir Zelenko, avec zéro décès; quatre études totalisant près de 500 patients à haut risque traités dans des maisons de soins infirmiers et des cliniques à travers les États-Unis, sans décès; un essai contrôlé de plus de 700 patients à haut risque au Brésil, avec un risque d’hospitalisation significativement réduit et deux décès parmi 334 patients traités par hydroxychloroquine; et une autre étude de 398 patients appariés en France, également avec un risque d’hospitalisation significativement réduit. Depuis que ma lettre a été publiée, encore plus de médecins m’ont rapporté leur utilisation totalement réussie.

Etc … etc …

Harvey A. Risch pour Newsweek.

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