Ivermectine – Hydrochloroquine : même combat !

Publié par le 10 Mar, 2021 dans Blog | 10 commentaires

Ivermectine – Hydrochloroquine : même combat !

Il faudra bien qu’un jour la lumière soit faite sur le scandale sanitaire qui a vu tous les médicaments proposés pour soigner les malades du coronavirus systématiquement écartés au profit du seul confinement et de la vaccination.

Nous avons tous en tête le lynchage politico-médiatique du professeur Didier Raoult et la diabolisation de son médicament « à trois franc, six sous » l’hydrochloroquine.

Aujourd’hui, l’ivermectine a remplacé l’hydrochloroquine !

Il semble que l’efficacité de ce médicament largement utilisé pour traiter des infections parasitaires soit encore moins contestable que celle de la molécule du professeur Raoult.

Comme l’hydrochloroquine, ce médicament fait déjà l’objet des mêmes attaques comme par exemple par l’AFP – Factuel qui évoque le même manque de résultats scientifiques :

Cependant, si une étude a observé une efficacité in vitro (en laboratoire), de l’ivermectine sur le Sars-CoV-2, son efficacité sur l’homme n’est à ce jour pas démontrée, ont expliqué experts et institutions car n’y a pas de preuves scientifiques suffisamment solides.

Mais évidemment, le fait que le président du Brésil Jair Bolsonaro ait dit tout le bien qu’il pensait de l’ivermectine constitue un très lourd handicap pour cette molécule !

Voici l’interview du docteur Paul Marik par FranceSoir qui permet de se faire une idée sur ce nouveau médicament :

Merci de tweeter cet article :





10 Réponses à “Ivermectine – Hydrochloroquine : même combat !”

  1. Richard Mauden dit:

    Fawkes News : Dr Paul Marik : Des forces obscures sont à la manœuvre, on ne veut pas que la vérité sorte ! Ivermectine-covid. Une revue de médicaments covid évaluée par des pairs et attirant l’attention du monde entier a été retirée de la publication sans explication. Le médicament à faible coût, l’ivermectine, pourrait changer la donne du covid et pourtant l’un des auteurs de la revue, le Dr Paul Marik, dit qu’il n’a reçu aucune raison pour cette annulation de la publication sans explication.. Selon lui, « des forces obscures sont à la manoeuvre ». Le Dr Marik détaille pour Trish les conclusions de son équipe selon lesquelles l’ivermectine sauve des vies. Selon le Dr Tess Lawrie : « Des personnes ou des organisations très puissantes empêchent la diffusion d’informations au sujet de l’ivermectine ». Dr Tess Lawrie: « Il se passe quelque chose de très louche! » « Je n’ai jamais entendu parler d’un article retiré après avoir été validé ». « Les chercheurs rencontrent de grandes difficultés pour faire publier leurs études sur l’ivermectine. » Voir les l’intérêt de l’ivermectine pour le covid : Ville de Mexico : chute des courbes épidémiques suite à l’adoption de l’ivermectine ! Le Dr Mobeen Syed explique les mécanismes d’action de l’ivermectine sur le sarscov-2 ! Évidemment, la France n’est toujours pas intéressée par ce médicament et préfère remettre des confinements locaux (en attendant le confinement national qui devrait suivre tôt ou tard). Et en même temps, l’ANSM a autorisé l’utilisation du Bamlanivimab du groupe Lilly, un médicament à base d’anticorps monoclonaux à 2000 € la dose. Véran est enthousiaste par ce médicament qui (comme le Remdesivir) n’a pas fait la preuve de son efficacité.
    Curieusement, le gouvernement n’est pas aussi prudent pour les nouveaux médicaments à prix d’or que pour les anciens médicaments repositionnés qui coûtent une bouchée de pain et pour lesquelles on dispose déjà d’une quarantaine d’études positives. À noter que l’ivermectine a été approuvée pour le traitement du covid en Slovaquie et que les premiers retours sont bons. Une méta-analyse démontre que l’ivermectine est l’un des traitements les plus efficaces contre le covid. Dr Pierre Kory, présentation épidémiologique sur l’ivermectine en Amérique Latine. Source : Fawkes News/zejournal

  2. Richard Mauden dit:

    Phillipe Legarrec, Le Monde : Scandale français : Véran autorise un traitement à 2000 Euros dont l’efficacité n’est pas prouvée, mais refuse l’ivermectine et l’hydroxycloroquine qui ne coûtent rien et dont l’efficacité est largement démontrée… Le gouvernement a annoncé jeudi que le bamlanivimab, du laboratoire américain Eli Lilly, allait être proposé en France aux patients de plus de 80 ans ou immunodéprimés. Mais les preuves de ses effets cliniques sont très limitées. @olivierveran autorise un traitement par anticorps monoclonaux à l’efficacité discutée à 2000 € mais refuse l’ivermectine à 4 € qui divise la mortalité par 6 selon les études scientifiques. Tout cela finira devant la justice — Philippe Murer(@PhilippeMurer) February 27, 2021
    L’exécutif français a annoncé, jeudi 25 février, la mise à disposition, à compter de début mars, du bamlanivimab à 2000 €, du laboratoire américain Eli Lilly, afin de renforcer notre arsenal anti-Covid, selon les termes du ministre de la santé, Olivier Véran.
    Cette annonce, qui reste floue sur le nombre de doses et le montant des commandes, est le fruit de réunions sur les traitements présidées depuis quelques semaines par Macron : « La France a décidé de se positionner sur les traitements innovants pour redonner un élan à la réponse à la crise sanitaire » !
    Une note de la direction générale de la santé (DGS) à destination des professionnels de santé précise le cadre d’emploi de la molécule, qui est le premier anticorps monoclonal disponible en France, sous le statut d’autorisation temporaire d’utilisation (ATU) malgré la faiblesse des études cliniques…
    Le bamlanivimab à 2000 €, est destiné à traiter les formes symptomatiques légères à modérées de Covid-19, chez des adultes non hospitalisés, mais « à risque élevé d’évolution vers une forme grave » de la maladie. En l’occurrence, des patients de plus de 80 ans ou ayant un déficit immunitaire lié à des traitements ou à une pathologie (chimiothérapie en cours, transplantation d’organe, maladie rénale…).
    L’objectif est de les traiter précocement, en bloquant la multiplication du virus : « Pour garantir un maximum d’efficacité, ce traitement doit être initié dans un délai maximal de cinq jours après le début des symptômes », écrit la DGS. Idéalement dans les trois premiers jours, et toujours à l’hôpital : les anticorps monoclonaux de ce type doivent être administrés par perfusion intraveineuse, pendant une heure, suivie d’une heure supplémentaire afin de surveiller d’éventuelles réactions d’hypersensibilité. La DGS précise que l’efficacité du traitement n’est pas démontrée contre les variants sud-africain et brésilien du SARS-CoV-2 – ce qui va restreindre son intérêt… Le Dr Paul Marik explique comment des publications rewievés et acceptés sur des vieux médicaments repositionnés efficaces sur #COVID19 sont dépubliés par des journaux scientifiques sous la pression de l’industrie pharmaceutique : Une escroquerie en bande organisée — Corinne Reverbel (@CorinneReverbel) February 28, 2021. Source Le Monde/zejournal.

  3. Richard Mauden dit:

    France Soir : Covid-19 : la République Tchèque autorise l’ivermectine. Afin de protéger la santé publique dans le cadre de la pandémie mondiale en cours covid-19 maladie, causée par la propagation du SRAS-CoV-2 virus, afin d’assurer la disponibilité de médicaments importants pour la fourniture de soins de santé ministère conformément au § 8 paragraphe 6 de la Loi sur les produits pharmaceutiques. La décision sur l’ivermectine (nom du médicament HUVEMEC) permet temporairement la distribution, l’approvisionnement et l’utilisation du médicament humain non enregistré HUVEMEC 3 mg en comprimés, fabriqués par le laboratoire Huvepharma en Bulgarie contenant la substance active ivermectine. En raison de son bon profil d’innocuité, un effet clinique potentiel, bien que solidement non corroboré, dans le traitement du covid-19, l’ivermectine représente une alternative possible dans le traitement des patients hospitalisés avec covid-19. La recommandation pour l’utilisation de médicaments contenant la substance active ivermectine pour le traitement du covid-19 est basée principalement sur l’hypothèse d’une réduction possible du taux d’hospitalisation et l’amélioration des symptômes cliniques chez les patients âgés de plus de 18 ans. L’effet potentiel sur l’amélioration du cours de covid-19 est basé sur un certain nombre d’études cliniques publiées, cependant, beaucoup de ces études n’atteignent pas le niveau requis de médecine fondée sur des preuves. En raison du profil de sécurité favorable et de l’absence d’autres alternatives thérapeutiques, il est plus approprié d’autoriser l’utilisation d’un médicament non enregistré dans des conditions contrôlées médicalement.
    En France Me Teissedre a saisi les autorités judiciaires en novembre puis le Conseil d’État le 25 janvier 2021 pour faire une demande de RTU pour ce même médicament. L’ANSM a répondu à Me Teissedre qu’il donnerait une réponse sur la faisabilité d’une RTU avant la fin du mois de mars. Rappelons que le remdesivir, traitement aux effets secondaires connus autorisé en mars 2020 puis déconseillé par l’OMS en octobre 2020, avait fait l’objet d’une demande d’accéleration du Directeur Général de la Santé Jérôme Salomon avec l’aide du Pr Yazdanpanah membre du Conseil Scientifique et du Pr Lina pour éviter des pertes de chances aux patients. De son côté le Bamlanivibab à 2000 € a reçu un coup de pouce de l’ANSM. En France, l’ANSM peut prendre des décisions très rapidement comme en témoigne l’ATU « donnée » pour le traitement à 2000 € par anticorps monoclonaux par le laboratoire Eli Lilly (mais pas pour l’ivermectine trop peu chère). Source : FranceSoir/zejournal.

  4. Richard Mauden dit:

    Dr Gérard Maudrux, Walt : Le miracle de l’ivermectine. L’Ivermectine restera sans doute dans l’histoire sur le podium des trois médicaments ayant rendu le plus de services à l’humanité, avec la Pénicilline et l’Aspirine, en regard du facteur bénéfice/risque, avec son large éventail d’indications et n’ayant pratiquement jamais tué personne malgré 4 milliards de prescriptions chez l’homme. Dès la fin des années 1970, elle s’est avéré être un agent antiparasitaire puissant, contre un large éventail de nématodes (vers) et d’arthropodes internes et externes chez les animaux. Chez l’homme elle est utilisée contre des maladies dévastatrices et défigurantes des populations pauvres des tropiques, comme l’onchocercose des rivières qui rend aveugle, et les filarioses, ces vers fins qui pénètrent et circulent dans votre organisme. L’Ivermectine est utilisée gratuitement comme seul médicament dans des campagnes visant à éliminer ces deux maladies au niveau mondial.
    L’Ivermectine est autorisée chez l’homme dans plus de 100 pays, en France elle a une autorisation pour l’anguillulose gastro-intestinale, la microfilarémie et la gale. Près de 100 millions de personnes sont traitées chaque année avec ce produit dans le monde, et plus de 4 milliards de dose ont été prescrites en 30 ans.
    L’Ivermectine est une des rares molécule à avoir obtenu un prix Nobel. Le prix Nobel de médecine a été attribué en 2015 à ses découvreurs, Satoshi Ömura au Japon et William Campbel aux États-Unis.
    L’Ivermectine a une action virucide dans les affiections dues à un virus à ARN, comme le Sars-COV-2. Chez l’homme des études sont en cours. Les résultats cliniques sur le Sars-cov-2 sont très prometteurs.
    En médecine, plus un traitement est efficace, plus il y a de risques qu’il y ait des effets indésirables sur d’autres organes, ce qui est logique. Pour l’Ivermectine il n’en est rien, ce médicament est inoffensif.
    Sur les 15 143 spécialités pharmaceutiques remboursées en France, c’est certainement la molécule, ou une des molécules qui présente le moins de risques. » l’Ivermectine est sans danger et peut être utilisé à grande échelle » écrit l’OMS. Une seule publication au monde parle de mortalité due à Ivermectine : The Lancet en 1997, décrit 15 décès sur 47 pensionnaires d’Ehpad traités par Ivermectine pour une épidémie de gale.
    The Lancet a omis de remarquer qu’un traitement par Lindane et Permethrine, insecticides mortels pour nombre d’animaux comme les chats, avait été appliqué juste avant ! Il a fallu une autre publication pour le découvrir. L’Ivermectine a mis des années pour se remettre de l’article du Lancet aux conclusions erronées.
    Conclusions : au stade précoce l‘association Ivermectine/Azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, et ramène la mortalité à 1 cas sur 2 700 (en France, depuis deux mois, nous sommes à 50 morts pour 2 700 Covids (dont la moitié non symptomatiques, alors qu’ici ils le sont tous). Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés, la mortalité est divisée par 10, par contre en réanimation, pas de différence.
    Pourquoi l’Ivermectine n’est-elle pas officiellement autorisée en France ? Tout médicament doit passer nombre d’examens pour démontrer son efficacité et son innocuité, avec un rapport bénéfice/risque qui doit être favorable. L’Ivermectine est une molécule « orpheline » que personne ne prendra plus en charge. Ce devrait-être le rôle des autorités sanitaires de s’occuper de ces dossiers pour défendre l’intérêt général.
    À 2 000 euros le traitement vous avez vu l’efficacité de Gilead pour obtenir ce sésame en peu de temps pour le remdesivir , alors que son efficacité est nulle comparée à l’Ivermectine et qui est de plus très dangereux. En France, des perspectives financières, un bon dossier et quelques appuis, c’est plus utile qu’une efficacité !
    Le second problème vient d’un puissant lobby économique. Si un médicament tombé dans le domaine public, à 1 euro la gélule (10 cts en Inde), traite tous les covids, ce sont des milliards et des milliards perdus par l’industrie pharmaceutique. Et puis il y a l’État qui a confisqué la médecine aux médecins !
    L’Ivermectine a déjà sauvé des centaines de millions de vies, elle a encore un potentiel insoupçonné à dévoiler, si on veut bien se donner la peine de le chercher. En attendant, chaque mois perdu pour lire 40 études déjà lues dix fois, c’est 12 000 morts de plus chez nous. Source : FranceSoir/zejournal

  5. Je rajoute une partie de la dernière lettre de mon Conseil de L’ordre :
    Patients vaccinés de + de 80 ans : Si jugé nécessaire en cas d’infection post-vaccination contre le SARS-CoV-2, chez des patients répondant aux critères prédéfinis, Bamlanivimab pourra être administré en tenant compte de l’absence de données spécifiques à ce jour dans cette situation.
    La population cible est susceptible d’évoluer en fonction de l’état des connaissances scientifiques et du contexte épidémique. Il convient de se référer régulièrement au protocole temporaire d’utilisation (PUT) consultable sur le site de l’ANSM pour prendre connaissance des critères d’exclusion

    C’est moi qui ai mis en gras : « post vaccination », parce que là, c’est clair et net, n’est ce pas!

    On vaccine : « ils » attrapent le Civid et hop, on leur colle un produit à 1000€ (j’en étias restée à 1000€ et 2000€), même pas forcément efficace.

    Vous comprenez pourquoi les soignants sont à 710% contre cette vaccination!

  6. Bien sur que tout est un cirque pour imposer un vaccin, le leur, qui va jusqu’a modifier l’adn, alors que la chloroquine, ils ce la gardent pour eux et l’armée.

    Cela a été denoncé sur ce blog.

    A propos de ce cirque mediatique:

    Un dîner clandestin entre journalistes et “experts” médicaux qui démontre qu’ils ne croient pas au coronacircusdans Articles divers / Politique — par Alain Escada — 4 mars 2021
    https://medias-presse.info/un-diner-clandestin-entre-journalistes-et-experts-medicaux-qui-demontre-quils-ne-croient-pas-au-coronacircus/140513/

    Pas un jour ne passe sans que, matin, midi et soir, les télévisions du système ne répètent les mots d’ordre officiels concernant le Covid : portez votre masque, restez chez vous sauf pour aller au supermarché, isolez-vous des autres, attendez avec impatience votre tour pour être vacciné, préparez-vous au passeport vaccinal pour pouvoir faire ce qui vous plaît hors de chez vous, ne réfléchissez pas car c’est signe de complotisme,…

    Mais voilà que le Canard enchaîné signale un pataquès dans ce concert multi-télévisuel. Le 24 février, la police fait une descente dans un restaurant ouvert clandestinement. Il est bientôt minuit et les policiers découvrent une intéressante brochette de convives : des journalistes de BFMTV, mais aussi “des cadors de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, tous consultants santé de la chaîne !“.

    Cela rejoint d’autres informations précédentes sur des restaurants ouverts clandestinement dans lesquels ont été identifiés des magistrats, des gendarmes et des policiers. Sans oublier les fêtes dans des commissariats dans des conditions interdites au commun des Français.

    Mais le cas signalé par le Canard enchaîné est bien plus significatif. Ce n’est plus simplement un privilège que s’accordent des fonctionnaires du régime, de façon très proche de ce qui se passait autrefois en Union Soviétique.

    Non, cette fois, c’est vraiment la démonstration que les gens qui se succèdent à la télévision pour nous effrayer ne croient pas aux histoires qu’ils nous racontent.

    Comment interpréter autrement ce gueuleton partagé entre des journalistes de BFMTV, des “experts” du monde médical et un gradé des pompiers, tous habitués à nous faire la leçon sur la nécessité de suivre bien docilement les consignes gouvernementales pour échapper à une apocalypse épidémique ?

    S’ils croyaient à ce qu’ils disent à la télévision, s’ils croyaient au bien-fondé de mettre les populations en cage, de porter une muselière, de conserver des distances, de laisser les restaurants fermés, s’ils croyaient la vaccination indispensable à toute reprise d’une vie normale, s’ils partageaient la peur qu’ils insufflent parmi la population, ils n’auraient pas pris le risque de participer à un tel dîner clandestin.

    Il faut exiger que les noms de ces convives télégéniques, verbalisés par la police, soient rendus publics.

    Et surtout, il faut largement partager cette information qui démontre que le plat que nous servent jour après jour les médias est une mascarade.

    Une mascarade dont l’objectif réel est de mettre en place l’ensemble des rouages d’une tyrannie mondialiste.

    L’heure est à la dissidence. Cassons nos télévisions et brisons nos chaînes ! Insurgeons-nous !

    Alain Escada, président de Civitas

  7. hors sujet mais necessaire devant cette vaste manipulation et propagande mediatique permanente.

    mercredi 17 février 2021
    Un Nouveau Procès de Nuremberg ?
    Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare par rapport au Scandale de la Fausse Pandémie du Covid-19 !

    16/02/2021

    Par Jean-Michel Grau

    Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

    Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

    Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021
    « Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

    État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19
    a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
    b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
    c. Sécurisation des structures agricoles régionales
    d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
    e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?
    Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

    « Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

    « Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

    « En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

    En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

    Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021
    « Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

    Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

    Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

    Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

    Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

    Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

    Commentaire :
    Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

    « Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

    Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

    Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
    Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.
    Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un “populicide” qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

    C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5). Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
    .

    Notes
    (1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

    (2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

    (3) corona-committee.com

    (4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

    (5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris

    Diffusé par : https://www.blogger.com/blog/post/edit/83265668562647757/8732851598660204119

  8. Ce que les medias ne vous diront pas :

    mercredi 10 mars 2021
    Comment l’Inde a guéri plus de 30 millions de malades ?
    L’Inde, en utilisant l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et un vaccin classique, a réussi à mieux maitriser sa « Pandémie » que la France qui refuse ces traitements !
    Pendant que le sage montre le traitement précoce et le vaccin traditionnel à virus inactivé, l’imbécile regarde le vaccin à ARN messager et le doliprane …

    LE MODELE INDIEN PROUVE QUE NOUS AVONS TOUT FAUX : il a vaincu le virus avec l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, utilise un vaccin traditionnel, exporte les vaccins expérimentaux pour ces idiots d’occidentaux …
    L’Inde est le premier pays au monde pour la production de molécule médicamenteuse, mais c’est également un pays en développement.
    Peuplé par 1,4 milliard d’habitants il compte tout de même 90 millions de plus de 60 ans eux aussi exposés à la covid.
    C’est le deuxième pays au monde pour ne nombre de cas.
    L’Inde a suivi à la lettre le protocole de Raoult et Borody…
    Le taux de reproduction du virus ne cesse de reculer et le pays qui a connu au minimum 11 millions de cas déclarés aurait atteint le seuil d’immunité collective.
    On compte 1230 décès par million d’habitants de plus de 65 ans (six fois moins qu’en France).
    Si nous avions écouté Raoult et suivi le modèle indien nous aurions aujourd’hui 500 cas de covid par jour et 75000 morts de moins…
    Malheureusement nous avons Macron, Véran ou le mari de la ministre Wargon :
    Je suis toujours sidéré par le hurlement de Wargon, époux de la ministre :
    Le fou furieux à causé ! pic.twitter.com/UiOqDd56Pw

    — Pimprenelle de Marseille (@cunegonde1944) March 5, 2021

    Aujourd’hui les choix vaccinaux de l’Inde sont surprenants, le pays produit le vaccin astrazenneca pour l’exportation, en a fait une version indienne également pour l’exportation.
    Arme géopolitique le pays donne ces vaccins aux autres pays.
    Mais pour le premier ministre et la population l’Inde fabrique un vaccin traditionnel sans arn messager, sans virus conducteur, un vaccin à covid 19 mort, bien traditionnel.
    Plus de 15 millions d’habitants ont bénéficié du Covaxin.
    https://www.lapresse.ca/international/asie-et-oceanie/2021-03-03/un-nouveau-vaccin-indien-revendique-une-efficacite-de-81.php

    Un article signé par six médecins indiens vient rappeler des évidences et montrer combien les choix indiens sont aux antipodes de ceux de, l’occident.
    Il est tiré du blog de Jean-Pierre Kiekens, diplômé d’Oxford et ancien professeur d’université, présentant des actualités et une analyse politique indépendante de la pandémie en mettant l’accent sur les traitements.
    The Mystery Behind India’s Success in Flattening the Curve

    L’ICMR (Indian Council for Medical Research) a été la première agence nationale de recherche au monde qui a non seulement compris l’importance des soins primaires pour apprivoiser cette pandémie, mais a également recommandé un traitement avec des médicaments spécifiques et des schémas thérapeutiques identifiés pour chaque grade de patients Covid-19..
    C’était un coup de maître qu’aucune des agences étrangères, y compris CDC (États-Unis), NHS (Royaume-Uni) et d’autres, n’a été en mesure de fournir.
    Toutes les autorités médicales ont continué à dire qu’il n’y avait pas de traitement précoce disponible pour traiter les cas bénins à domicile, mais ont continué à augmenter les lits d’hôpitaux et les ventilateurs qui continuaient de ne pas répondre aux besoins.
    Le 30 janvier 2021, l’Inde a terminé un an depuis que le premier cas de Covid-19 a été détecté en Inde depuis le Kerala.
    Au début de la pandémie, l’Inde en tant que pays était très vulnérable à une épidémie majeure de coronavirus.
    L’Inde est non seulement le deuxième pays le plus peuplé du monde, mais elle possède certaines des villes les plus encombrées avec une densité moyenne de population d’environ 470 habitants au km2.
    Ajoutez à cela l’absence d’une infrastructure de santé robuste déjà surchargée.
    Depuis le début, de nombreux experts des pays occidentaux prédisent une catastrophe pour l’Inde.
    Le Center for Disease Dynamics and Economic Policy (CDDEP), basé aux États-Unis, avait déclaré dans son rapport daté du 20 avril que le nombre total d’infections par SRAS-CoV-2 en Inde jusqu’en septembre 2020 pourrait atteindre 1,11 milliard, même avec un « verrouillage dur », a continué distanciation sociale et isolement des cas ».
    Les cas en Inde ont augmenté régulièrement d’avril à septembre 2020, atteignant un pic de près de 100.000 cas par jour le 16 septembre.
    Les hôpitaux ont été remplis à pleine capacité et les patients ont dû être refusés en raison du manque de lits ; les admissions n’étaient pas garanties même pour les cas graves.
    Ensuite, les choses ont pris une tournure inattendue.
    Les cas quotidiens en Inde ont chuté de la mi-septembre à janvier, les cas hebdomadaires moyens diminuant d’environ un tiers chaque mois.
    L’Inde rapporte actuellement environ 10.000 cas par jour en moyenne.
    Les lits d’hôpitaux créés à cet effet sont désormais en trop et plusieurs installations Covid-19 dans les grandes villes ont été fermées.
    Le ministre de la Santé, le Dr Harsh Vardhan, a déclaré à juste titre que l’Inde avait « réussi à contenir la pandémie » et « a aplati son graphique Covid-19 ».

    Immunité du troupeau !
    Aussi appelé « immunité de la population », on sait qu’il s’est produit lorsqu’une proportion suffisante d’une population est immunisée contre une maladie infectieuse par la vaccination ou une infection naturelle pour réduire sa propagation au sein de la communauté. .
    Le seuil d’immunité du troupeau dépend de R0, (R nul) qui était proche de 2 au début de la phase de transmission en Inde (mars / avril 2020) mais a chuté de façon spectaculaire au cours des prochains mois et ensuite réduit à moins de 1 au mois de septembre 2020 comme indiqué dans le graphique ci-dessous.

    Comme le montre ce graphique, la valeur R0 (nombre de reproduction de base, c’est-à-dire le nombre moyen de personnes qui contracteront la maladie d’une personne infectée) en Inde est en baisse constante ; indiquant une diminution du taux de propagation de la maladie.
    Lorsque R0 tombe en dessous de 1, chaque personne infectée infectera (techniquement) moins d’une personne.
    À ce rythme, la maladie finit par s’éteindre.
    Pour confirmer que R0 <1 signifie l’obtention de l’immunité collective, nous pouvons calculer mathématiquement en utilisant la formule suivante pour estimer le seuil ; 1-1 / R0.
    Dans ce cas 1-1 / 0,97 = -0,03 (négatif 3% au lieu de positif 60% pour R0 de 2,5).
    Qu’est-ce que l’Inde a fait différemment pour réduire R0 ?
    Il est révélateur d’explorer comment cela s’est produit en Inde, mais pas dans d’autres pays où de multiples vagues ont continué à arriver au sein de la même communauté malgré les fermetures de pays.
    Prenons les États-Unis et le Royaume-Uni comme exemples.
    Les deux pays se sont principalement concentrés sur la prévention de la propagation du virus et ont pris des mesures en conséquence.
    Leurs directives de traitement à domicile pour les cas asymptomatiques étaient d’attendre 14 jours en isolement à domicile et, pour les cas bénins, de traiter les symptômes avec des médicaments disponibles régulièrement tels que des vitamines et des minéraux.
    L’Inde, en revanche, a été confrontée à un défi de taille avec la forte densité de population et des installations de dépistage et de soins de santé inadéquates dans les premiers stades.
    L’Inde ne disposait que de 14 laboratoires d’essais pour Covid-19 en février 2020, qui a été porté à près de 1600 en août 2020.
    Les efforts de recherche des contacts ont été intensifiés et les contacts ont fait l’objet d’un suivi rigoureux pour assurer une couverture presque complète des cas.
    Compte tenu de la charge pesant sur les hôpitaux, la décision a été prise de traiter les cas asymptomatiques et bénins à domicile et les cas modérés et graves dans les hôpitaux.
    Par conséquent, les traitements recommandés par l’ICMR se sont révélés utiles pour le traitement précoce des patients à domicile.
    Étant donné que le pays était verrouillé, il était nécessaire de fournir des directives de télémédecine permettant aux gens de consulter leurs médecins de soins primaires par téléphone.
    Le ministère de la Santé a ensuite simplifié et libéralisé ses directives de télémédecine à la fin du mois de mars pour les adapter au nouveau modèle.
    Ces interventions ont eu lieu dès les premiers mois, ce qui a conduit à une baisse de R0 à partir d’avril lui-même comme le montre le graphique de la page précédente.
    Le traitement agressif de première ligne selon les directives de l’ICMR aurait-il pu ralentir la propagation de l’infection ?
    Pour vérifier cela, nous nous sommes tournés vers les ventes de HCQ (Hydroxychloroquine) pendant cette période, comme recommandé par le gouvernement.
    Si nous pouvions convertir les unités en nombre de patients traités et comparer à la prévalence de Covid-19, nous pourrions obtenir une corrélation.
    Bien que pas dans les directives de l’ICMR, nous avons décidé d’ajouter l’ivermectine comme l’état le plus peuplé de l’UP déclaré pour l’utiliser à grande échelle dans les centres de santé gouvernementaux.
    Ventes d’hydroxychloroquine et d’ivermectine en Inde pour projeter le nombre de patients :
    Une compilation de données HCQ basée sur les chiffres de ventes d’IQVIA (en plus des ventes du gouvernement telles que rapportées dans la presse) pour la période d’avril 2020 à décembre 2020 pour projeter le nombre de patients l’ayant reçu.

    Interprétation :

    Il semble que 29 mil. les patients ont reçu HCQ au cours de la période de mars à décembre 2020.
    Chevauchement avec ces 29 mil, 10,2 mil pts étaient des cas de PCR + cinq (ou une partie de celui-ci) indiquant que derrière chaque cas + cinq, environ 2 autres patients ont également été traités par HCQ. Il peut s’agir de contacts étroits, d’utilisateurs non testés ou de personnes en prophylaxie.
    Les patients prenant de l’ivermectine représentent 56% des cas positifs à la RT-PCR. Cependant, comme l’état de l’UP qui a remplacé HCQ par l’ivermectine, nous avons supposé un chevauchement de seulement 50% avec HCQ augmentant le nombre de patients recevant l’un ou l’autre des médicaments.
    Cela projeterait le nombre de patients recevant HCQ ou Ivermectin à plus de 30 mil (29 mil + la moitié de 5,75 mil)
    Ainsi, il est sûr de supposer que derrière chaque cas positif de Covid-19 en Inde, il y en avait 2 autres qui ont reçu HCQ ou Ivermectin.
    En raison du battage médiatique autour du HCQ et de l’ivermectine, il est possible qu’une partie des ventes soit due au stockage de ces médicaments à la maison / par des organisations, etc., environ 10%.
    Même si les projections ci-dessus sont réduites de 10%, elles restent à 27 millions avec un ratio de 2,7 : 1 d’utilisation indiquant une surutilisation au-delà des cas positifs.
    Ces chiffres reflètent une approche de traitement précoce agressif des cas légers / modérés utilisant les 2 médicaments ci-dessus allant au-delà des cas de PCR + cinq.
    Corrélée à la baisse de R0 qui a conduit à la baisse des nouveaux cas de mois en mois, elle semble avoir joué un rôle majeur dans le contrôle en Inde.
    Ces interventions pourraient très bien précipiter la mise en place précoce de l’immunité des troupeaux en Inde.
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  9. Richard Mauden dit:

    Xavier Bazin,Walt, zejournal : Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine ! Si vous pensez encore qu’il n’y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit. Il y a quelques jours, Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à près de 2000 euros le traitement. Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé ! Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ; Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants. Il doit être prescrit à l’hôpital, bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection. Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants. Il n’y a en conséquence vraiment aucune bonne raison d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament.
    Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament. « Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu » , a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.
    Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ? Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly (et le financement de la campagne de Macron en 2022).
    Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés. Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui. Mais ici, on en a appris de belles : parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve. Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti de Macron. Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée. Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
    Comme cela a été résumé sur twitter : « Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France est l’épouse d’un député LREM, la mère de l’adjoint au chef de cabinet de l’Élysée et de sa conseillère santé. »
    Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France. Et voilà comment un médicament à près de 2000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par Macron. Ce qui est beaucoup plus grave, c’est que ce sont les mêmes qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies. Et le gouvernement de Macron refuse la « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU) à l’efficace ivermectine à 8 euros !

  10. Comment ça s’appelle cejeu des 7 familles, le pére, la mére, la fille? Une sorte de délit d’initiés? oui non?

    Une nouvelle preuve s’il en fallait une que toute cette bande de vendus ne veut pas soigner les gens mais expérimenter des traitements très trés onéreux avec ensuite retour sur investissement.

    HDQ, IVERMECTINE C’est soit du poison, soit c’est inefficace soit les 2 à la fois qu’ils nous disent!

    Par contre, après ce que j’appelle le scandale du Remdesivir traitement vanté sur tous les plateaux tv, par Bruxelles etc………….nous voici avec son remake. Le bamlanivimabre.
    Ceci annoncé avec tambours et trompette par varan….

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/27/covid-19-la-france-autorise-un-traitement-par-anticorps-monoclonaux-a-l-efficacite-non-etablie_6071375_3244.html

    Comme pour le remdesivir, c’est par perfusion………..Donc encore une fois reservé à l’hôpital évidemment.

    Des médicaments anciens à 3 francs 6 sous à prendre par voie orale sont dangereux alors qu’ils n’ont jamais tués personne.
    Par contre tester des médicaments par perf en ambulatoire ce serait la panacée avec en plus les risques de choper la covid à l’hôpital avec le flux de patients et le peu de précautions prises?

    Les médecins des plateaux tv et les journaleux sont d’une totale mauvaise fois et on se demande pour qui ils roulent.(si en fait, on le sait)
    Des thromboses avec les vaccins testés en réel sur des populations c’est normal, excès de précautions du Danemark, de la Norvége etc….ce sont des ânes de suspendre la vaccination.
    La thrombose peut être que la personne vaccinée en aurait fait une sans le vaccin…..
    Ils sont prêts à toutes les trahisons pour ne pas contrer le sinistre de la santé et toutes les agences de m…e qui pourrissent le pays.

    Tester des nouveaux médicaments en perf c’est également devenu la norme. Enfin, bref, nous sommes à la merci de ces criminels guidés par l’intérêt qui abusent de leur pouvoir.
    Que pouvons nous faire pour les contrer puisqu’ils n’y a plus d’opposition en France.
    Ceux qui s’opposent sont trainés dans la boue, insultés, trainés en justice…….
    C’est désespérant.

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  1. Plus un médicament est cher, plus vite il est autorisé ! | A droite fièrement ! - […] totalement les effets secondaires, comme l’hydrochloroquine et l’ivermectine (voir ce précédent article), ne reçoivent pas d’autorisation d’utilisation, voire sont…

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