Justice : laxisme ou volonté idéologique ?

Publié par le 5 Août, 2022 dans Blog | 6 commentaires

Justice : laxisme ou volonté idéologique ?

Vous n’entendrez pas parler de ce fait divers sordide advenu à Montpellier, qui a vu un handicapé en fauteuil roulant se faire agresser et menacer à l’aide d’un couteau !

On vous le cachera parce qu’il n’est pas politiquement correct de rapporter un fait où l’agresseur est un immigré marocain … Vous comprenez, cela risquerait …

« de faire progresser les idées de l’extrême droite ! 

J’ai eu connaissance de cette agression grâce au site Français de souche qui rapportait l’article suivant paru dans le Midi Libre :

Montpellier : pour avoir agressé gratuitement un homme
en fauteuil roulant, il écope de 42 mois de prison ferme

Après avoir lu l’article, vous constaterez que dans ce titre sont cachées deux informations qu’ici nous considérons comme importantes :

  • L’agresseur est de nationalité marocaine,
  • Le casier judiciaire de l’agresseur contient 35 mentions pour violences.

Je verse ce fait divers au dossier déjà très chargé du laxisme de la justice que les Français jugent sévèrement, particulièrement concernant les récidivistes ;

Extraits :

C’est une agression totalement gratuite dont a fait l’objet un Montpelliérain âgé de 39 ans, en fauteuil roulant, dans la nuit de lundi à mardi 2 août, au niveau de l’arrêt de tramway Albert-1er à Montpellier. Ce soir-là, en effet, aux alentours de 0 h 30, un usager de la rame est sorti de ses gonds lorsqu’il a appris qu’en raison d’un chantier provisoire, il devait descendre à cet endroit.

Croisant le regard du trentenaire, et sans doute sous l’effet de l’alcool qu’il avait absorbé, il a commencé à l’insulter copieusement alors que ce dernier n’avait rien demandé à personne. Puis, totalement hors de lui, il a sorti un couteau de sa sacoche et l’a menacé en lui disant qu’il allait le planter.

Coups de poing au visage

S’activant pour quitter les lieux au plus vite, l’homme au fauteuil a subitement reçu deux coups de poing au visage. L’un à la lèvre puis l’autre à l’oreille (1 jour d’ITT), avant de voir son agresseur prendre la tangente. Heureusement, la victime a pu avertir un équipage de police secours qui, grâce au signalement précis du mis en cause, lui a mis la main dessus, quelques instants plus tard, avenue Saint-Charles.

C’est sans surprise que les forces de l’ordre ont retrouvé sur lui un couteau avec la lame dépliée. Placé en garde à vue, ce sans domicile fixe de nationalité marocaine, âgé de 46 ans, a réfuté l’agression, expliquant qu’il ne s’agissait que d’une altercation verbale. Mais c’était sans compter sur l’exploitation des caméras de vidéosurveillance qui a prouvé le contraire.

En comparution ce mercredi après-midi

Déféré ce mercredi matin au parquet, le mis en cause a été présenté à l’audience du tribunal judiciaire dans le cadre d’une comparution immédiate ce mercredi après-midi afin de répondre du chef de prévention de violences aggravées par trois circonstances. En l’occurrence, sur personne vulnérable, avec menace ou usage d’une arme et en état d’ivresse.

Devant les magistrats et la victime, il a présenté ses excuses, expliquant qu’il avait bu beaucoup de vodka ce soir-là et qu’il ne se souvenait pas de ses agissements. Le procureur de la République Jacques-Philippe Redon a qualifié ses faits d’extrêmement graves avant de requérir une sanction « claire et nette à son encontre de trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt. D’autant qu’il est en récidive, de récidive, de récidive », a-t-il insisté. 

Trente-cinq mentions sur son casier

Effectivement, le prévenu, père de trois enfants, est un habitué des salles d’audience et des prétoires. Son casier judiciaire parle d’ailleurs de lui-même puisqu’il fait état de pas moins de trente-cinq mentions en tous genres : faux, violences aggravées, vol avec violences, transport d’arme, rébellion…

Ayant parfaitement entendu la volonté du ministère public de mettre à l’écart de la société ce délinquant d’habitude pour le bien de tous, le président Frédéric Almendros et ses assesseurs se sont montrés encore plus répressifs en le condamnant à quarante-deux mois de prison ferme assortis d’un mandat de dépôt.

En peines complémentaires, il a également interdiction de détenir une arme durant une période de dix ans et devra indemniser la victime à hauteur de 3 000 €.

Laurent Vermorel pour le Midi Libre.

Conclusion

Passons sur la nationalité de l’agresseur puisque tous les jours de telles agressions par des étrangers se produisent …

Mais ce sont les 35 mentions de son casier judiciaire qui donnent envie de vomir.

Comment peut-on être encore en liberté quand on a, à ce point, fait la preuve de son « penchant » pour la délinquance ?

Pourrait-on demander aux trois juges qui ont jugé cette personne pour ses 32, 33 et 34 ème délits de motiver leurs jugements ?

Pourquoi la récidive n’est pas considérée, à l’évidence, comme une circonstance aggravante ?

Cela répond à la question du titre de cet article : il ne peut s’agir que d’une volonté de ne pas punir conforme à l’idéologie victimaire qu’avait encouragée Christiane Taubira :

« La prison n’est pas la solution, elle est le problème ! »

Depuis quelques jours, les polices municipales traquent les salopards de boutiquiers qui ont une climatisation et laissent la porte de leur boutique ouverte !

C’est donc ça l’urgence et non pas l’agression d’un innocent en fauteuil roulant !

Faible avec les forts, fort avec les faibles !

C’est bien la devise de la Macronie et d’une justice totalement déconnectée des besoins du peuple et particulièrement des gens modestes, premières victimes de la délinquance !

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6 Réponses à “Justice : laxisme ou volonté idéologique ?”

  1. Tout le monde est d’accord avec le constat, mais comment y remédier ? Election des juges ? Elargissement du recrutement pour éviter d’avoir le formatage d’une seule école ? Retour des peines plancher qui étaient fort peu appliquées ?

    • tout à fait ! et regarder ce qui se fait ailleurs, de préférence dans les pays où la délinquance est moindre, pour s’en inspirer.

  2. Les jugettes doivent etre responsable de leur actes, tous les metiers doivent rendre compte et payet si c’est grave, ce doit etre la meme chose avec ce seul metier u il peuvent faire n’importe quoi dont de l’ideologie de goche mettant en perils de nombreux citoyens.

    Plus une remise a niveau par un stage de citoyenneté et une verification des competences de chacun pour expedier les ideologues soit au trou soit ejectés de leur poste.

  3. Un musulman marocain en état d’ivresse? qu’en pense l’imam marocain?
    Père de 3 enfants qui sont surement nés en France, donc on maintient la famille.
    On peut avoir les revenus de ce monsieur qui peut se souler à la vodka? Salarié de la CAF?

  4. La pseudo justice a invalidé le renvoi, par le ministre Darmanin, de l’iman prechant la haine contre la france et contre les francais/

    Np seulement la pseudo justice est tres laxiste envers les racailles, mais aussi contre ceux qui haîsse la france et les francais.

    Ce n’est meme pas une parodie de justice, mais carrement de l’islamo-collaboration.

  5. La justice et l’état ont abandonné le peuple et ce moque bien de lui, puisque c’est la victime honnete qui paye davantage que le delinquant s’il ce defend.
    Preuve qu’ils nous ont abandonné, le grand remplacement est le cas, au niveau culturel et religieux aussi, après « ils » vont nous dire qu' »ils » defendent la france et font des éfforts pour.

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