La police ne défendrait que « l’ordre blanc » !

Publié par le 5 Déc, 2020 dans Blog | 0 commentaire

La police ne défendrait que « l’ordre blanc » !

Demandons-nous encore à l’Angleterre, aujourd’hui, en 2020, de s’excuser  pour avoir brûlé Jeanne d’Arc ?

Exigeons-nous des Danois, des Norvégiens et des Suédois la repentance pour avoir lancé les Vikings contre nous ?

On pourrait continuer ainsi longtemps ! 

On pourrait aussi demander aux Arabes et aux Musulmans des compensations pour la traite des Blanches opérée par les Barbaresques bien avant que les Occidentaux ne déportent des Noirs en Amérique !

Scène de l’esclavage arabo-musulman qu’il n’est pas convenable de présenter …

Je suis excédé, comme je crois, beaucoup de Français, de ces attaques incessantes contre notre passé colonial et, dans le même temps, de l’exonération constante de la responsabilité du monde arabo-musulman dans le domaine.

A mon sens, avec l’Algérie, la page est tournée et la France ne lui doit plus rien ! En 1962, la France a laissé un pays structuré, administré, qui n’a rien à voir avec le territoire qu’elle avait trouvé en y arrivant. On sait ce que le FLN et les socialistes au pouvoir depuis l’indépendance, ont fait de ce pays …

Le bilan de la colonisation peut être certes controversé mais, Bernard Lugan, dans l’article « Le vrai bilan de la colonisation » en démontre clairement les aspects positifs.

Tout ceci pour parler d’un article que j’ai trouvé dans Slate.fr et qui s’intitule de manière explicite et provocante :

Les violences policières mettent au jour
les fissures de « l’ordre blanc »

Dans cet article signé Julien Suaudeau, tout ce que l’hystérie de la repentance et l’idéologie indigéniste a produit de pire se trouve condensé dans cet article que l’on peut résumer ainsi :

L’ADN de la police, c’est de défendre les Blancs en frappant les non-Blancs !

Extraits :

Loin d’être un acte isolé, l’agression du producteur de musique Michel Zecler s’inscrit dans le continuum d’une violence policière institutionnelle.

Dès le sous-titre la thèse de la violence généralisée de la police est défendue, avec la négation de la notion de bavure qui suit :

Contrairement aux clichés en vigueur, celle-ci n’est ni une série aléatoire de malencontreux incidents ou de bavures, ni le reflet d’une société qui serait de plus en plus violente. Cette histoire, c’est la partie visible d’un Léviathan profondément ancré dans nos structures administratives, politiques, économiques et culturelles: ce système que l’historienne Aurélia Michel appelle « l’ordre blanc » et que d’autres chercheurs et chercheuses désignent par le mot «colonialité».

La thèse du colonialisme toujours en cours …

Une des fonctions non écrites de ce qu’on appelle les forces de l’ordre, des raisons d’être de cette police dite républicaine, n’est autre que de perpétuer des mécanismes de domination hérités de la colonisation.

Avec une généralisation abusive à l’ensemble de la police :

La vidéo du passage à tabac de Michel Zecler fait voler en éclats tous ces paravents. En jetant une lumière crue sur l’acharnement et le nombre d’agents impliqués, elle anéantit également la minimisation sur le thème des « éléments isolés » et autres « moutons noirs » dont le comportement «déviant» salirait une police par ailleurs irréprochable.

Et on revient sur « l’ordre blanc »

En brutalisant les personnes qui ne sont pas blanches, la police ne fait en réalité que son travail, qui consiste littéralement à maintenir un ordre blanc multiséculaire.

Même le mouvement des Lumières est présenté comme pervers !

Les piliers de la France moderne, notamment l’universalisme des Lumières, ont joué un rôle central dans le déguisement de ce système d’oppression en axiomatique républicaine, qu’on ne saurait remettre en cause sans faire acte de séparatisme.

On désigne le coupable : l’homme blanc :

Cet ordre social, économique, militaire, politique, idéologique repose sur l’autorité de l’individu masculin d’origine européenne, et […] sur son désir de liberté, de famille, de propriété et de patrie.

Des anciennes colonies aux banlieues, il n’y a qu’un pas :

Par la violence et le contrôle qu’elle exerce sur les minorités, la police trahit l’existence du système de domination dont elle est le bras armé. Celui-ci ne laisse aucune place à l’accidentel et se perpétue, des colonies aux banlieues, par la construction d’une altérité qui devient l’ennemi intérieur à réguler.

La violence n’est reconnue que pour la police et niée pour les racailles de banlieues :

On entend ici qu’il y aurait un divorce entre la population et les forces de l’ordre, divorce que réfute d’ailleurs le ministre de l’Intérieur; là, dans le sillage du stéréotype sur les territoires perdus, on se raconte que c’est la société qui serait de plus en plus violente, que la violence de la police ne serait que le produit ou le reflet d’un irréversible ensauvagement.

La République, elle-même, n’inclurait que les Blancs !

Comment, Emmanuel Macron qui avait dénoncé les crimes de la colonisation en tant que candidat à l’élection présidentielle, peut-il ignorer que la République française n’inclut pas tous les Français ? Qu’elle est la rente et le monopole des plus anciens ? Que nous ne sommes pas la nation postcoloniale que nous devrions accepter de devenir ?

Le racisme systémique une nouvelle fois affirmé !

Le problème, de ce point de vue, ce n’est pas le racisme de la police, réel ou supposé, individuel ou systémique: il s’agit de comprendre que la police existe pour maintenir un système fondé sur l’injustice et le racisme. Tant que demeure cet ordre qui se fait passer pour la république, la police n’a aucune chance d’être républicaine, car ce n’est pas dans son ADN.

Puis vient la conclusion :

Un pouvoir peut-il remettre en cause le système dont il est l’émanation? Je n’en suis pas sûr: celui-ci donne plutôt le sentiment d’être extrêmement dérangé par la mise à nu de l’ordre blanc et déterminé à faire disparaître toutes les images qui seraient la preuve de sa pérennité. Ce dont je suis convaincu, en revanche, c’est que la confiance dans la police ne peut exister que si la République française devient une réalité pour tout le monde. Cela implique qu’on réinvente ces deux mots aujourd’hui vides de sens: « police » et « république ».

Et puis la mienne :

Après un réquisitoire non seulement totalement à charge mais en plus dénué de toute argumentation, on reste sidéré par l’idéologie décoloniale et indigéniste qui suinte à chaque paragraphe de ce brûlot.

Même le fait que les policiers avaient frappé durement des Gilets jaunes, à l’évidence majoritairement Blancs, n’est pas retenu contre le racisme supposé de la police et du système!

A aucun moment les violences constantes contre les policiers n’est mentionnée ! Mais a t-on des exemples où la police ait utilisé la violence sans qu’elle ait été préalablement attaquée ou qu’on lui ait résisté ?

Par ailleurs, comment expliquer que les pompiers soient caillassés comme les policiers ? Ont-ils frappé les racailles au préalable ? Seraient-ils eux-aussi les gardiens de « l’ordre blanc » ?

Après avoir avalé cette loghorrée antifrançaise et anti-blanc, on prend conscience que si un jour des formes de guerre civile éclatent en France, nous aurons tous ces gauchistes de l’autre côté de la barricade, aux côtés de nos ennemis !

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